"Les puissants aiment contrôler ce qui se passe et que moi, on ne me contrôle pas, eh bien on ne n’aime pas dans ces milieux très influents. On ne me donne pas d’ordres et je n’obéis pas aux ordres de quiconque". Fifille, Marine, la lavette, paraît plus appréciée car sans charisme, sans caractère et sans culture livresque. En effet, dans la 2nd vidéo (34’50), il est précisé ce que nous avons détecté chez de nombreux blogueurs d’E&R, elle singe son père en moins bien et surtout elle n’a pas d’originalité verbale comme son père c’est-à-dire pas cultivée. Elle suit l’endoctrinement philippipautesque (celui-là, heureusement qu’il s’est révélé tel qu’il est vraiment manipulateur, faisant son marché çà et là prenant la rhétorique du moment). Tous les combats du père pendant 40 ans s’annihilent depuis l’accession de la dinde marine et de son gourou qui, à deux, ne disposent pas du millième de connaissance du père ce qui, me semble-t-il, sa 1ère fille Marie-Caroline est pourvue.
Dans ce reportage, on perçoit vraiment la cohérence de cet homme dans le temps, la continuité des propos ; il aime toujours le dialogue avec le journaliste qu’il prend à parti pour l’inviter à réfléchir au-delà du prêt à penser quand ce dernier, faignant intellectuellement, dogmatique ressort les mêmes poncifs que sa hiérarchie et la communauté sioniste le somment d’orienter les questions autour du nazisme, Hitler, juifs, race. 27 ans après rien ne change dans la sémantique journalistique. Quant au monologue off, il semble que ce soit l’une voix détestable, insupportable de F. Mitterand.
M. Le Pen resté tel que vous êtes, ne changeait rien. En 1988, j’étais jeune et inconscient du venin journalistique, des changements cataclysmiques qui transformeraient la France et s’opéraient sous mes yeux. Merci pour vos combats, votre rectitude, votre naturel, votre panache… malheureusement votre lignée n’a peu hérité de vos belles qualités. Je suis content que votre plus fidèle compagnon, M. Gollnisch, soit à vos côtés en ces moments troublés. D’ailleurs, hier, dans le figaro, un pseudo expert disait de M. Gollnisch que c’était le seul politique qui surclassait tous les autres par son éminence culturelle. Eh bien, M. Le Pen, il vaut mieux être entouré d’un honnête, fidèle à vos côtés que des félons qui vous méprisent ou s’abstiennent de dire que vous aviez raison avant tout le monde. Merci à vous et continuez le combat avec des gens de valeurs. Le reste suivra.
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