L’article de L’Express (magazine créé « au service de Pierre Mendès France » par Jean-Jacques Servan-Schreiber et Françoise Giroud – de son vrai nom Gourdji – et aujourd’hui détenu par Patrick Drahi) est payant mais le titre est on ne peut plus explicite : « Élisabeth Badinter : "Cela ne peut plus se régler dans le pacifisme" ».
Au-delà des propos, c’est le signal qui nous intéresse : la grande papesse de la gauche libérale Élisabeth Badinter est en effet très haut placée dans la pyramide des réseaux d’influence...
À l’intersection du pouvoir politique institutionnel (par son mari Robert Badinter, ancien garde des Sceaux de François Mitterrand et ancien président du Conseil constitutionnel), du pouvoir médiatique (par son père Marcel Bleustein, fondateur de Publicis, « groupe de communication » qui contrôle la quasi-intégralité de la presse française par la publicité) et du pouvoir idéologique (la multimillionnaire philosophe et sociologue est en effet une grande militante féministe et une grande « humaniste » en tête du combat pour la laïcité...), Élisabeth Badinter envoie donc un message à tout un pan de la société. Plus précisément, c’est l’autorisation de ralliement à la ligne néo-conservatrice nationale-sioniste qui est lancée à l’attention des tenants du socialo-sionisme.
Qu’importe qu’Élisabeth Badinter ait été épinglée comme chargée de communication de l’Arabie saoudite et qu’elle se soit impliquée dans le « droit des femmes immigrées », l’heure est à la « guerre » !
Pour la philosophe, la guerre contre les islamistes est empêchée par la peur mais aussi par la démagogie d’une certaine gauche.
Comme annoncé depuis longtemps par E&R, le Système se repositionne et la nouvelle affaire Charlie est un marqueur de ce basculement.
Un message immédiatement repris par l’émission LGBT-sioniste C à vous
Le Général Pierre de Villiers veut « réparer le pays » et lutter contre l’islamisme :
Patrick Cohen incrimine les réseaux sociaux :