Comme le rapportent de manière totalement pernicieuse Ouest-France et Le Figaro, la cour d’appel de Paris a condamné Alain Soral à 60 jours-amende à 50 euros pour « menaces de commettre une atteinte à la vie privée ».
Une peine de jours-amende implique que le condamné voit cette peine transformée en emprisonnement s’il ne s’acquitte pas de la totalité de l’amende. Selon ce jugement, Alain Soral devra aussi verser à Binti une somme de 6000 euros de dommages et intérêts et frais de justice.
Récapitulons : 9000 euros (3000 euros en jours-amende + 6000 euros) et une potentialité de prison ferme pour une menace non exécutée !
Détail qui a son importance : il n’y a pas de menaces de la part d’Alain Soral ! Les seuls menaces (de divulgation de photographies) émanaient de Mathias Cardet, qui n’était pas son complice mais le complice de la « jeune femme », comme toute l’affaire le démontre.
Alain Soral est donc condamné pour des propos... que ses ennemis ont tenus !
En revanche nous rappelons que Binti et ses complices (tous repris de justice et contre lesquels Alain Soral a déposé plainte) ont bien vendu une photo d’Alain Soral nu diffusée par le journaliste et paparazzo franco-israélien Jean-Claude Elfassi (actuellement écroué pour escroquerie et déjà à l’origine de l’affaire Tariq Ramadan).
Encore une fois la réalité est à l’opposé du jugement rendu et de la version médiatique qui présente Alain Soral comme un harceleur de l’acabit de Frédéric Haziza !
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La vérité sur l’affaire Binti : réécouter l’émission
« Émission spéciale ERFM – Harcèlement judiciaire : l’affaire Binti »
(décembre 2016)
Au sommaire :
Intro
1’42 : Une campagne médiatique bien orchestrée, mais par qui ?
7’22 : Analyse du jugement
11’07 : Premier acte (mars-août 2014) : quand Binti contacte Alain Soral
13’50 : Qui est Mathias Cardet ?
23’30 : Le basculement
25’58 : Deuxième acte (novembre 2014) : l’affaire éclate dans la presse
29’32 : Qui est Jo Dalton ?
36’44 : Pourquoi ne pas avoir porté plainte contre le gang ?
42’00 : Troisième acte (septembre 2015) : deuxième plainte de Binti
42’30 : Maître Honneger, avocat de Binti et du grand banditisme
47’20 : L’affaire Kery James
49’22 : Qui est Street Press ?
50’50 : Pourquoi Binti a-t-elle porté plainte deux fois ?
54’06 : Cette affaire est-elle une succession de coïncidences ?
59’35 : Les grands procès d’E&R
1’01’12 : Le mot de la fin
1’01’53 : Fireball, « Swing me out », Album French Melancholy, Kontre Kulture Musique
Écouter l’émission :