Vous voulez du féminisme ? Du vrai féminisme, pas de la merde coupée au gauchisme ? Du vrai féminisme, celui qui allie courage, contestation et clairvoyance ? Cassandre.
Cassandre, ce mélange très français, très chrétien, très anar, de Marianne (la belle du buste, pas le journal sionard), Simone Weil (pas l’avorteuse en chef, l’autre, la philosophe de la vérité) et Jeanne d’Arc. Une féministe, c’est une femme libérée qui libère, une libératrice, pas une Femen qui libère uniquement sa vessie dans une église. Jeanne d’Arc a bouté l’Anglais hors de France, elle en est morte. Cassandre veut bouter le sionisme hors de France, les inquisiteurs préparent déjà le bûcher, pour l’exemple, et l’exécution sera publique.
Mais Cassandre est devenue une star, et en cinq minutes : il a suffit d’un carton et d’un peu de name-dropping (eh oui, du franglais). Une star, un symbole, et on ne touche pas impunément à un symbole. Un symbole, ça déclenche des choses à la fois dans les très basses et les très hautes couches de la pensée, c’est nitroglycérinien. Ça touche à l’instinct, à l’histoire, à la mémoire collective d’un peuple, et on ne sait jamais ce qui peut sortir de l’inconscient. Parfois du très bon, parfois du moins bon.
Pour devenir célèbre aujourd’hui, vu que les médias sont d’obédience sioniste, il suffit de balancer une vanne sur BHL, Finky ou Attali. Un jeu de mots, une image décalée, un dessin, et la bombe sioniste explose, car les médias minés comme le désert du Sinaï de têtes nucléaires n’attendent que ça. Rien que la réaction communautaire en chaîne massive est une preuve évidente de la mainmise sioniste sur les médias. C’est indiscutable et ceux qui soutiennent le contraire ne sont que des employés des mêmes médias, des aveugles, des idiots ou des pétochards.
Cependant, devenir une star non sioniste dans un Système sioniste qui fabrique ses propres stars siono-compatibles, ça se paye au prix fort. Cela explique pourquoi ça ne se bouscule pas au portillon de la starisation par amalgame. Un jour, il suffira d’écrire « Attali » sur une pancarte pour aller en taule, sans passer par la case procès, qui de toute façon est écrit à l’avance.
À revoir : les deux premiers chapitres du documentaire
Jacques Attali – De Mitterrand à Macron : 40 ans de pouvoir profond
On sait tous qu’au bout du courage il y a la punition, mais voyez-vous, parfois, le goût de la liberté et de la vérité est plus fort que la peur. Ce parfum qu’une bonne partie des Français a oublié, ce parfum de révolte, de déchaînement (au sens littéral), de libération, qui est en train de monter, il enivre le Gaulois, le François, le Communard, le manifestant, le Gilet jaune, l’antivax, l’infirmière, la mère de famille, il est là, et se transmet plus sûrement qu’un virus bidon fabriqué par nos élites.
Ce parfum est en train de réunir un peuple divisé à dessein par les forces du Mal.
Cassandre, en marchant fièrement avec son carton chargé de sens, est devenue en un coup de fouet salutaire la nouvelle Marianne, remplaçant à jamais toutes les actrices qui avaient prêté leur silhouette à ce symbole national devenu désuet, parce que désactivé. Aujourd’hui Cass réactive la Marianne de la vraie République, non pas celle des francs-macs mais des vrais gens, des gens épris de liberté qui ont envie de péter les chaînes que les forces occultes leur ont foutues aux pieds et dans la tête. Cass a surgi du néant (on se fout d’où elle vient, comme les chiens des médias l’ont dénoncé) pour devenir la nouvelle Jeanne des Français qui refusent la destruction de leur nation millénaire chérie.
Il suffit de marcher sur le bout de la queue du Diable pour le mettre en fureur. La fureur, c’est à la fois la force et la faiblesse du Diable : il fait peur aux gens de peu de foi, mais il est manipulable par la fureur, qui est l’expression de sa peur, peur de la foi. C’est pourquoi ses employés s’attaquent à nos églises, brûlent Notre-Dame et assassinent nos prêtres. Oh, pas directement, pas de leurs mains, car ils sont lâches et planqués, mais ils peuvent compter sur leurs larbins, des larbins qu’ils ont eux-mêmes fabriqués dans leurs écoles pourries ou importés de pays déglingués. Ils utilisent des hommes contre les hommes, ils font du prochain un ennemi, voilà pourquoi il faut aimer son ennemi pour niquer le Diable. Autrement dit, il faut une alliance de toutes les forces vives de la nation pour venir à bout du démon.
Naturellement, dans ce combat eschatologique essentiel, nulle trace de soutien des féministes à Cass : le pouvoir machiste du CRIF n’entre pas dans la ligne d’attaque des copines de Caroline de Haas, l’élargisseuse de trottoirs. Dans le même genre, où sont les « sœurs » anti-bûchers qui doivent prendre la défense d’une sorcière qui va être brûlée vive en place publique par une justice aux ordres du pouvoir profond ? Allo, les sorcières ? Vous êtes où ? Tous vos bouquins sur le sujet, tous vos pochoirs sur les murs de nos villes, c’était donc du bidon ?
Cass n’est ni une nazie ni une antisémite, elle a simplement ciblé les personnalités qui nous persécutent, qui font sciemment du mal à des innocents, des enfants et des adultes qui souffrent uniquement pour que d’autres deviennent encore plus riches, plus puissants et plus salauds. Et cet holocauste-là, il n’intéresse pas la presse. Nous devons reprendre à l’ogre mondialiste nos vies, nos libertés, pour vivre non pas comme avant, mais sans ces maîtres qui sont des anges déchus, des déchets du Ciel.
Le vaccin de Bourla n’est pas la panacée et Bourla n’est pas le messie, loin de là. Ou alors pas le nôtre.