Irène Grosjean, 84 ans, est docteur en naturopathie depuis 1958.
Irène Grosjean, 84 ans, est docteur en naturopathie depuis 1958.
Voir aussi, sur E&R :
RDP | Juillet 2014 | Claire Séverac, Corinne Gouget, Gilles Lartigot, Thierry Casasnovas |53 | Santé |
L’intervention de Thierry Casasnovas : Entretien avec Gilles Lartigot : Entretien avec Corinne Gouget : Entretien avec Claire Séverac :
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Nos n’arrivons plus à avoir de bons fruits. Ils pourrissent avant de murir Les déversements chimiques (chemtrails) doivent avoir une responsabilité Là dedans.
On est entrain de nous tuer mais les gens dorment et ne se défendent pas.
Il ne faut pas exagérer... je trouve plein de bon fruits dans la campagne et dans mes vergers et je vis dans le nord et même en magasin dans le conventionnel mais la il faut souvent les laisser murir un peu avant qu’ils soient bon
Je m’associe à ceux qui aiment ce genre de discours sur les manières de vivre naturellement : merci à cette dame et à ceux qui ont relayé la vidéo.
Un discours séduisant, mais un peu de sens critique s’impose :
1) le cerveau de l’homme aurait connu une évolution (saut qualitatif) qd la cuisson de la viande est apparue (documenté par plusieurs chercheurs)
2) il existe des régimes de centenaires qui ont fait leur preuve. Le "cuit" y a toute sa place. La viande, en petites quantité également
3) l’économie ! I. Grojean parle d’abricots, de bananes : ça ne pousse pas partout et en toutes saisons. Vivre en consommant des fruits frais à gogo toute l’année ça implique des bateaux sur les mers, des soutes d’avions remplies, et c’est pas durable comme solution.
4) si nos anciens mangeaient des bouillies c’est que c’était un truc économique, ils avaient pas le choix. Mais c’était complété en hiver par des soupes de légumes locaux.
Bref, je trouve Grojean & Casasnovas super intéressants, mais il manque du pragmatisme là-dedans. C’est pas tenable comme alimentation dans un monde où le pétrole se raréfie, sans parler du coût économique d’un tel régime. Et déclarer d’un revers de main que le "cuit" est toxique pour l’homme, alors que ça fait partie de tous les régimes de centenaires du monde, ça ne tient pas la route. On va pas aller dire à ces gens-là qu’ils ont une alimentation toxique, alors qu’ils pètent la forme à 110 ans pour certains et continuent à faire de l’exercice.
Il y a des témoignages sur le Net également de gens qui n’ont mangé que "cru" pendant un temps et ont dû arrêter car ça causait des dégâts sur leur santé. Bref, attention à l’effet "gourou".
(PS : pour info je ne mange pas de viande et je mange beaucoup de cru, mais pas à 100%)
@Jean
le cerveau de l’homme aurait connu une évolution (saut qualitatif) qd la cuisson de la viande est apparue (documenté par plusieurs chercheurs)
Chercheurs carnistes payés par qui ? De plus, manger de la viande sans la cuire est quasi impossible, surtout à une époque durant laquelle n’existaient pas les hachoirs. Quand au gout de la viande cru non hachée ni assaisonnée, je vous laisse imaginer.
Vivre en consommant des fruits frais à gogo toute l’année ça implique des bateaux sur les mers, des soutes d’avions remplies
Les longues distances parcourues par les convois d’animaux morts ou vifs pour satisfaire les désirs de l’espèce humaine (et des animaux domestiques) sont bien plus nuisibles. L’utilisation du pétrole dans l’industrie de la viande est un gouffre sans fond à tous les stade de la production. Manger des fruits et des légumes ne ferait qu’alléger le gaspillage d’énergies fossiles. Et pour les plus volontaires, consommons davantage de produits locaux.
Je ne donne pas mon avis sur le cru ou le cuit, car je trouve que ce n’est pas une problématique essentielle sur laquelle il faille s’attarder, même si je mange cru 80% de mes aliments (ceci n’est que mon avis).
Jean, votre raisonnement est apparemment celui de quelqu’un qui fait des déductions intellectuelles mais qui n’a jamais fait l’expérience de ce genre d’alimentation. Essayez et vous aurez sans aucun doute une autre pensée...
Par ailleurs, il n’y a pas "pragmatisme" dans ce domaine, ce terme est une mode qui nous vient de la pensée moderne anglo-saxonne et qui a surgit dans notre société exactement au moment où la Tatcher vendait son "pragmatisme économique" comme on impose une purge à un diarrhéique !
En alimentation il convient de revenir avant tout à du bon sens, état d’esprit que notre pays, rendu totalement malade à tous les étages par une pensée malsaine et exclusivement chiffrée et économiste, ne sait plus faire. Le "pragmatisme" est la nouvelle religion des cerveaux segmentés, des esprits coupés de leurs sens...
Expérimentez avant de faire des déductions infondées...
d’accord avec Jean sur le paradoxe entre le "biolocalisme" et la nécessité d’importer des fruits de très loin hors saison pour tenir ce genre de régime, avec la trace carbone conséquente ! C’est l’aspect le plus compliqué du frugivorisme dans nos contrées froides en hiver.
les climats équatoriaux au sens large ont de gros avantages de ce point de vue ou l’on pourra trouver des peuples végétariens/frugivores alors que dans les régions hyper froides et sans végétation les peuples locaux se nourrisent massivement de viande/poisson, leur physiologie s’est adapté aux conditions extremes.
Oui notre physiologie est faite pour les végétaux, mais a pu être complété par du petit gibier lors des saisons froides. c’est un phénomène adaptatif normal.
@vegan, un super tanker qui pollue reste un super tanker qui pollue. La question de ce qu’il transporte n’est pas le sujet et aucune "préférence ethique" ne viendra contredire ce fait meme si je comprend votre pensée. . Le bon questionnement est comment réussir à assurer des productions locales quantitatives/qualitatives par l’innovation et en hiver (ex : eliot coleman)
afin d’assurer une diversité capable de soutenir ces régimes alimentaires.
@ Filou
Moi aussi je comprends ce que vous voulez dire quand vous parlez des supers tankers et peu importe ce qu’ils transportent. Il n’empêche que l’industrie de la viande nécessite de nombreux acheminements pour la transformation des aliments effectuée dans de multiples contrées, et on sait par exemple qu’une crevette après avoir été capturée, aura presque fait le tour du monde et de nombreux allés retour avant d’arriver à l’endroit qu’on lui destinait. Avec les fruits et légumes, ce problème ne se pose pas si on les consomme directement après cueillette et sans transformation.
Quand à assurer les productions, locales ou pas, puisque 70% des récoltes mondiales servent à nourrir le bétail, on a qu’à utiliser ces espaces pour faire pousser des vegetaux qui nourriront des êtres humains. Comme il faut 7 fois plus de vegetaux pour nourrir un carniste qu’un vegetalien, l’emprunte carbone sera forcément diminuée et la production assurée si la majorité décide de changer sa manière de consommer.
Vegan : le problème ne se pose pas non plus si on achète de la viande à son producteur local, comme par exemple du mouton ou de l’agneau qui ne mangent pas de céréales mais de l’herbe et des feuilles.
@ paca13
Non mais un autre se pose. Et ce sera toujours celui de l’horreur du massacre animalier. Regardez les images et écoutez les cris d’un bébé qu’on arrache à sa mère, les hurlements de la mère pendant des semaines appelant son petit. Soutenez visuellement leur acheminement vers l’abattoir et leur fin épouvantable. Revenez me voir après pour en parler si vous voulez.
Encore une fois, pourquoi tout ça ? Pour d’indécents prétextes égoĩstes qui ne sont rien d’autres que cette histoire de goût, maquillés sous les mensonges de soit disant besoins nutritionnels, traditionnels, mon cul sur la commode, et orchestrés par des lobbys pour vous prendre votre pognon.
Tout a fait d’accord avec paca13, il faut essayer au maximum de consommer local, ou ce qui a voyagé le moins possible, pour les fruits/légumes et la viande !
Magnifique documentaire que j’ai fait tourner ! Merci E&R. Allez Kontre Kulture !
Suite au décès de mon père, il y a 20 ans, je suis tombée en déprime. Rien de plus normal, un deuil est nécessaire. Cependant, j’étais angoissée et je vis surgir pas mal de symptômes qui s’installaient, ce qui bien entendu accentuait mes inquiétudes !
Je suis allée voir une naturopathe formée à la médecine chinoise de surcroît. Hors mis, les soins spécifiques proposés par cette approche (massages, huiles essentielles et certains compléments alimentaires choisis), la dame, après m’avoir interrogée sur comment je mangeais, me préconisa un changement radical alimantaire. Inutile de vous dire que le fait, entre autres, de stopper net le café le matin au profit d’infusion (de thym + romarin en l’occurrence, pour aider le foi et le soulager) me paru infaisable. J’étais réellement accro au café et je ne pouvais m’imaginer démarrer le matin sans mon kawa...
Mais, têtue et curieuse, j’ai quand même tenté l’expérience et j’ai attaqué le matin à l’infusion en question... et ô stupéfaction ! les améliorations furent notoires en quelques jours. Non seulement j’ai pu me passer de café avec moins de difficulté que je ne l’imaginais mais surtout, en quelques mois de changement d’alimentation - car je modifia aussi tous mes repas - j’ai constaté un retour à une énergie nouvelle et une disparition de la plupart de mes tracas qui, malgré mes 40 piges de l’époque, se manifestaient déjà chroniquement.
Mais comme l’esprit humain est retors, j’ai repris par négligence certaines mauvaises habitudes qui suffirent à déclencher à nouveau certains inconforts... l’écoute de cette vidéo d’une femme de grande sagesse et de bon sens m’a redonner la motivation pour réajuster mon hygiène alimentaire.
Un grand MERCI madame et à E&R qui ne rechigne jamais à élever les consciences à tous les niveaux :o)
Le café et dérivés de caféine(coca, thé etc) est la drogue stimulante la plus consommée au monde
muais, c’est sur qu’il faut manger bcp de fruit et légume. mais un bon steack bien cuit ou du pain avec un bon fromage c’est tres bon pour la santé aussi !
les gens qui sont sectaire alimentaire sont souvent des gens qui ont eu de gros traumatisme dans leur vie.
Des centaines d’analyses, de rapports médicaux prouvant l’étendue des désastres dus à la viande et au lait, des études récentes faisant apparaître la sentience animale et toute l’immoralité de les manger, tout ça pour arriver à "La viande c’est trop bon, et puis c’est tout". Consternant.
Et bien sûr, pour couronner le tout, le coup des vegetaliens traumatisés. Et dire que la viande est censée être le facteur de l’évolution intellectuelle ... Broustil, avez vous seulement conscience des traumatismes à nulle autre pareil que vous faites subir aux animaux pour cette si savoureuse assiette remplie de souffrance ? Prenez votre courage à deux mains, montrez donc un peu de virilité, regardez donc bien en face la réalité des élevages et des abattoirs si vous avez la force de tenir ne serait ce qu’une minute l’insoutenable spectacle de la torture et du massacre à son paroxysme. Vous aussi serez traumatisé pour peu que vous ayez un cerveau normalement constitué. Et vous aussi changerez votre façon de consommer pour peu que vous ayez un zeste d’empathie, d’intelligence et de moralité.
Le pragmatisme, c’est voir ce qui marche comme régimes, depuis des millénaires. On connaît les régimes de "centenaires", qui intègrent tous beaucoup de légumes cuits et des protéines (poisson, peu de viande certes, mais un peu qd même, et on n’en meurt pas !).
Dire que le "cuit" serait forcément toxique me paraît donc être une ânerie sans nom.
Ensuite sur le coût économique du tout "cru", je suis désolé, mais sauf à avoir une serre chauffée chez soi - et encore - et d’essayer d’y faire pousser des bananes et autres fruits qui ne poussent pas sous nos latitudes, normalement, c’est une aberration.
L’homme s’est tjrs adapté au climat où il vivait. L’homme est l’enfant du climat. Aller dire à un Esquimau que c’est un barbare n’a aucun sens.
Ici, en Europe, pour passer l’hiver, les paysans consommaient des légumes, mais cuits, impossibles de faire autrement. Mais consommer des bananes, des tomates en hiver, à la base c’est une aberration économique.
je suis d’accord avec le fait que l’industrie de la viande et la souffrance et autres attrocités sur les animaux qu’elle produit est degueulasse. ceci est un probleme tres recent venu avec le capitalisme a outrance et la surconsomation. mais un bon elevage bio avec des bêtes respectées et qui vivent bien produisent que du bon.
@ Broustil
Exemple de bio & gentille momort concernant les oeufs :
Elevages de poules "en batterie" & abattoirs industriels de volaille atteignent des sommets dans l’ignominie : oiseaux entassés sur grillage, bec coupé, attendant la chaîne qui les ébouillantera & leur coupera la tête. Tout ça pour des œufs ! Certes il existe des œufs de "poules élevées en plein air". Attention, il suffirait pour avoir ce label que les poules soient sorties quelques jours avant l’abattage ou disposent de 2,5 m2 de terrain. Seuls les œufs de poules "élevées en libre parcours", parfois aussi appelées auparavant "poules qui courent", garantiraient moins de barbarie dans leur traitement : l’obtention de ce label nécessite 10m2 de terrain herbeux par pondeuse. Les œufs de l’agriculture biologique sont censés correspondre à ces exigences, mais si le cahier des charges Agriculture biologique exige l’accès à un parcours herbeux, il n’est pas certain qu’il doive être de 10m2. Mais quoi qu’il en soit, là encore, que fait-on des poussins mâles qui ne pondront jamais ? Les broyer, les gazer, les jeter vivants dans des sacs plastiques ou des bennes à ordures où ils étoufferont lentement, les écraser, les enterrer vivants... Bref, s’en débarrasser de la façon la plus économique possible. Pour être clair, s’il faut avoir à cœur de ne pas faire tuer pour notre alimentation, de ne pas être responsable de l’exploitation & de la souffrance d’animaux, seul le végétalisme convient.
Source : http://www.interdits.net/2001nov/ve...
@ Broustil
Autre exemple de la fumisterie du bio concernant l’exploitation animale :
"L’exemple local de l’association « viande bio d’ici » nous montre que le bio ne tient pas la promesse d’être un mode de production alternatif. En réalité, les « 1000 vaches » et « viandes bio d’ici » sont aux deux extrémités de l’industrie agroalimentaire. Mais ils ne sont pas différents dans l’essentiel, car ils sont de plain pied dans l’exploitation animale.Certaines personnes pensent que le bio est une alternative aux inconvénients de agro-industrie. Il y a même des « écolo » pour penser cela. Le label « bio » serait un choix éthique, acceptable du point de vue de la planète. Certains producteurs agricoles, genre « néo-paysans » en mode décroissant, tentent de faire vivre une telle alternative, parfois même de bonne foi.
Il y aussi des amis des animaux qui vantent le bio comme étant plus respectueux de la planète & des animaux. Mais comment cela pourrait-il être le cas alors qu’il existe des viandes bio ?
...
L’association « viandes bio d’ici » est un regroupement corporatiste destiné à organiser une partie de la filière « viande » au niveau de la Région Nord-Pas de Calais et, dans une perspective faussement écologiste, à la moderniser. Vraiment rien d’alternatif dans ce projet…
Pour produire une marchandise en dehors de agro-industrie qui détruit la planète et ses habitants, il faut beaucoup d’abnégation. On ne peut pas faire dans la demi-mesure. Car le « bio » n’est qu’une facette de l’agro-business, avec d’autres formes de fermes-usines et d’abattoirs. Non seulement le bio laisse en place l’agriculture conventionnelle et écocidaire, mais il lui permet de trouver de nouveaux débouchés. Produire dans le Nord-Pas de Calais des aliments avec une bonne qualité nutritive, dans le respect de la planète et de l’ensemble du vivant, ce n’est pas faire du « Bio ». Pour cela, il faudra imposer une agriculture organique et vegan de masse à la place des autres formes de cultures et d’élevages qui devront nécessairement disparaître. Pour que les animaux trouvent la sérénité, pour que cesse l’écocide, il ne suffira pas de changer quelques détails : c’est toute la société qui doit se transformer !"
vean.fr/association-viandes-bio-dici-pour-quoi-faire/
Magnifique vidéo mais petit bémol cependant, je rejoins certains commentaires qui évoquent que de nombreux peuples mangent de la viande de manière séculaire. D’autre part, moi même atteint d’une leucémie et ayant eu une hygiène de vie normale, je déplore sa critique sur les personnes qui sont malades devraient avoir un malus et celles qui ne le sont pas un bonus, du fait de leur alimentation. Désolé, mais comme elle le dit si bien d’ailleurs, certains naissent avec un système immunitaire de rolls et d’autres de 2CV. Dans ce type de vidéo au demeurant réellement passionnante, il faut prendre le bon et laisser le mauvais. Une bonne entrecôte, un bon gâteau avec parcimonie bien sûr n’ont jamais fait de mal à personne et il est parfois même tendancieux de prétendre que tout le monde mange de la m...Enfin et surtout d’ailleurs, il ne faut pas mettre de côté les causes environnementales qui jouent presque autant que les causes alimentaires et là dessus on s’y connaît encore moins : Ondes électromagnétiques, pesticide, pollution....Merci quand même à E et R d’êtres les seuls à diffuser ce type d’information et longue vie au site et à ses contributeurs.
Je suis praticien de medecine chinoise aux usa.
Je suis contre l’utilisation du blender et l’utilisation de multiples fruits en "smoothies".
Là où on l’on ne mangerait qu’un fruit ou deux on se retrouve à en manger 4 ou 5 parce que liquéfiés et du coup la pulpe ne peut plus participer au sentiment de satiété. La nécessité de mâcher est aussi une loi naturelle. La salive contient des enzymes pre-digestives. Ne pas l’utiliser affaiblit le système.
Resultat aussi : un surcroit de sucrose dans le sang, une hausse du taux d’insuline, (des études sont en cours sur cette épidémie aux USA où les gens ne se nourrissent plus que de smoothies) ; on y voit donc une possibilité de cause du diabète à long terme.
Je suis contre aussi l’usage du cru systématique. On médecine chinoise on fait des différence entre les types constitutionnels. Certains morpho-types très sanguins seront attirés par le cru parce que naturellement cela les refroidira, et au contraire les constitution "froides" pourront bénéficier d’un apport de chaleur externe (cuisson), particulièrement en saison froide (car il faut aussi considérer l’alimentation en fonction des saisons). Autant de différents rythmes qu’il faut prendre en compte.
Je pense que tout système, pour être crédible, doit éviter le dogmatisme et se doit de considérer tous les cas de figure et prévoir des aménagements quand cela est nécessaire. I
L’humilité est une condition importante á cultiver lorsque l’on veut bien faire ce métier. Il ne s’agit pas d’un désir moraliste, mais de la recherche d’une efficace liée à la flexibilité et la curiosité nécessaire qu’elle nous octroie, qui nous permet d’évoluer constamment.
Aussi en marge il faut souligner que bien que la nutrition soit aussi le premier moyen de traitement en médecine chinoise on ne la considère que comme l’un des 4 piliers de la santé ; les 3 autres sont : les exercices respiratoires (qi gong, taijiquan..etc), la relaxation/sommeil et enfin l’attitude mentale (qui englobe l’aspect spirituel de la vie/méditation, contemplation).
Je précise cela car je ne crois pas que l’alimentation seule puisse tout guérir par elle même, surtout aujourd’hui ou les pathologies sont de plus en plus dues au stress et à la confusion mentale.
Merci pour avoir pris le temps de lire ce commentaire.
Je vous signale que le fructose des fruits est de suite bio disponible dans l’organisme et n’a pas besoin de passer par la case insuline. Le sucre des fruits est bien moins "dangereux" que celui des pâtes, du pain ou du riz (chinois en autres) qui font eux augmenter le taux de glycémie et qui ne font qu’alourdir la digestion (sucre lent). Après il suffi d’insaliver les smoothies (et les jus crus) pour faciliter la digestion
Même naturels, il faut limiter les sucres simples, trop "rapides" , c-a-d avec un index glycémique trop élevé (ex : banane) , et cela que l’on soit diabétique ou non.
alors les fruits oui, mais selon moi :
préférer les fruits entiers que le jus
les manger avec la peau si bio
sinon les nettoyer avec un peu de savon ou alors les épplucher
n’en manger pas trop non plus, préférer les légumes.
Je ne comprends pas trop votre allusion au riz "chinois" ?? Etait-ce une plaisanterie ?
Cela n’a rien à voir avec la médecine chinoise. Il y a beaucoup de théorie daoiste sur les GU/蠱 causé par les céréales et grains en tout genre. La théorie n’est donc pas nouvelle, encore faut-il savoir la manipuler en fonction de la situation car en il faut se garder de démoniser quoi que ce soit. Tout est une question de dosage (on peut parfois soigner avec du poison), et quiconque part en croisade contre quelque chose perd sa capacité à agir et réfléchir de maniére non réactive. Tout en modération même la modération ; c’est une promesse de santé universelle...
Réflexions inspirées de la rapide lecture des interventions du pseudo « vegan » :
Le prosélytisme qui anime les Vegans et autres sectes diététiques repose rarement sur un amour désintéressé de l’humanité.
Curieusement, on observe souvent chez eux une agressivité qu’ils dénoncent parmi les carnivores comme étant leur principale marque distinctive.
L’ascétisme auquel ils se contraignent (ainsi que le régime de privation quotidien) les poussent, semble-t-il, à une rancune plus on moins consciente envers ceux qui continuent d’éprouver du plaisir à ingérer des aliments qui leur sont « interdits ».
Ils ressentent cela comme de l’obscénité. Un festin dont ils se sont exclus eux-mêmes et auquel nul ne pense à les convier se devrait au moins d’être publiquement condamné par les autorités judiciaires. Peut-être même un peu de prison ferme ? Donnez-leur un peu de pouvoir et vous verrez si j’exagère...
Il ne faut pas se tromper : il y a un esprit totalitaire et dangereux derrière tous les extrémistes de la santé et de la nourriture, même (et surtout !) quand ils cherchent à nous convaincre de leur félicité, de leur symbiose avec le monde, de leur amour des animaux, de la spiritualité, de leur soi-disant simplicité, de leur « retour aux sources », de l’écologie, des enfants indigos (lumières du monde futur !), etc.
(Ps. Celui qui a écrit ces lignes n’a pas mangé 1 gramme de viande pendant 10 ans et cela jusqu’au mois d’août 2013.)
@ petitjean
Pour ce qui est du prosélytisme des carnistes avec leur dieu bidoche (et leur soit disant intérêt pour l’humanité), il est depuis longtemps avéré, et ses dégats sur les animaux, les hommes et la planète ne sont plus à démontrer. Alors que les dégats des vegans, on attend toujours que vous les énonciez. Vous etes si peu renseigné sur la realité de ce monde et du notre en particulier, que votre vision des choses est fantasmée jusqu’à vous représenter nos vies faites de privation et d’austérité. Vous non plus n’avez pas pris la peine d’aller manger dans un resto vg ou ne serait ce que d’avoir googlé "vegan food" pour voir combien nous sommes privés. Vous êtes bien peu au fait pour quelqu’un qui n’a pas mangé de viande depuis 10 ans !
Oui les festins carnés sont dégueulasses et obscènes. D’autant plus obcenes que nous sommes votre pendant socialement viable et que donc les festins meurtriers pas fondamentalement indispensables. Ceci est irréfutable. Faites un tour approfondi sur le net si vous en avez le courage, et matez des videos d’élevages et d’abattages, que ce soit pour la viande, le cuir, la fourrure et le reste, pour comprendre toute l’obscenité de votre schema de pensée.
Prêtez nous encore et toujours les qualificatifs qui sont la marque de fabrique qui caracterise les carnistes, c’est le principe du systeme accusatoire inversé. Quand à notre agressivité, elle n’est que notre exaspération face à l’obstination du monde à ne pas vouloir comprendre ni changer, et au desespoir de voir l’inutile et abominable souffrance animale au service de carnistes égoistes, lâches, cupides ou décérébrés. Notre agressivité à votre égard sera toujours moins violente que la votre à l’égard des animaux humains ou non humains. Si vous trouvez que les termes que j’emploie sont disproportionné&as même apres avoir regardé ce que je vous ai demandé, c’est que vous etes franchement lobotomisé.
@ vegan
Je pardonne à votre jeunesse vos excès de passion. Sans doute l’oisiveté y trouve un exutoire propice à votre équilibre mental, et je le comprends.
Mais au nom du Ciel, ne prétendez pas connaitre les informations que j’ai collectées en 10 ans (sans compter celles qui en 2003 m’avaient conduit à ne plus manger de viande). Ne présumez pas être plus courageux (je devrais certainement dire « courageuse ») que les autres ou plus savants : acceptez seulement que nous ayons tous tiré des conclusions différentes. Ne tombez pas non plus dans la caricature : tous vos contradicteurs ne sont pas nécessairement des abrutis.
Dans lequel de mes propos pouvez-vous conclure que je suis « si peu renseigné sur la réalité de ce monde » ou bien que je n’ai jamais « pris la peine d’aller manger dans un resto vg ou ne serait-ce que d’avoir googlé "vegan food" » ? Car je n’ai fait aucune apologie du régime carné : relisez-bien et calmement...
En effet, ce n’est pas votre choix que j’ai critiqué mais votre psychologie et l’arrogance qui en découle : ce sentiment de détenir une vérité universelle à laquelle vous voulez assujettir le reste du monde m’est insupportable ! Il y a quelque chose de pourri au royaume des vegans !
J’ai suggéré qu’il y a très souvent chez les vegans, crudivoristes, etc occidentaux une aigreur particulièrement hostile due sans doute à des frustrations de diverses natures. Ce sont des êtres en général extraordinairement narcissiques. Je les ai observés, je les connais bien…
@Vegan
Il n’empêche que la manière de vous vous exprimez nuit, je pense, aux idées que vous voulez défendre. Nous sommes beaucoup, rien que sur ce fil de discussion, à le ressentir. D’autant qu’il semblerait que vous vous ne vous adressiez pas aux pires "carnistes", comme vous les appelez !
Il existe des tas de gens qui, sans éprouver de plaisir à torturer des bébés chiens au fer rouge, ne sont pas particulièrement sensible à la cause animale. La souffrance d’un moustique ou d’un poulet m’est assez indifférente, et je ne me sens pas particulièrement barbare sous prétexte que je mange de la viande/poisson 2-3 fois par semaines et des oeufs régulietement. Par contre je préfère manger de l’agneau qui vient du père trucmuche de la ferme à côté plutot que des poulets nestlé (au pif) nourris aux graines de poissons concassés a la cxx.
Et je suis d’accord pour dire que la plupart des gens consomment trop de viande (surtout rouge), et qu’on brule des quantité inutiles d’énergie en faisant acheminer de la nourriture depuis trop loin (fruits et légumes aussi).
@ petitjean
J’ai bientôt 45 ans, je me lève tous les matins à 6h et me couche à 23h grand max, éreintée par une dure journée de labeur, entre mon travail pour subsister aux besoins de ma maisonnée, et le travail que je dois accomplir seule dans ma maison et mon terrain qui se trouve etre aussi un petit refuge animalier d’une soixantaine de betes (en attendant de faire les choses en grand). Les weekends, les vacances, connais pas.
Pourquoi donc vos informations sont elles contraires à la majorité de ceux qui les ont expérimenté ? Si vous êtes allé manger dans des resto vg, que vous connaissez toute l’étendue de la nourriture vegetale, comment pouvez vous parler de privation et d’austerité ? Un vieil adage dit qu’il ne faut jamais faire confiance à un ex vegan.
Moi ce que je ne comprends pas dans votre schéma de pensée, c’est de tolérer ou d’accepter que le monde torture et massacre parce que la loi l’y autorise. Ce qui est insupportable et aberrant c’est de dire que les gens ont le droit de choisir leur manière de s’alimenter quand on parle du sacrifice d’êtres sentients à cet effet. Vous êtes sur que c’est bien au royaume des vegans qu’il y a quelque chose de pourri ? Pour etre narcissique, il faudrait qu’on se regarde le nombril. Hors, contrairement aux luttes droits de l’hommiste, la notre est tournée vers des etres qui ne nous ressemblent pas. On a vu mieux comme manière de servir nos intérets vous ne trouvez pas ?
@ Adrien.M
Je sais bien que dès qu’un vegan ose hausser le ton, en découdre et défendre énergiquement voir insolemment la cause animale, on le taxe de tous les travers psychologiques voir psychiatriques. Cette même façon de parler rencontrée sur ce site à propos d’autres sujets ne dérange pourtant personne.
On ne demande pas aux gens d’etres sensibles ni d’aimer, mais de respecter le droit fondamental de n’importe quel etre sentient à ne pas etre sous le joug des animaux humains et avoir le droit de vivre en toute dignité et oserais je dire liberté.
Que votre barbarie vous échappe, même celle de manger un bébé animal qui hurle sa terreur et sa mère son désespoir, c’est bien normal, tout le systeme est fait pour vous déculpabiliser. Mais lisez donc les témoignages des ouvriers d’abattoirs pour comprendre que c’est non seulement l’horreur pour les animaux que vous cautionnez avec votre argent, mais aussi l’horreur pour celui qui exécute ces monstrueuses taches alors qu’il pourrait trouver d’autres débouchés et ne plus etre traumatisé si le monde consommait suffisamment vg pour que des industries de substitues carnés voient le jour.
Si vous ne savez pas ce qu’est un substitue carné, googlez un monde vegan. Quand au prix, si vous connaissez le principe de l’offre et de la demande, pas la peine de vous expliquez pourquoi ces produits sont plus chers que vos caddies remplies de souffrances.
@Vegan
A aucun moment je n’ai fait de parallèle avec la psychiatrie, vous vous braquez vite !
Et quant à mon caddie, je peux vous assurer que quand je le compare aux autres (j’habite à Paris), il fait partie de ceux qui contiennent le moins de saloperies, et j’y mets largement moins de viande que la majorité des gens !
@Adrien.M et petitjean,
Oui ne m’en veuillez pas, j’ai tendance à démarrer un peu vite à force de passer pour une parfaite crétine. J’ai le sang chaud d’un sicilien et d’une angevine, et suis dôté d’un caractere assez téméraire, ce qui ne facilite pas la tempérance ou la diplomatie dans mes propos. J’ai tellement l’habitude d’essuyer des insultes qui prouvent que mes interlocuteurs ont forcément raison, de me faire traiter d’hystérique ou d’être gratifiée des petits noms genre cocotte, bobo, fasciste, dictateur, etc qui montrent à tout le monde la supériorité intrinsèque des mâles qui ont de grosses testicules remplies à ras bord de logique pure.
Ne prenez pas personnellement mes remarques à propos du caddie et du reste. Je parle du schéma de pensée, de la consommation et des reflexions des carnistes en general.
PetitJean n’a personne d’autre sur qui exercer une critique morale péjorative que sur quelqu’un qui dans le fond a le malheur de se soucier, le plus sincèrement et humainement j’en suis sûr, des êtres à la fois fois les plus victimes et les plus innocentes du système. C’est ça le plus difficilement compréhensible.