L’essayiste du Figaro et de CNews Éric Zemmour a subi une agression sexuelle en pleine rue, comme une vulgaire blondinette. Des agressions comme celle-ci – dont personne ne se réjouit chez E&R car elle va relancer la haine anti-musulmane ou anti-arabe et le conflit de civilisations cher aux nationaux-sionistes, qui ne pouvaient pas rêver meilleur symbole –, des agressions comme celle-ci, donc, les Français et les Françaises en subissent chaque jour que le dieu antiraciste à la tête de l’État ou du pouvoir profond fait depuis 35 ans et la naissance de SOS Racisme, dit aussi SOS Sionisme.
Quoiqu’on pense du discours de #Zemmour, son agression aujourd’hui valide son constat d’une France archipelisée, au bord de l’implosion. Quand la violence de classe se transforme en violence de communautés, la guerre civile n’est jamais loin ... pic.twitter.com/rAAYDpvxy4
— Guilhem Carayon (@GuilhemCarayon) April 30, 2020
Les islamo-racailles, puisque certains se surnomment ainsi, ont une dent de tigre contre Zemmour, qui les invective dans presque chaque chronique radio, presse ou télé. Car ce diable de journaliste écrivain possède plusieurs fenêtres de tir dans les médias mainstream. Si ces derniers sont majoritairement socialo-sionistes, entend-on au fond de la classe, comment peuvent-ils accorder une telle place à un polémiste national-sioniste, c’’est-à-dire de la véritable extrême droite ?
Tout simplement parce que ceux qui décident de qui à quelle place dans les médias ont décidé d’avoir deux fers au feu, c’est plus sûr en période pré-révolutionnaire : le socialo-sionisme, que tout le monde connaît depuis Mai 68 ou 1984, et le national-sionisme, plus récent, et destiné à remplacer la première tendance, de plus en plus déconsidérée par les Français qui en ont marre de subir le racisme antiraciste. L’objectif est de récupérer les Français en colère contre les conséquences du socialo-sionisme et de leur proposer une seule porte de sortie : le national-sionisme, opposé seulement en apparence à la première tendance. Il n’en est rien au fond puisque les deux produits conceptuels viennent de la même maison sioniste. Mais l’important n’est pas l’intelligence du piège, c’est qu’il fonctionne. Et les Français qui ne supportent plus les agents socialo-sionistes ont tout juste le droit d’évoluer vers le national-sionisme, pas vers le national socialisme à la française, à ne pas confondre avec le national socialisme à l’allemande, qui lui est racial.
Ceci étant dit, la racaille qui se vante d’avoir craché sur Zemmour devrait avoir honte, puisque son geste fait objectivement les affaires de ses adversaires. Mais il n’est pas assez outillé intellectuellement pour le comprendre : il a, à son insu, créé un attentat antisioniste et antifrançais sous faux drapeau, comme s’il était un hybride (délinquant-djihadiste) manipulé par le Mossad pour incriminer tous les musulmans ou tous les Arabes de France. Chez les identitaires, l’amalgame sera vite fait, et cela va renforcer les troupes qui trépignent de ratonner. Et même si les racailles jouent les durs dans leurs cités, ils ne pourront rien contre une police armée qui sera dirigée par un ministre national-sioniste et qui décidera de les neutraliser, et ce, par tous les moyens possibles. Cela pourra être la police, ou l’armée, ou des milices nationalistes. Et là, malheur aux vaincus. Il n’y a qu’à voir ce qu’il se passe en Israël ou plutôt en Palestine.
Le Visage de l'Agresseur Verbal d’Eric #Zemmour
Saha Ftour mes Islamo-racailles
Il s'explique à ses Frérots sur son agression d'#EricZemmour dans les Rues #Paris en leur souhaitant une Bonne Rupture de #Iftar en plein #Ramadan
Agression signée pic.twitter.com/cyrB0ovzlh
— BBR4369 La Fouine (@BBR4369) April 30, 2020
Déplacement de la tension sur le domaine des idées
Nous lançons donc un avertissement à l’islamo-racaille auteur de l’attentat et lui proposons de s’expliquer plus longuement, ce qui n’enlève rien aux paroles incendiaires d’un Zemmour dans les médias.
L’idéal serait de faire se rencontrer les deux bonhommes, le vieux juif et le jeune Arabe, et de les faire parler autour de cette séquence symbolique, à l’image des familles américaines d’un assassin et d’un assassiné qui se rencontrent, pour comprendre.