Mise à jour du 15/01/2017 à 23h30
La conférence du dimanche 15 janvier à Castelnau-d’Estrétefonds est malheureusement annulée pour raisons de sécurité.
Mise à jour du 14/01/2017 à 17h30
La conférence que Marion Sigaut devait donner à Verfeil sur Seye le samedi 14 janvier à 15 h a bien eu lieu (à l’église, puisque le maire s’opposait à sa tenue dans la salle communale).
La gendarmerie s’est montrée très impliquée et a parfaitement sécurisé l’événement, malgré la présence hostile de 40 « antifascistes ».
Vendredi 13 janvier 2017 en début de soirée, alors que l’historienne Marion Sigaut s’apprêtait à donner une conférence sur le thème « Des enfants disparus de l’Hôpital général à la déclaration de l’ONU sur les droits sexuels » à Espinas (Tarn-et-Garonne), des « antifascistes » ont pénétré dans la salle pour l’en empêcher.
Au nombre d’une vingtaine, les « antifas » ont vociféré leur haine d’Alain Soral et de tous ses soutiens, puis entrepris d’asperger la conférencière... de mousse à raser.
Marion Sigaut, venue en paix pour aborder la question historique de la protection de l’enfance, a tenté de discuter pour calmer ses adversaires, mais ceux-ci ont répondu, fidèles à leur vision très étroite du dialogue : « On est venus pour ne pas vous écouter ! »
Non contents de perturber un auditoire et une conférencière tout à fait pacifiques, les antifas ont ensuite volé les livres que l’historienne avait apportés, puis, quittant le lieu de la conférence, les ont... dispersés dans tout le village.
Faire taire des intellectuels et empêcher leur public de lire des livres : tels sont bien les objectifs de « l’antifascisme » d’aujourd’hui...
Les gendarmes ont pu constater l’agression et le vol, et une plainte a été déposée. Les auteurs des faits semblent connus des forces de l’ordre. Enquête à suivre...
Au final, l’action des antifas n’aura servi strictement à rien, puisque la conférence a tout de même eu lieu. Marion Sigaut a pu présenter ses travaux essentiels sur le destin dramatique des enfants de l’Hôpital général, qui trouve un écho très inquiétant au XXIe siècle dans les avancées de l’agenda mondialiste via des officines comme l’ONU.