Alors que nous entamons à pas lents le processus de déconfinement de la pandémie de Covid-19, que la moitié du monde a les rideaux de ses commerces fermés, que la crise économique s’annonce comme une vague scélérate, avons-nous bien fait de vouloir éviter l’iceberg ?
Il est temps de remettre quelques pendules à l’heure, de donner à chacun les armes argumentatives, difficilement discutables, pour convaincre autour de lui, factuellement et sans dérive ! Des faits, des chiffres, et des conclusions logiques.
Impact global de la pandémie sur la mortalité de la population
Le taux de mortalité est le rapport entre le nombre de décès et la population totale moyenne d’un territoire.
Nous rappelons que le taux de mortalité en France en 2019 était de 0,91 %, et de 0,74 % dans le monde.
Commençons par étudier le taux de mortalité du Covid-19 dans les pays touchés par cette pandémie.
Comme nous pouvons l’observer dans le tableau ci-dessous, les quatre populations les plus affectées par le coronavirus sont les populations espagnoles, anglaises, italiennes et françaises avec un taux de mortalité respectif de 0,057 %, 0,056 %, 0,055 % et 0,042 %.
En inversant ces données afin qu’elles soient plus parlantes, nous constatons que 99,958 % des Français ne sont pas morts du Covid-19.
Plus globalement, dans le monde, sur les 7,7 milliards d’individus, on compte 345 886 décès, soit un taux de mortalité de 0,004 %.
Pour rappel et à titre de comparaison, le cancer tue chaque année environ 10 millions de personnes dans le monde et près de 150 000 en France. La grippe, quant à elle, tue annuellement environ 10 000 personnes en France et près de 500 000 dans le monde. Enfin, la tuberculose provoque environ 1 500 000 décès chaque année.
Alors que les médias s’agitent et qu’Emmanuel Macron nous déclare en état de guerre, nous observons que l’impact réel de cette pandémie sur la mortalité de la population est minime. La question est donc de savoir si le confinement a permis d’éviter un taux de mortalité important au sein des populations touchées par le coronavirus.
Efficacité du confinement
Cet immobilisme contraint, pour lequel le gouvernement nous a vivement remerciés, est-il si probant ?
Pour le savoir nous avons comparé le taux de mortalité des pays confinés et de ceux ne l’étant pas.
Ainsi que le démontre le tableau ci-dessous, les États dont le taux de mortalité est le plus important sont des pays ayant opté pour le confinement, à savoir l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni et la France.
A contrario, la Suède, la Hollande, le Japon et la Corée du Sud, qui ont opté pour d’autres méthodes – immunité collective, dépistage de masse, confinement ciblé – ont un taux de mortalité compris entre 0,0005 % et 0,039 %.
Par ailleurs, certains États ayant eu recours à un confinement partiel de leur population tels que l’Allemagne et les États-Unis présentent également un taux de mortalité inférieur à certains pays ayant déclaré un confinement total de leur population.
Si ces données ne nous apportent pas de réelles réponses quant à la solution la plus bénéfique entre confinement total, partiel ou sans confinement, elles nous permettent de constater que le confinement n’est pas une variable déterminante concernant l’impact de la mortalité d’une population.
Le taux de létalité du Covid-19
Le taux de létalité (souvent dit létalité) est la proportion de décès liés à une maladie ou à une affection particulière, par rapport au nombre total de cas atteints par la maladie.
Ce virus, dont la dangerosité nous a été présentés comme élevée et contre lequel il n’y aurait actuellement aucun traitement officiel autre que l’immunité naturelle, a un taux de létalité extrêmement variable en fonction des études réalisées ainsi que des méthodes de dépistage et de comptage. On remarque ainsi que le taux diffère : alors qu’il est de 19,6 % en France, il est de 1 % en Russie. Plus globalement, l’OMS annonce une létalité de 3 % à 4 %.
Ces variations s’expliquent par la complexité d’établir une moyenne de la létalité des malades du Covid-19 compte-tenu du fait que toutes les personnes contaminées ne sont pas forcément testées – notamment lorsqu’elles sont asymptomatiques –, que certains cas sont déclarés contaminés sur de simples soupçons et que certains décès sont déclarés causés par le Covid sans enquête post-mortem.
Pour éviter le biaisement de ces chiffres, prenons comme cas témoins deux situations présentant deux mises en quarantaine de populations contaminées.
Le Diamond Princess
Ce bateau de croisière, comptant à bord 3700 passagers, dont 80 % étaient âgés de plus de 60 ans, a été immobilisé au large des côtes japonaises début février. 712 personnes ont été déclarées positives au Covid-19.
Sur ces 712 personnes, 7 sont mortes du Covid-19.
Ainsi, sur une population à risque, le taux de létalité de ce groupe témoin a été de 1 % .
Le porte-avion Charles de Gaulle
Suite à une escale à Brest, le coronavirus s’est propagé au sein de l’équipage du porte-avion français. La moyenne d’âge de l’équipage était d’environ 33 ans. À leur arrivée à Toulon, l’intégralité de l’équipage a été testée et 1 046 cas ont été déclarés positifs.
À ce jour, 99 % de l’équipage est guéri, seul un marin, sorti de réanimation, est hospitalisé, et aucun mort n’est à déplorer.
Ces deux cas témoins apportent une lumière sur la létalité extrêmement faible de ce virus. Le Covid-19 tue peu, surtout des personnes âgées ou des personnes déjà affaiblies par diverses pathologies – rappelons que 87 % des morts du Covid-19 en France avaient plus de 65 ans, dont 82 % avaient plus de 75 ans – et n’a aucune influence sur l’espérance de vie.
Existe-t-il un traitement ? L’hydroxychloroquine et le professeur Raoult
Les institutions officielles ne cessent de le répéter en France et dans la plupart des pays occidentaux : il n’y aurait pas de traitement pour lutter contre le Covid-19 et la seule solution serait l’élaboration d’un vaccin.
Le professeur Raoult, lequel s’appuyait hier sur des études chinoises – la Chine étant berceau de l’épidémie – et désormais sur sa propre expérience, soutient depuis le début de l’épidémie l’existence d’un traitement, l’alliance de deux médicaments, l’hydroxychloroquine et l’azithromycine.
Nous pouvons observer dans le tableau suivant le taux de mortalité des pays conseillant un traitement à base d’hydroxychloroquine et celui des pays réticents à son utilisation. Nous constatons que la majorité des pays qui utilisent l’hydroxychloroquine a un taux de mortalité plus faible que les pays ne prescrivant pas ce traitement.
Par ailleurs, l’IHU de Marseille, par la précision des données qu’il fourni, corrobore la conclusion précédente. Ces chiffres permettent de constater que les malades traités à l’hydroxychloroquine présentent l’un des taux de létalité les plus faibles du monde :
IHU Marseille
Parmi les 3308 malades traités à l’hydroxychloroquine/azithromycine, nous comptons 18 décès.
Le taux de létalité des patients ayant reçu ce traitement est donc de 0,54 %.
Il paraît dès lors limpide que pour lutter contre le Covid-19, le traitement conseillé par le professeur Raoult s’avère plus efficace que le processus mis en place par le ministère de la Santé, à savoir l’hospitalisation du malade après l’aggravation de ses symptômes, jusqu’alors ignorés.
Nous ferons remarquer que l’attente de la dégradation d’un patient avant prise en charge médicale ne correspond à aucune médecine et n’a jamais été une méthode employée pour lutter contre un virus mortel.
Rappel :
36 000 000 cachets de Plaquenil (hydroxychloroquine) ont été vendus en France en 2019 sans qu’il ne soit relevé ou constaté d’accident cardiaque.
L’hydroxychloroquine qui a été tant décrié par de nombreuses institutions françaises comme ayant des effets secondaires dangereux pouvait pourtant être dispensée sans ordonnance médicale en pharmacie jusqu’au 15 janvier 2020.
Un faible taux de mortalité, un faible taux de létalité, un traitement qui fonctionne
Comme nous pouvons désormais l’affirmer, le taux de mortalité est extrêmement faible et ce, même dans les pays les plus touchés (pour rappel l’Espagne avec 0,057 % de décès) ; le taux de létalité selon les exemples témoins en zones confinées serait de l’ordre de 1 % ; le traitement proposé par le professeur Raoult, prescrit par 57 % des médecins dans le monde, fonctionne et diminue de façon significative la létalité.
Dès lors nous sommes en droit de nous poser les questions suivantes :
Pourquoi le Covid-19, qui tue si peu, est-il décrit comme une véritable menace pour l’humanité ?
Pourquoi les pays occidentaux sont-ils prêts à provoquer une terrible crise économique en confinant leur population ?
Si seules l’absence de masques et de tests sont les causes de notre confinement, comment est-il possible que la France ait pu se retrouver dans une situation à laquelle les pays du Sud n’ont pas été confrontés ?
Pourquoi le traitement proposé par le Professeur Raoult est-il tant décrié et n’est-il toujours pas mis en place en France ?
La dissimulation d’une crise économique inéluctable en se servant d’une cause dont nul ne peut être accusé, ainsi que l’intérêt financier lié à la création d’une nouvelle molécule ou d’un nouveau vaccin peuvent être des réponses.
Ce qui est certain, et doit être sérieusement assimilé par un maximum de personnes est que la santé des Français – aujourd’hui physique, demain économique – n’a pas été préservée.