Merci pour cette mise en perspective.

Bonnes fêtes de fin d’année.

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Voilà l´écart entre Alain Soral et Juan Branco. On est sur deux longueurs d´onde différentes. Deux lignes parallèles que ne se croiseront jamais (sauf miracle).

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Je prise particulièrement les nuances sur l’universalisme grec.

Alexandre le Grand, malgré qu’il fût incontestablement grec (sa mère Olympias était une princesse épiriote, or c’était la mère qui transmettait la nationalité chez les Grecs, les Celtes... et d’autres ; et son père Philippe II, Macédonien, donc Barbare, avait été admis aux jeux olympiques après la Troisième Guerre sacrée, ce qui équivalait à une naturalisation) était roi de Macédoine et donc Barbare du point de vue grec.

L’universalisme consiste à édicter que les principes que l’on professe sont les seuls valables. Il est donc le comble de l’impérialisme. Ce n’est pas pour rien si la colonisation française, universaliste, a suscité plus de rancœurs que la colonisation anglaise, dépourvue de telles prétentions.

Le comble consisterait à prétendre, par tribalisme, avoir le monopole de tout principe bon, et déclarer les autres en être exclus. Ce serait le summum du pire.

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Noël c’est tellement magique que quand bien même tu viens d’une famille de déglingos où à chaque Noël tu avais droit à une (minimum les bonnes années) scène de ménage, à des bris de vaisselles, des hurlements, coups de poings dans les murs...malgré tout il subsiste dans les souvenirs la magie de Noël ! La mère qui décorait la maison, le sapin, l’odeur du sapin naturel, la crèche au pied du sapin ou à côté de la cheminée, le disque des cantiques de Noël que l’on écoutait chaque année à ce moment, l’attente des cadeaux, la mise en scène du passage du Père Noël pour le petit frère, la petite sœur...qui y croyaient encore...la féerie de la neige que l’on attendait pour Noël mais qui n’était pas toujours au rendez-vous si bien que quand elle arrivait on se mettait tous à hurler "Il neige ! Il neige !"...tout ceci laisse des souvenirs et une nostalgie imprégnés de magie que même les pires scènes de ménage ne parviennent pas à complètement effacer !

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Le terme judéo-christianisme est problématique par la définition de sa première composante. Si la chrétienté est aisément définissable comme la foi en Christ et en son évangile, ce qui offre un cadre conceptuel relativement solide, la judaïté est beaucoup plus floue et ambiguë. Déjà, entre ce qu’elle définit à l’ère pré-chrétienne et à l’ère talmudique il y a sans doute un gouffre. De nombreux juifs ont suivi le Christ et on pourrait les qualifier de judéo-chrétiens (Saint Paul etc.), mais concernant ceux qui aujourd’hui se définissent comme juifs, il y a une incompatibilité forte entre les deux termes dont l’association paraît donc contradictoire.

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