Il suffisait d’y penser et changer le droit d’assassiner ses voisins en droit de se défendre, et le tour était joué. Israël atomise Gaza, et ce n’est pas une simple expression : il y a désormais plus de victimes à Gaza qu’à Hiroshima. Mais c’est un Hiroshima progressif, homéopathique, acceptable, un génocide au compte-gouttes, au compte-morts, dix par ici, vingt par là, c’est médiatiquement mieux que 40 (...)