La gauche, au lieu de s’indigner de la pauvreté du 93 et ses conséquences, pauvreté qu’elle a programmée et acceptée avec la désindustrialisation du pays dans les années 80 (sous pression de Bruxelles et de la Banque), s’indigne des propos qu’on peut tenir sur le département qui sert de cache-misère à toute l’Île-de-France.
C’est là qu’on case les nouveaux venus (voir la démographie d’Aubervilliers), ces clandestins amenés par les officines mondialistes d’obédience socialo-sioniste. On appelle ça un double jeu, qui coûte cher à la France, à tous points de vue. Et on trouve des hiérarques socialistes pour défendre cette cocotte-minute sociale. Cette complicité de crime contre la France sera-t-elle jugée un jour ?
Dans le genre socialo-sioniste qui se lave les mains de cette situation fabriquée de A à Z par les dirigeants du pouvoir profond depuis 40 ans, on peut retrouver en fin d’article la réaction emblématique de Jérôme Guedj.
Et pour ne pas nous faire mentir, le maire de Saint-Denis demande une loi pour l’accueil inconditionnel des migrants. Valeurs actuelles a évidemment sauté sur le baudet :
Une meilleure prise en charge des migrants dans le pays, et en particulier dans son département et sa ville : c’est le nouveau cheval de bataille de Mathieu Hanotin, le maire socialiste de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). [...]
Il ajoute que « les événements violents de la place de la République ont été un des effets résiduels de l’évacuation du campement de Saint-Denis », laissant des scènes où ces migrants s’étaient retrouvés « sans aucune solution, à errer ».
Alors pour y faire face, l’élu a une solution : une nouvelle loi SHU (Solidarité hébergement d’urgence) sur le même modèle que la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain) afin d’avoir « un meilleur partage de la solidarité, avec des obligations et amendes pour celles et ceux qui ne respecteraient pas cette responsabilité collective ». En somme, un accueil obligatoire de migrants pour toutes les communes. Il s’agirait d’un « accès aux droits fondamentaux des migrants », juge-t-il.
Le débat au Sénat sur la gouvernance du Grand Paris est ici. Mais il dure 9 heures et 42 minutes.
Dans son discours sur les poches de pauvreté en Seine-Saint-Denis malgré les richesses créées, Valérie Pécresse a indiqué qu’il y avait « des petites Seine-Saint-Denis dans toute l’Île-de-France ». Certains membres de la gauche y ont vu une « stigmatisation » du département, jugeant que l’élue liait la pauvreté au terrorisme.
Le discours au Sénat de Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France, au sujet de la pauvreté du département de Seine-Saint-Denis a suscité une polémique parmi certains membres de la gauche.
Abordant la question de la redistribution des richesses entre les collectivités, Mme Pécresse a souligné que bien que le Seine-Saint-Denis crée beaucoup de richesses, celles-ci « ne vont pas à ses habitants ». Selon elle, le département est « singulier, avec énormément de pauvreté ».
En plus de cela, Valérie Pécresse s’est dite préoccupée par la montée de la pauvreté et sa « dissémination » dans toute la région :
« Vous allez à Garges-lès-Gonesse, à Sarcelles, à Villiers-le-Bel… C’est là qu’a grandi l’homme qui est venu assassiner nos fonctionnaires de la préfecture de police. Je suis désolée : il y a des petites Seine-Saint-Denis dans toute l’Île-de-France. […] Il faut qu’on soit très vigilants. Cette logique de péréquation, c’est pour cela qu’on couvre toute l’Île-de-France ».
Département « stigmatisé »
Cette phrase a suscité la réaction de certains membres du Parti socialiste (PS) qui y voient une « stigmatisation » : « Elle parle du 93 qui pourrait se disséminer ailleurs en Île-de-France tel… un virus, une maladie grave », s’indigne Yannick Trigance, conseiller régional PS, cité par Le Parisien.
« C’est une stigmatisation, une de plus, du département, d’autant qu’elle émane de la présidente de tous les Franciliens », lance-t-il. Enfin, M.Trigance a regretté que la Seine-Saint-Denis soit ainsi « réduite à sa pauvreté » et « au risque de créer des terroristes que cela engendre ».
Pour Catherine Lime, conseillère régionale PS, Valérie Pécresse tisse un « lien direct entre pauvreté et terrorisme ».
Pécresse s’explique
Interrogée à propos de cette polémique suscitée par son discours, la présidente du Conseil régional affirme que « ses propos ont été totalement sortis de leur contexte par des personnes qui sont en campagne électorale et qui cherchent à les déformer », indique Le Parisien.
« Mon propos général portait sur le fait que 75 % de la richesse d’Île-de-France est créée sur le périmètre métropolitain, et que la grande couronne se sent exclue de la MGP. Je disais qu’une métropole véritablement inclusive doit intégrer la grande couronne et plaidais pour une métropole régionale », explique-t-elle.
La phrase en question provient d’une discussion avec Philippe Dallier, sénateur Les Républicains de Seine-Saint-Denis, auquel elle a répondu pour préciser que le département « cumulait les handicaps et devait faire l’objet d’une attention particulière et de moyens financiers supplémentaires », poursuit Mme Pécresse.
« Je voulais souligner l’existence, notamment en grande couronne, de territoires tout aussi frappés par la pauvreté et par le déficit de moyens financiers et de service public. Je crois que c’est une évidence ! », conclut-elle.
Polémique sur Saclay
Une autre phrase qu’elle a prononcée devant la délégation sénatoriale n’est également pas passée inaperçue. En soulignant l’importance de l’intégration de Roissy-Charles-de-Gaulle et de Saclay, centre technologique, Mme Pécresse a indiqué :
« Mais là, vous tuez complètement les territoires. Le président de l’Essonne vous le dira : si on me prend Saclay, il ne me reste plus que les pauvres. Il me reste un million d’habitants qui n’habitent pas à Saclay mais qui sont tirés par la dynamique de Saclay ».
Ce discours a été perçu comme un « mépris pour les habitants » et de « la morgue et de la bêtise » par Jérôme Guedj, ancien président (PS) du conseil départemental de l’Essonne. « J’ai honte pour eux », a-t-il martelé sur son compte Twitter.
Face à cette remarque, Valérie Pécresse estime que « Jérôme Guedj déforme totalement le sens de [son] propos » et se déclare « effondrée par la médiocrité de la polémique » qui « n’a qu’un objectif : me salir ».