À quoi sert la psychose covidiste ?

On le sait maintenant, vu les centaines de milliards engrangés par le Big Pharma, le Big Tech et la finance internationale (BlackRock, Vanguard) : à vendre du pseudo-vaccin très cher à des gouvernements très corrompus. On peut même s’attendre à de grands procès, un jour (de démocratie), avec d’immenses rétrocommissions, comme dans les deals d’armement.

À quoi sert la psychose réchauffiste ?

À vendre l’immigration de masse climatique. Cela justifiera des déplacements de populations gigantesques – on peut même parler de déportations car elles sont organisées par les autorités mondialistes derrière de douteuses ONG, qu’on devrait rebaptiser OM, pour Organisations mondialistes –, et provoquera la fin des nations, ces dernières résistances au Nouvel Ordre mondial, qui commence à prendre de l’âge depuis l’ère Rumsfeld-Cheney (50 ans de règne depuis les années 60).

Regardez cette préparation – on aime bien le concept de préparation : avant un assaut des chars et de l’infanterie, il y a toujours une préparation d’artillerie, destinée à neutraliser un maximum de défenses adverses. Il s’agit d’une fiction de France 3, une des pires chaînes de propagande du SPA (service public audiovisuel) :

La grosse Titine, en direct de son fief lillois, fait à sa façon – humaniste et antiraciste – le jeu des forces antinationales :

Le migrant, ce vaccin antinational

Les ingénieurs sociaux du Système jouent donc sur tous les tableaux avec les peurs des citoyens, qui sont aujourd’hui des sous-citoyens, c’est-à-dire des gens à qui on a retiré, petit à petit, sous des prétextes fallacieux, la plupart de leurs prérogatives et libertés.

Par exemple, si on poursuit avec un marteau un voleur entré (par inadvertance) dans sa maison, on se fait engueuler par les voisins et le commissaire du coin. On ne demande pas à être enfouraillés à la texane, et à flinguer au M16 la moindre mouche à merde qui pose problème, mais un minimum de sécurité est nécessaire.

Et puis, il faut un peu se préparer à l’arrivée des migrants, cette armée de réserve du Capital, issus des zones de guerres africaines tribales, un afflux d’ex-enfants soldats déglingos avec un seul triptyque en tête : tuer les hommes, violer les femmes et piller le matos.

L’essentiel, à l’instar du 3e petit cochon, le plus prévoyant, est d’avoir une vision assez claire du présent pour préparer le futur, c’est-à-dire sauver la paix civile. Car c’est bien à la paix civile que les forces mondialistes s’attaquent. Pour l’instant, toutes les catégories de Français concernés par cette attaque ne sont pas très conscientes du problème, mais sentent que quelque chose de pas net se trame.

Ce restaurateur lyonnais préfère fermer plutôt que de s’abaisser à trier sa clientèle entre bons et mauvais Français. Sans parler des touristes, qui fuient la Macronie à toutes jambes pour des contrées plus riantes, moins tarées.

Le type qui dit ça, c’est le président d’un syndicat d’hôtellerie et de restauration. Mais alors, pourquoi les néolibs qui sont au pouvoir chez nous voudraient-ils détruire l’activité touristique ? Ils sont quand même pour l’activité, l’entreprise, le pognon, non ?

Erreur, c’est pas ça, le but : le but, c’est de détruire la France par tous les moyens, tout en tirant un énorme bénéfice de cette destruction. On le voit avec la destruction de l’esprit national par les médias et l’école, ou la destruction de l’immunité nationale par la paupérisation programmée de l’hôpital et une vaccination inutile, dangereuse et forcée.

Ce qui est perdu en activité, d’autres le gagnent en dette, donc en profit bancaire. Nos ancêtres sous Saint Louis appelaient ça l’usure, et ils n’aimaient pas ça, mais alors pas du tout.

C’est pourquoi un petit banquier à moitié fou (de lui-même) a été installé, après force magouilles et manips, sur le trône de France. Les catégories qui en doutent verront bien, quand elles seront dans le viseur et dans la nasse, ce qu’il en est.

En attendant, tout n’est que complotisme, cette lucidité qui a le désavantage d’être un peu en avance sur son temps.