Dans les années 1970, un mouvement connu sous le nom de « féminisme juif » a débuté dans la communauté juive américaine. C’était un mouvement qui, à l’origine, cherchait à rendre la femme juive supérieure/égale aux hommes juifs. L’un des premiers grands problèmes abordés par ces féministes était le pouvoir d’optimiser l’hypergamie/d’intenter les divorces.
Peut-être que ces dames juives devenaient jalouses de la « libération » croissante des femmes non-juives aux États-Unis. Peut-être que les femmes juives, pour des raisons culturelles, sont plus naturellement attirées par les idéologies du féminisme. L’écrivain juif Marjorie Ingall décrit comment les femmes juives sont réceptives au féminisme en citant la féministe juive Naomi Wolf :
« Nous avons une histoire politique qui remonte aux mouvements socialistes et ouvriers, où les femmes étaient des organisatrices et des agitatrices ».
Ou peut-être que, véritablement, beaucoup de femmes juives étaient injustement opprimées dans certains domaines de la vie, et voulaient agir.
Une recherche rapide avec wikipédia sur la « liste des féministes juives » fournit une liste, certes incomplète, de 114 noms. La plupart des femmes énumérées sont nées au 20ème siècle. Le site Web des archives des femmes juives est un site Web complet dédié aux principales féministes juives, et contenant 1 193 profils.
Si l’on cherche simplement « liste de féministes » sur wikipédia, la page vers laquelle on est orienté contient 770 noms remontant jusqu’au 13ème siècle. La base de données la plus complète, lorsqu’on cherche « liste des féministes » avec google, semble être wikipédia.
Soyons aussi justes que possible ici, et supposons que la liste wikipédia des 770 féministes ne contient aucune féministe juive. Nous ajoutons donc les 114 féministes juives à cette liste pour obtenir un total de 884 éminentes féministes, selon wikipédia. Nous prenons alors 114 divisé par 884 et multiplié par 100. Le pourcentage des féministes de lignée juive et signalées par wikipédia atteint 12.9 %.
Cependant, ce calcul rapide ne tient pas compte des archives des femmes juives avec ses 1 193 féministes émérites de lignée juive, et il suppose qu’aucune des féministes sur la liste wikipédia des 770 n’est juive (quand en fait beaucoup le sont). En outre, la liste des 770 féministes remonte sur plusieurs centaines d’années, tandis que la liste wikipédia des 114 féministes juives décrit principalement le 20ème siècle et après.
Les juifs représentent 1,7-2,6 % de la population américaine. À ce titre, pour avoir une représentation proportionnelle adéquate dans le mouvement féministe, il ne devrait y avoir que deux ou trois juives au maximum pour 100 meneuses féministes américaines. Cela ne semble pas du tout être le cas, du moins selon une simple recherche sur Internet.
Sur le même registre, nous devons également garder à l’esprit qu’une représentation juive disproportionnée est également présente au Congrès américain (8,4 %), à la Cour suprême (33 % ou 3 juges sur 9), au Conseil des Gouverneurs de la Réserve Fédérale (40 % confirmé ou 2 membres actuels sur 5 : Janet Yellen et Stanley Fischer sont juifs et aussi Président et Vice-président du Conseil des Gouverneurs de la Réserve Fédérale), et parmi les universitaires de haut niveau.
Le « féminisme juif » qui débuta dans la communauté juive semble avoir pris part au mouvement féministe plus large ayant lieu en Amérique. Ainsi, la très faible population démographique des femmes juives de ce pays (environ 1 % de la population) semble avoir une représentation ridiculement grande dans le mouvement féministe global.
Examinons quelques-unes seulement de ces très influentes féministes de lignée juive :
Éminentes féministes de lignée juive :
Les principales actrices, extrémistes, et meneuses du mouvement
Judy Blume : née en 1938. Blume est un écrivain américain visant un public d’enfants et de jeunes adultes, avec plus de 80 millions de livres vendus. Elle a écrit des romans sur le racisme, la menstruation, le divorce (Ce n’est pas la fin du monde, Tant que nous sommes ensemble), la maltraitance et la masturbation.
Judith Butler : née en 1956. Butler est une « théoricienne du genre » et une philosophe. Elle enseigne à l’Université de Californie à Berkeley. Butler a écrit un livre intitulé Trouble du genre : féminisme et subversion de l’identité qui a été publié en 1990. Ce livre est considéré comme la crème de la crème par bien des féministes lorsqu’il est question de « thèse déviante homo » et de « féminisme postmoderne poststructuraliste » (quoi que cela signifie).
Andrea Dworkin : 1946-2005. Beaucoup d’entre vous ont probablement entendu parler de Dworkin. C’était une féministe extrémiste. Dworkin, entre autres choses, était violemment anti-porno, car elle disait qu’il est lié au viol. Ce qui est assez ironique, au regard de la forte influence juive dans l’industrie pornographique.
Shulamith Firestone : 1945-2012. Firestone était apparemment schizophrène (selon un article commémoratif du The New Yorker publié après sa mort), et fut également un acteur clé dans la formation des idéaux féministes extrémistes. Elle est l’auteur de La dialectique du sexe : arguments pour une révolution féministe qui a été publié en 1970. Ce livre a tout bonnement été décrit comme le livre le plus audacieux et le plus clair jamais écrit sur le féminisme extrémiste. Voire, selon Naomi Wolf (une autre féministe juive) :
Nul ne saurait comprendre comment le féminisme a évolué sans lire ce monument de la deuxième vague, radical et séditieux.
J’espère vivement que Naomi Wolf ne savait pas que Firestone était schizophrène…
Betty Friedan : 1921-2006. Friedan est un très grand nom dans les milieux féministes. C’était une figure de premier plan du mouvement des femmes. Elle était écrivain, actrice et féministe ardente. Friedan a écrit La mystique féminine, publié en 1963, un livre dont beaucoup soutiennent qu’il a contribué à déclencher le féminisme américain de la deuxième vague. Depuis, jusqu’en 2000, le livre s’est vendu à plus de 3 millions d’exemplaires.
Brenda Howard : 1946-2005. Howard fut un personnage important qui donna le ton à l’actuel mouvement des droits LGBT, notamment lorsqu’il fallait arranger des manifestations SJW (Ndt : guerrier de justice sociale). C’était une féministe pro-sexe et une activiste des droits bisexuels.
Les lecteurs de « l’androsphère » (Ndt : masculinisme) apprécieront un sarcasme lancé le 27 juillet 2005 par Tom Limoncelli (un défenseur des droits bi-sexuels) : « La prochaine fois qu’on vous demandera pourquoi les marches des fiertés LGBT existent, ou pourquoi juin est le mois de la fierté gaie, dites : "Une femme bisexuelle nommée Brenda Howard a pensé qu’il devait en être ainsi" ».
Si Limoncelli n’élucide pas suffisamment toute l’influence que cette femme avait, qu’en est-il de cette déclaration faite par le partenaire de Brenda Howard, Larry Nelson, et publiée le 17 juin 2014 dans un article intitulé En souvenir de Brenda : une ode à la "mère des fiertés" :
« Vous aviez besoin d’aide pour organiser une sorte de protestation ou un truc dans la justice sociale ? Tout ce que vous aviez à faire, c’était de l’appeler, et elle vous disait quand et où ».
Erica Jong : née en 1942. Jong était enseignante et écrivain. Elle a divorcé trois fois, mais est actuellement à nouveau mariée (cela semble être un thème commun à ces femmes). Elle a écrit un livre controversé sur le sexe, et publié en 1973 appelé La peur de voler qui a joué un grand rôle dans le féminisme de la deuxième vague. Le livre s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires dans le monde.
Gloria Steinem : née en 1934. La mère de Steinem n’était apparemment pas juive, pourtant son nom apparaît sur le site Web des archives des femmes juives si on le cherche. Steinem était la meneuse et le porte-parole du mouvement féministe vers la fin des années 60 et au début des années 70. Fait intéressant, Steinem a admis devant caméra avoir eu des liens avec l’Agence Centrale du Renseignement (oui, la célèbre CIA), mais elle aurait rompu ses liens avec la CIA avant de devenir une meneuse féministe. Pour plus d’informations sur celle-ci, il vous faudra, telle Alice, descendre plus bas dans le « terrier du lapin blanc ».
Naomi Wolf : née en 1962. Wolf faisait partie des équipes de campagne de Bill Clinton et d’Al Gore. C’est un écrivain et une journaliste ayant couvert des sujets sur l’avortement et sur le mouvement Occupy Wall Street. Wolf est pratiquement devenue le porte-parole du féminisme de la troisième vague (le terme « féminisme de la troisième vague » a été formulé par Rebecca Walker, une femme qui s’identifie comme noire, blanche et juive) Wolf n’a également pas manqué d’écrire sur les causes de l’arrivée au pouvoir de l’Allemagne nazie, dans son livre La fin de l’Amérique. Si vous souhaitez vous divertir un peu, regardez cette vidéo YouTube où Wolf essaie d’expliquer « pourquoi nous avons besoin du féminisme », mais où elle est totalement détruite sur scène par la YouTubeuse antiféministe Karen Straughan.
Les féministes juives dans les médias
Larisa Alexandrovna : née en 1971. Alexandrovna a été rédactrice en chef des infos d’investigation de The Raw Story pendant près de trois ans. Elle a été bloggeuse pour le Huffington Post et pour son propre blog. Son œuvre aurait été relayée par le magazine Rolling Stone, Vanity Fair, et Newsweek.
Lisa Bloom : née en 1961. Bloom est la seule progéniture de Gloria Allred (une autre féministe citée plus bas dans cet article). Elle, comme sa mère, est avocate en droit civil américain. Elle était la présentatrice de truTV’s In Session de 2001 à 2009. Bloom est analyste juridique pour The Today Show et également contributrice au NBC Nightly News et à MSNBC.
Susan Estrich : née en 1952. Estrich est commentatrice politique pour Fox News, partisane du féminisme, agent politique, écrivain, professeur et juriste. Elle a écrit un livre publié en 2005 intitulé Arguments pour Hillary Clinton.
Les féministes juives dans le divertissement, l’art, l’érotisme et la pornographie
Mayim Bialik : née en 1975. Bialik est une actrice américaine, ainsi qu’une neuroscientifique. Elle jouait le Dr Amy Fowler dans La théorie du Big Bang sur CBS.
Hanne Blank : née en 1969. Blank est historienne, écrivain, rédactrice en chef et conférencière. Dans le passé Blank écrivait et éditait des textes érotiques. Elle croit aux « droits à l’adiposité » (acceptation des obèses).
Judy Chicago : née en 1939. Chicago est artiste, éducatrice en art, et fait des installations artistiques collaboratives d’œuvres « d’art féministe ». Elle a collaboré avec son troisième mari (nous retrouvons à nouveau le thème des maris multiples ...) pour créer Le projet de l’holocauste : des ténèbres à la lumière (1985-1993).
Eve Ensler : née en 1953. Prétendument, seul le père d’Ensler était juif, mais elle a grandi dans une communauté juive, et a reçu en 2002 le prix du Lion de Judas par les communautés juives unies. Ensler est dramaturge, interprète, féministe et militante. Elle est surtout connue pour avoir écrit la célèbre pièce de 1996 Les monologues du Vagin. Quel que soit l’étudiant d’université lisant ceci, ça ne me surprendrait pas qu’une représentation des Monologues du vagin ait débarqué sur votre campus à un moment donné ; c’est arrivé sur mon campus en 2011, et c’était arrangé par l’organisation féministe du campus.
Sarah Michelle Gellar : née en 1977. Gellar est productrice et actrice, elle joue ou figure dans une pléthore d’émissions télévisées et de films, Buffy contre les vampires, Souviens-toi... l’été dernier, Scream 2, et le rôle de Daphné dans Scooby Doo (2002).
Nina Hartley : née en 1959. Hartley est un écrivain américain, éducatrice sexuelle, féministe pro-sexe, réalisatrice de films pornographiques, et actrice pornographique américaine. Elle a été récompensée par de nombreux prix tout au long de sa carrière. Elle a fait une interview sur Les Jeunes Turcs où elle fut présentée comme « légendaire » par Cenk Uygur. Il semble qu’elle était connue comme le meilleur cul du métier au temps de sa jeunesse, et spécialisée dans les scènes lesbiennes. Regardez sur YouTube son interview par Les Jeunes Turcs.
Le cas Hartley m’a semblé un peu plus intéressant parce que plusieurs personnes ont insinué que la communauté juive exerce une puissante influence sur l’industrie pornographique de cette nation (USA). Le Dr Nathan Abrams, un professeur juif à l’Université de Bangor au Royaume-Uni, a dit en substance que les juifs sont la force motrice derrière l’industrie moderne du porno. En fait, il a même rédigé un article à ce sujet dans Jewish Quarterly, dont le titre est Triple-exthnics.
Les féministes juives dans le gouvernement des États-Unis et dans le domaine juridique
Bella Abzug : 1920-1998. Abzug était une juriste américaine, Député des États-Unis, activiste sociale, et une meneuse du Mouvement des femmes. Elle a aidé à fonder le Comité national et politique des femmes avec Gloria Steinem et Betty Friedan. Abzug a également travaillé sur les droits des femmes auprès des Présidents Gerald Ford et Jimmy Carter.
Gloria Allred : née en 1941. Allred est avocate en droit civil américain et emporte couramment des procès de haut vol. Elle est intervenue dans de nombreux procès liés aux droits des femmes, dont la représentation d’au moins dix-sept femmes accusant Bill Cosby d’agression sexuelle, de harcèlement et autre conduite déplacée.
Shulamit Aloni : 1928-2014. Aloni était une politicienne israélienne et fondatrice du parti Ratz. Elle a également dirigé le parti Meretz et a été ministre de l’Éducation d’Israël pendant un an. Elle a remporté le Prix Israël en 2000.
Bien qu’Aloni ne soit pas Américaine, j’ai choisi de l’inclure en raison de l’échange suivant qui a eu lieu lors d’une interview de 2002 par la journaliste américaine Amy Goodman. Au cours de cette courte vidéo, Aloni explique que l’accusation d’antisémitisme est « une combine que nous utilisons toujours » pour réprimer toute critique d’Israël venant des États-Unis. Si la critique vient d’Europe, Aloni indique : « nous invoquons l’Holocauste ».
Ruth Bader Ginsburg : née en 1933. Souhaitons que tous les lecteurs américains reconnaissent ce nom. Ginsburg est juge adjoint de la Cour suprême des États-Unis, nommé par Clinton en 1993. Je recommande fortement à tous les lecteurs de revoir son dossier de vote sur les questions sociales.
Elena Kagan : née en 1960. Souhaitons que les lecteurs américains reconnaissent également ce nom. Kagan aussi est une féministe juive et juge adjoint de la Cour suprême des États-Unis. Elle est arrivée au pouvoir sous la présidence d’Obama. Cet article sur feminist.org révèle qu’en fait sa confirmation avait été approuvée par une majorité féministe dès 2010.
Les féministes juives dans l’éducation et le milieu universitaire
Rachel Adler : née en 1943. Adler est professeur de pensée moderne juive, de judaïsme et du genre, à l’Université de l’Union Hébraïque (campus de Los Angeles). Elle aurait joué un rôle clé en intégrant les perspectives féministes aux textes juifs.
Rebecca Alpert : née en 1950. Alpert est professeur au Département des Religions et des Études des Femmes de l’Université du Temple. Elle occupe actuellement le poste d’adjointe principale du doyen de l’Université des Arts Libéraux.
Daniel Boyarin : né en 1946. Il possède la double citoyenneté américaine et israélienne (Est-ce habituel pour les politiciens américains ? Cliquez ici pour plus d’infos sur la double citoyenneté de nombreux responsables gouvernementaux américains). Boyarin est professeur de culture talmudique à l’Université de Californie à Berkeley depuis 1990.
Susan Brownmiller : née en 1935. Brownmiller est une féministe américaine, journaliste, écrivain, et une militante surtout connue pour son ouvrage Contre notre volonté : hommes, femmes, et viol publié en 1975. Dans ce livre, elle prétend soutenir que parce que le viol est défini par les hommes, les femmes se font avoir (pas nécessairement dans ces termes, et sans calembour).
Aviva Cantor : née en 1940. Cantor est une journaliste américaine, écrivain, conférencière, et partisane du féminisme et de la vie communautaire juive. Elle a aidé au financement d’une organisation sioniste socialiste dénommée Libération juive à New York en 1968.
Hélène Cixous : née en 1937. Cixous est professeur, poétesse, écrivain, dramaturge, philosophe, etc. Elle a été nommée professeur intermittent à l’Université Cornell de 2008 à 2014.
Jane Evans : 1907-2004. De 1933 à 1976, Evans était le directeur exécutif de la Fédération Nationale du Temple de la Sororité (qui est maintenant connu sous le nom de Femmes du Judaïsme Réformé). Jane Evans a également été présidente de la Conférence Nationale de la Paix en 1950. J’encourage tous les lecteurs à consulter le site Web Femmes du Judaïsme Réformé et à examiner leurs déclarations sur la crise de l’immigration en Europe, et autres points de « justice sociale ».
Susan Faludi : née en 1959. Faludi a écrit un livre publié en 1991 intitulé Contrecoup : la guerre larvée contre les femmes américaines. Elle a également écrit un livre analysant les attentats du 11 septembre et comment ils auraient prétendument revigoré un environnement américain hostile aux femmes.
Ilana Gliechbloom : née en 1986. Gliechbloom est professeur d’études judaïques au Lycée Abraham Joshua Heschel de New York. Elle a fait des apparitions remarquées dans (surprise, surprise) Les monologues du Vagin.
Susannah Heschel : née en 1956. Heschel enseigne les études juives à Dartmouth, et est un écrivain américain. Ses publications incluent Collusion/Exclusion : Les juifs américains et le multiculturalisme et D’être une féministe juive.
Et parlant du multiculturalisme juif et de l’immigration illégale massive, écoutez ce que Barbara Lerner Spectre (une femme juive) avait à dire sur le multiculturalisme des pays européens dans cette vidéo de 2010. Je dirais qu’après avoir vu cette vidéo, vous devez vous dire « Est-ce une coïncidence ? », et que les pensées de Spectre s’accordent joliment avec les vues des Femmes du Judaïsme Réformé, décrites ci-dessus.
Paula Hyman : 1946-2011. Hyman a enseigné l’histoire juive à l’Université de Yale. Elle a été la première doyenne, de 1981 à 1986, de l’Université Séminariste des Études Juives [Ndt : renommée en 1986 Université des Études Juives Albert A. List], au sein du Séminaire Théologique Juif. Hyman a publié de nombreux ouvrages axés sur le féminisme.
Conclusions
Il ne s’agit là que d’une goutte d’eau à la surface des profondeurs de l’implication juive dans le féminisme américain. Bien sûr, tout à chacun peut trouver sur Google toutes sortes de noms de féministes non juives (simplement parce que les non-juifs représentent environ 98 % de la population). Cependant, je ne vois pas comment une personne raisonnable peut objectivement nier le fait que les juifs sont effectivement surreprésentés dans le mouvement féministe.
Au cours du dernier demi-siècle (en gros), les féministes juives se sont immiscées dans l’infrastructure culturelle américaine à tous les niveaux, y compris dans le gouvernement, l’appareil judiciaire, les médias, le divertissement, l’éducation et les livres, et même dans l’industrie du porno. La vérification des informations présentées ici, et le parcours des liens dans cet article en démontrent l’éclatante évidence.
Les femmes juives représentent environ 1 % de l’ensemble de la population américaine. Cependant, un pourcentage assez élevé des meneuses féministes les plus puissantes et les plus influentes comme jamais de la deuxième et de la troisième vague sont juives.
et le Président Jimmy Carter
Est-ce uniquement un fondement culturel impérieux qui pousse tant de femmes juives à prendre part au féminisme, et à l’élaboration d’une politique culturellement destructrice ? Certains argueront que ce ne serait que la conséquence d’une différence de QI, qui poussent les juifs à exceller et à occuper des positions dirigeantes.
D’autres prétendent que la disproportion de l’implication juive dans la politique fait partie d’une machination plus structurée, visant à détruire intentionnellement le tissu moral des sociétés majoritairement blanches et traditionnellement chrétiennes. Je ne suis pas ici pour répondre à « pour quelles raisons », mais bien pour uniquement signaler l’évidente disproportion de la représentation des juifs dans le mouvement féministe.
Il est généralement admis dans « l’androsphère » (espérons au moins que ce soit le cas maintenant…) que le féminisme est un outil utilisé pour détruire l’unité familiale et mettre les femmes sur le marché du travail, ce qui génère plus d’impôts, et bénéficie aux entreprises et aux politiciens, par le biais d’une consommation insensée.
Je sais que c’est un sujet difficile pour certains, et qu’il peut même créer une dissonance cognitive, mais il devient quasiment impossible de nier objectivement la réalité : l’influence juive détient la part du lion dans le contrôle des féminismes de la deuxième et de la troisième vagues, nonobstant que les juifs ne représentent qu’une infime fraction de la population américaine.
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