Postulat : la star d’Intouchables, ce n’était pas Omar Sy (OS) mais l’idée. Même si Intouchables était bien-pensant, l’histoire positive a plu au public. OS n’était qu’un élément de cette réussite parmi d’autres, et l’autre c’est Cluzet, meilleur acteur s’il en est, et surtout le scénario de la paire Toledano-Nakache. Ce sont eux qui ont fabriqué OS, pour les besoins de la propagande, de leur propagande. Et ça tombe bien : leur propagande est la propagande du Système.
Les médias mainstream, suite au succès inattendu du film, ont embrayé sur le phénomène « Intouchables » et érigé une statue à OS, antiracisme oblige. Alors qu’une statue s’érige sur la durée. Malheureusement, OS ne peut assumer ce statut, qui se transforme en croix : tout ce qu’il a fait après sur son nom n’a pas marché. Knock ? Un bide formidable : il ne rapporte que 5 millions d’euros sur un budget de 12 millions d’euros. Malgré ça, OS récidive avec un autre remake de classique, Lupin. Quand les producteurs vont-ils admettre la tragique méprise ?
Le problème n’est pas qu’un Noir incarne ces personnages, qui ont été magnifiquement interprétés avant lui – d’où une première difficulté –, mais qu’un acteur moyen les incarne. OS ne sera jamais Delon ni Belmondo, pas parce qu’il est noir, mais parce qu’il n’est pas grand acteur. Et la poussée des médias gauchistes n’y changera rien, bien au contraire : on ne fait pas boire un âne – le public – qui n’a pas soif, c’est-à-dire payer dix euros pour un navet, une eau frelatée.
Ainsi, les médias mainstream ont-ils fabriqué artificiellement une star qu’ils ont imposée à un grand public... qui ne l’a pas avalée. We don’t buy, disent les Américains. On ne payera pas pour une fausse star, dit le public français. Jamel Debbouze a subi la même déconvenue : après le succès considérable du Astérix de Chabat (14 millions d’entrées en 2002), dès qu’un film s’est monté sur Jamel seul (un Luc Besson en noir et blanc), son statut de star s’est effondré en une journée, le fameux mercredi de la sortie dans les cinémas emblématiques, ceux qui font le succès ou l’insuccès d’un film.
L’explication de cette déconvenue ? Le racisme, évidemment, car un acteur non blanc ne peut pas être mauvais !
Il n’y a plus que Technikart pour penser qu’OS est une star. L’acteur réfugié en Californie est victime de la machination du Système, qui fabrique des stars à son image. Or, le Système lui-même est impopulaire, car il est aujourd’hui associé à la coercition, à la contrainte, à la répression. Pour se donner un aspect positif, il fabrique des stars bidon pour faire croire au public qu’elles lui ressemblent, c’est sa définition du bien. OS porte les valeurs du Système, pas du peuple, et c’est là l’explication de son malheur. OS n’est qu’un simple porteur, mais qui porte les mauvaises idées. Sa vanité et le mensonge intrinsèque du Système lui cachent la vérité.
Le Système voudrait donc passer pour antiraciste, inclusif, en mettant en valeur « la partie lumineuse de l’humanité », comme l’énonce OS, alors qu’il est tout le contraire : profondément raciste, inégalitaire, vengeur, sadique, il entraîne les Français vers le gouffre, le noir total. C’est peut-être pour ça qu’il a choisi – parce qu’il est foncièrement cynique – OS.
Et pour montrer qu’OS n’est pas la seule victime de cette opération de starisation artificielle, deux personnalités impopulaires sont actuellement en vente en tête de gondole de l’hypermarché mondialiste : Assa Traoré, la « gardienne de l’année » selon l’hebdo américain Time, et Rokhaya Diallo, « une des personnes les plus influentes d’Europe » selon le site américain Politico.
Rokhaya et Assa vivront la même déconvenue : quand elles ne serviront plus les intérêts supérieurs, elles seront jetées comme des malpropres. Mais avant, pour satisfaire ceux à qui ce même Système les a vendues de force, comme des esclaves, il les jettera en pâture à un public qui se lâchera méchamment, parce que toute critique de ces porteuses de fausses valeurs lui avait été interdite.
Vous n’avez rien construit. C’est Rothschild et ses réseaux qui ont fabriqué cette fausse opposition. Les preuves ici https://t.co/B6vavqkjqA
— Youssef Hindi (@Youssef_Hindi) December 11, 2020
Bonus : l’antiracisme s’effondre aussi à la télé
TV Mag Le Figaro donne le ton de la dernière série du service public audiovisuel :
France 3 tente d’illuminer cet étrange fin d’automne avec une saga romanesque construite sur les relations franco-sénégalaises au temps de l’Empire colonial. Avec, notamment, Olivier Chantreau et Isabelle Gélinas.
« L’homme de la rue, je le connais, moi. Il n’aime ni les Noirs ni les juifs. Quant aux femmes… » Cette réplique, lancée par l’une des figures féminines de Black and White, accessoirement tenancière de maison close, donne le ton de la mini-série en quatre épisodes concoctée par Jacques Kirsner pour France 3.
L’histoire prend place à Dakar, au Sénégal, dans les années 30 et se poursuit jusqu’à la déclaration d’indépendance du pays. Les colons français et leurs familles y vivent un quotidien fait de privilèges et de moiteur. Parmi eux, le gouverneur de la colonie Richard Favier (Laurent Grévill), son épouse (Isabelle Gélinas), la mystérieuse Catherine Paolini (Dominique Labourier) et le jeune capitaine Alain de Bourbon (Olivier Chantreau), qui épouse bientôt Fari (Marème N’Diaye), la première journaliste noire d’Afrique.
Wikipédia, en toute innocence, a fait le portrait de Jacques Kirsner :
Jacques Kirsner (pseudonyme de Charles Stobnicer) est un producteur de cinéma et scénariste français né le 22 juin 1946.
Dès son plus jeune âge, il participe aux activités des « Faucons Rouges », organisation de jeunes liés au Bund, le parti socialiste juif, il parle le yiddish. Puis à 12 ans, il rejoint le PSU. C’est à ce moment qu’il rencontre l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Il la rejoindra en 1963 sous le nom de « Charles Berg » et devient militant de la FER (Fédération des étudiants révolutionnaires) et des groupes « Révoltes », sera exclu en 1978, son indépendance d’esprit l’emportant sur la solidarité du groupe. Pour son éviction, est évoqué ce qui sera plus tard qualifié d’"affaire Berg", selon laquelle nombre de membres du comité central de l’OCI auraient été impliqués dans le trucage du nombre d’adhérents début 1978...
- 5 % des téléspectateurs seulement pour cette fiction antiraciste inclusive de France 3
Conclusion
Les médias mainstream ont voulu imposer l’antiracisme aux Français : il s’est effondré sur lui-même, tout simplement parce que les Français ne sont pas racistes. Aujourd’hui, le même Système veut imposer la vaccination aux mêmes Français. Y a-t-il de l’antiracisme dans la composition du vaccin ?
Il y a pourtant un comédien noir qui est très populaire, mais le Système – qui prouve là son racisme communautaire – ne veut pas en entendre parler : il s’appelle Dieudonné. Omar Sy ne serait-il que la version acceptable, dévitalisée, du grand comédien noir ?