J’ai quitté, depuis peu, une entreprise mondiale où un état, homosexuel, juif ou une appartenance maçonnique sont gage de compétences.
Deux c’est le strike, trois le jackpot.
Je me souviens d’un dialogue d’un film de Mel Brooks, remake de « to or not to be » d’Ernst Lubitsch, les deux peu accusables d’antisémitisme.
Le lieu, Varsovie 1940
« On arrête tous les juifs et les homosexuels ! »
« Mais, comment on va faire du théâtre ? »
Je m’inscris dans la ligne de M. Soral où du général il est nécessaire d’en venir au particulier.
Dans un passé très récent, la musique, en France, était sous looby gay.
Pascal Nègre, PDG de Universal Music France, + de 40% de part de marché.
Gérard Louvin, producteur des principales émissions de variétés télévisuelles.
Jean-Claude Camus, producteur de spectacles a gros budgets, Hallyday, Sardou, Jarre.
Depuis le looby gay s’est calmé devant un autre, plus ancien, plus puissant, il ne peut y avoir qu’un maître nous sommes devant des combats d’influence qui dépassent la politique et les frontières.
Les Frères*** ?
J’ai été coopté, à la trentaine par eux, j’y ai rencontré des hommes extrêmement brillants, des vénérables dont les neurones tournaient à la perfection, mais dont le quotidien était profondément en désaccord avec leur prestation en loge.
Là, j’ai calé.
Les juifs ?
J’ai été tellement témoin d’appel d’offre inexistantes juste destinées à des copains de Bar Mitzvah désignés que là aussi j’ai calé.
Répondre à ce message