Ce 14 novembre 2024 à 20 h 45 la France reçoit Israël au Stade de France, à Saint-Denis, dans le cadre de la cinquième journée de la Ligue des nations. Qu’ajouter sans réécrire la destinée de la France depuis 235 ans ? De défaite en défaite jusqu’à ce France-Israël. Ce match sans intérêt sportif, dit à haut risque, serait annulé, reporté, déplacé, s’il s’agissait d’une autre équipe. Pourquoi le faire jouer ?
Pour entériner la nouvelle loi, l’État de droit, qui n’est autre que la loi du plus fort, celui de l’invité. Le match sera surveillé par l’armée israélienne, et 4 000 policiers français, pour s’assurer que les nouveaux habitants de France, représentés par les Africains de l’équipe, obéissent aux nouvelles forces. La France n’a pas voulu de l’Allemagne en 1940, elle est devenue naturellement l’Afrique sous surveillance israélienne en 2024.
Une sempiternelle fin de l’histoire, ou l’éternel retour du concret : l’humiliation perpétuelle, et la fin du Gaulois ! Quelque part entre une équipe d’Africains fraîchement importés jouant pour des millions avec un maillot français floqué du coq gaulois deux fois étoilé, et une équipe d’Asie évoluant dans un championnat européen, sous les yeux de Français émerveillés comme s’ils acclamaient les héritiers de la bande à Platoche, voire de Godefroy de Bouillon libérant le tombeau du Christ, ou des gisants de Saint-Denis.
Saint-Denis symbole de la royauté française, devenue symbole de la France qui gagne, mais au football, tout cela à quinze minutes à pied de la Basilique. Curieux hasard.
Platini eut la décence et l’intelligence de refuser son nom à ce Stade de France, à Saint-Denis, ville à l’image de l’équipe de France, sans Français de souche, sauf son maire inconnu, Mathieu Hanotin, bien gaulois, succédant au Saint-Denis de Jacques Doriot...
...alors 100 % ouvrière et gauloise de 20 000 habitants ; qui subventionne maintenant 120 000 allogènes – un Français sur soixante habitants – et l’entraîneur de l’équipe de France, Deschamps le bien-nommé, dont les ancêtres laboureurs, à Saint-Denis peut-être d’ailleurs, travaillant année après année des terres incultes, comme Didier cultive ses joueurs ; les premiers produisant du pain, l’autre des coupes du monde. Mathieu et Didier comme chefs de bandes allogènes, les footballeurs étant subventionnées par millions par Clairefontaine, les 120 000 habitants de Saint-Denis par les impôts des Français.
Hormis la volonté de mourir, quel sens donner à cela ? Les racistes, c’est-à-dire ceux qui aiment voir des Japonais au Japon, des Africains en Afrique, diraient qu’on ne produit plus rien sauf des Africains en France. Drôle d’idée de mettre des Africains en Afrique, des Japonais au Japon et des Caucasiens en Europe ? Pourquoi pas des Gaulois en France ? L’Italie non qualifiée pour les Coupes du monde 2018 et 2022 se porte-elle plus mal de n’avoir que des joueurs italiens ? Elle se porte bien.
La réunion du 14 novembre, match sans enjeu, sera surveillée comme jamais par 4 000 policiers, plus des policiers israéliens, quand les meurtres et persécutions des Français, la pédophilie ou la vente de drogues ne sont que peu poursuivis et sanctionnés. La présence de la police israélienne officialise la soumission de la France à Israël, sinon pourquoi ne pas simplement annuler ce match à risque, si ce n’est justement pour activer les tensions ethniques et religieuses ?
Cette rencontre est une parfaite image de la France actuelle. L’amphitryon ; la Basilique de Saint-Denis est entourée de non-catholiques africains ; le Stade de France, qui représente un pays qui n’a plus de France que le nom, accueille une rencontre internationale entre une équipe africaine représentant la France et Israël, nécessitant la mobilisation massive des forces de l’ordre par son chef israéliste Laurent Nuñez, quand le Français est incité à avorter, se mutiler les organes sexuels, poussé à la disparition par remplacement justement par ces Africains, comme le promouvait il y a cent ans le plan Kalergi dans son Idéalisme pratique, projet déjà presque accompli, et sanctifié par une surveillance policière s’assurant que le plan arrive à son terme. En France, pratiquer la pédophilie ou vendre de la drogue est moins durement réprimé que de s’opposer à la disparition de son propre peuple. Tu disparaîtras et tu seras heureux. Et voteras Macron en 2027.
On a tout dit mais en brodant dans le détail, on peut poursuivre avec le héros français Kylian Mbappé et sa passe gagnante de 100 000 euros à Stockholm ; ses possibles soucis de consommation d’alcool suite à la fréquentation de Neymar, loin de son berger des champs, l’ont rendu moins performant et plus très motivé. Cent mille euros jet compris pour satisfaire ses besoins est une somme incompréhensible pour le Français moyen, castré par l’économie, le féminisme et « sa » justice, parfois contraint de se satisfaire pour une cinquantaine d’euros dans des bois parisiens. Il ne faut pas être grand clerc pour imaginer qu’un jeune Camerouno-Algérien ayant grandi à Bondy, gagnant du jour au lendemain six millions d’euros par mois pour jouer quatre-vingts matchs par an dans un pays où neuf millions d’habitants, souvent de souche, sont à l’aide alimentaire, finisse par débloquer. Être considéré comme symbole de la France, pour jouer au football en étant africain rend schyzophrène un pays habitué à la psychiatrie ; mais surtout le pauvre Kylian, qui n’a pas demandé à être symbole national élu par les Gaulois.
L’histoire des France-Israël commence le 10 octobre 1993 par la plus grande surprise de l’histoire du sport, la défaite de l’équipe de Cantona et Papin alors que la France menait 2 à 1 à sept minutes de la fin, de quoi devenir millionnaire en pariant sur la victoire d’Israël à ce moment-là. En ce temps-là seul le fumeur guyanais Lama ramenait la France à l’Afrique avec son affreux maillot multicolore. En trente ans, l’Afrique s’est étendue à tous les pans de la France, musique, nourriture, sport, niveau scolaire, vocabulaire… Fallait-il voir dans le missile d’Atar pendant les arrêts de jeu, privant la France pour la dernière fois d’une participation à la Coupe du monde 1994 aux États-Unis, avec un statut d’outsider - voire de favori - une préfiguration de l’échec des accords d’Oslo ?
Aurait-on gagné notre première Coupe du monde avec Cantona et Papin, la paix éternelle aurait-elle été respectée ? Les coupes, on en a gagnées en France depuis trente ans, on peut être fiers ; pour la paix, attendons encore un peu, trente ans de plus ou de moins, finalement ; on attend depuis 2 500 ans. Il y a une analogie entre la défaite de la France et l’échec des accords d’Oslo.
Difficile à imaginer, mais en 1993, la France était encore productive, la population étaient fière d’Alcatel, du TGV, Altsthom et Ariane faisaient encore la fierté du pays et de son économie. Les immigrés étaient encore minoritaires. Depuis 1998, on ne produit plus rien au niveau de l’industrie, mais on gagne des Coupes du monde de football – cette nouvelle fierté du nouveau Français – sur grand écran dans tous les foyers, c’est un peu comme avoir gagné Verdun si on veut, ou la réunion sur grand écran dans toutes les villes de France comme avant la messe. De Louis XIV à de Giscard on n’a jamais rien gagné en football. De Mitterrand à Macron par contre, en 43 ans, nous Gaulois, sommes devenus la nation numéro un dans le monde. On ne peut pas être bons partout. Le savoir-faire français s’exporte toujours bien, avec d’autres produits. Avant on produisait des ingénieurs, on exportait le TGV ou des Airbus. Maintenant on exporte des joueurs de football : pas un grand club sans son joueur français.
Il y a un bémol – passager – à cette belle histoire : Mbappé est en froid avec l’équipe de France. Une hygiène de vie moyenne, donc une baisse de niveau, et un ego surdimensionné – selon Romain Molina – seraient à l’origine de la brouille avec certains joueurs. Il ne jouera pas ce jeudi 14.
Mais comme un clin d’œil de l’histoire, la prochaine Coupe du monde aura lieu aux États-Unis – jumelés avec le Canada et le Mexique pour wokisme. En 2028, Kylian aura 27 ans, l’apogée de la carrière d’un joueur. Kylian ira-t-il venger Canto et Papin de leur américaine absence en 1994 ? Reviendra-t-il comme Zidane en 2006 ? Sera-t-il une réminiscence de Lafayette, terminant encore meilleur buteur de la compétition pour faire taire les fâcheux, comme une revanche à la Rocky sur une vie pas facile ?
L’avenir de la France, dont on a coupé la tête en 1793, repose sur les pieds de Mbappé.
Mais, quand on déboulonne la statue de l’abbé Pierre pour mettre celle d’Omar Sy, on peut penser que tout est foutu. En trente ans, des accords d’Oslo au jet privé à Stockholm, les jeux semblent faits. Rien ne va plus. De Celte à Haïti, bagatelles pour un massacre.