Clémentine Autain favorise la forme au détriment du fond, en nous assenant sempiternellement les mêmes rengaines creuses, confortablement installée dans ses prébendes de bourgeoise-bohème.
Dans notre société du spectacle et de l’apparence, Clémentine - avec son joli et frais minois - est un atout indéniable pour le système qu’elle représente. Le téléspectateur - pris au piège de ce subterfuge de la nature - la regarde plus qu’il ne l’écoute, d’ailleurs !
Avec ses cheveux coupés courts, elle joue sur son côté "garçon manqué", afin de faire impression dans l’arène politique ; mais dès qu’elle sent l’objectif se focaliser sur sa petite personne, elle prend d’instinct une pose féminine, voire aguicheuse ! Plus que de la politique, la gourgandine aurait dû faire du cinéma. Peut-être, d’ailleurs, a-t-elle envisagé cette carrière, mais en vain...
Auprès d’un public aseptisée - ou tout simplement esthète - Alain Soral fait office de Père Fouettard. Avec sa mine éternellement renfrognée et ses sourcils invariablement froncés, le "bougre" a perdu la bataille d’avance ! Le fait qu’il possède de la répartie et qu’il tienne des propos judicieux et valides ne changent en rien la donne.
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