Assigné à résidence, les bronches du covidé Éric Zemmour ont visiblement été bien plus obstruées par une question de Christine Kelly que par le grand méchant virus !
« Est-ce que ce n’est pas l’État profond qui fait que l’affaire Epstein n’explose pas ? »
Légère panique sur le plateau de l’émission Face à l’info de CNews, qui consacrait l’un de ses sujets du jour à « l’État profond »... Quoi ? L’affaire Epstein ? On doit en parler ? Merde !
Les sourcils du chroniqueur en duplex Zemmour se froncent, la moue se fait boudeuse, incrédule, perplexe. Heureusement pour lui, son suppléant sur le plateau – Dimitri Pavlenko (journaliste économique pour le groupe Lagardère, TF1, France 2, Radio Classique, Sud Radio) – hésite puis se sacrifie (c’est son rôle) :
« Ça, c’est la version complotiste de l’État profond. »
Circulez, il n’y a rien à voir ! L’État profond c’est « l’inertie bureaucratique » et rien d’autre !
Visiblement gêné, Zemmour confirme mollement :
« Je n’ai pas suivi cette histoire... L’État profond c’est plutôt la haute fonction publique... Je ne vois pas trop le rapport... »
On a connu le salarié du quatuor tribal Dassault-Bolloré-Saada-Nedjar plus véhément ! Sûrement le Covid...
À moins que ce ne soit cette terrible vérité qui le dérange : l’État profond, aux États-Unis comme en France, c’est le lobby sioniste. Et non pas les « inamovibles hauts fonctionnaires » qui servent de paravent à tout un courant de fausse opposition allant de Michel Onfray au Monde diplomatique.
Citant Jean-Pierre Chevènement, le piteux Dimitri Pavlenko a au moins osé parler des « néoconservateurs » sur ce sujet, comme Marc Endeweld (qui connaît bien les différents réseaux de pouvoir) avant lui ; mais toujours en des termes flous et dans un cadre restreint (le Quai d’Orsay). Il y a pourtant de quoi faire. En 2003, George H. W. Bush avait répondu à son fils George W. Bush qui lui demandait « C’est quoi un néoconservateur ? » :
« Je te donne la description en un mot : Israël. »
Le chevalier Zemmour craindrait-il de révéler aux Français que Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell sont deux agents du Mossad qui étaient chargés de faire chanter les représentants du pouvoir occidental, en premier lieu desquels Bill Clinton alors président de la première puissance mondiale ?
Ou le « nationaliste » aurait-il peur des implications françaises de cette affaire tentaculaire ? De Pierre Bergé à Jack Lang en passant par la presse française et les apparatchiks de Big Pharma (spécialement ceux officiant autour du SIDA et du Covid-19, comme Yves Lévy par exemple) arrosés par le toutou de « l’État profond » Bill Gates...
Bref, depuis que Trump a explosé le tabou en popularisant l’expression deep state et que Macron l’a plus ou moins maladroitement utilisé, les commissaires politiques du pouvoir profond de France se trouvent dans l’obligation de faire du damage control pour empêcher le peuple de trop s’interroger sur cette réalité.
Mais peu à peu les digues tombent et cette stratégie de dissimulation devient de plus en plus dangereuse pour ses tenants. Un contexte qui explique l’actuelle radicalisation de la répression sioniste (Soral, Ryssen) et annonce un basculement complet vers la dictature...
Le sujet sur l’État profond à partir de la 25e minute et le passage sur Epstein à partir de la 38e minute :
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