L’obsolescence programmée (depuis longtemps) des hôpitaux par le pouvoir néolibéral permet à ce même pouvoir néolibéral, incarné par Macron, de décréter que la situation sanitaire est « dégradée », qu’il faut déglinguer encore plus l’instruction des enfants et l’économie des indépendants.
Pour ceux qui ne seraient pas déjà au courant, voici la liste des décisions des destructeurs de notre pays, relevées sur France Info :
« Écoles fermées et vacances unifiées
Les crèches, écoles, collèges et lycées seront fermés pendant trois semaines, a annoncé le Président. Les vacances scolaires de printemps sont unifiées sur tout le territoire français à partir du 12 avril pour freiner l’épidémie de Covid-19. La semaine du 5 au 12 avril, "les cours pour les écoles, collèges et lycées se feront à la maison", a précisé le Président, sauf "pour les enfants des soignants et de quelques autres professions, de même que les enfants en situation de handicap". Elle sera suivie par deux semaines de vacances à partir du 12 avril, pour toutes les zones, avant une rentrée le 26 avril en physique pour les écoles et en distanciel pour les collèges et lycées. Lesquels rouvriront leurs portes le 3 mai.
Des restrictions étendues
Les restrictions en vigueur depuis la mi-mars dans 19 départements vont être étendues à l’ensemble du territoire pour quatre semaines à partir de samedi, a aussi précisé le chef de l’État. Ces mesures, déjà en place en Île-de-France et dans les Hauts-de-France, comportent la fermeture de certains commerces et l’interdiction de se déplacer à plus de 10 km, a précisé le chef de l’État au cours d’une allocation aux Français. »
Notez les éléments de langage de l’introduction de l’article du site de l’audiovisuel public :
Face à une situation sanitaire dégradée, Emmanuel Macron a pris la parole, mercredi 31 mars, pour faire part de ses arbitrages face à la troisième vague de Covid-19 qui frappe la France. Il s’est exprimé après un conseil de défense.
Arbitrages (donc pas de démocratie), troisième vague (donc probablement pas la dernière), frappe (donc bombardement)... On dirait que le tsunami du 26 décembre 2004 s’abat sur la France, et qu’une « frappe » venue d’ailleurs (les Martiens, par exemple) a détruit une partie de notre pays en guerre. En vérité, une guerre contre les Français déclenchée par les élites médicales, politiques, économiques et médiatiques, toutes liées dans ce programme dément. Une coalition jamais vue pour mettre au pas le peuple de France qui vivait encore, bon an mal an, sur les acquis de 1936, 1945 et 1969. Tout ça, c’est fini, les Français ont voté en 2017 pour leurs tourmenteurs, sans comprendre de quoi il retournait.
Ils – nous, on n’a pas voté pour ces timbrés – ont donné les clés du camion à une bande de dingues qui obéissent à des ordres venus d’une bande de superdingues, ces décideurs de l’oligarchie mondialiste faite des géants du Big Pharma (vous n’avez qu’à voir récemment le cynisme d’un Servier face à ses milliers de victimes, et vous aurez compris ce qu’est le pouvoir d’un labo, puis des labos), des fonds de pension gérés par l’intelligence artificielle (BlackRock) pour faire toujours plus d’argent avec l’argent, sans passer par la case Production & Emploi, et au-dessus de cette engeance, déjà bien délabrée mentalement, la bande des satanistes du pouvoir profond liés à feu Jeffrey Epstein, le pédocriminel international. Lui a été éliminé, et comme dans l’affaire Dutroux, le réseau n’a pas été touché.
C’est tout cet ensemble qui sent bon la Mort qui s’abat d’un coup sur la France pour la faire basculer dans le monde d’après, un monde de chaos où il faudra être riche et salaud pour s’en sortir.
Mais on n’a pas dit notre dernier mot.
En attendant, écoutons des décisions arbitraires de l’employé de Lucifer. Enfin, si vous en avez le courage.
Une troisième vague ? Quelle troisième vague ?
Cela fait déjà un moment que l’on nous parle de cette nouvelle vague qui vient. Même si l’on sait que les chiffres sont bidons et que les morts du Covid sont parfois morts du Covid – ce doit être rare –, morts avec le Covid mais d’autre chose, ou encore morts d’autre chose mais avec un test positif sans avoir eu le Covid, c’est cette courbe que l’on consulte de temps à autre pour savoir ce qu’il est censé se passer.
Le nombre de morts est un indicateur de choix en cas d’épidémie ou a fortiori de pandémie. Même si les comptes sont faussés, on regarde quand même. Mais rien ne montrait qu’une nouvelle vague allait tout emporter, car la courbe était plutôt descendante.
C’est alors que nous sommes allés voir cet autre indicateur, celui des « cas », autrement dit des résultats positifs aux tests à la con, qui sont mal calibrés, mal utilisés, et qui ne peuvent être au mieux qu’une aide au diagnostic et en aucun cas se substituer à lui.
Là, oui, ça monte. Évidemment, il faut relativiser avec ce que l’on vient de dire de ces résultats positifs ; mais aussi ajouter que l’allure de la courbe ne dépend pas non plus de la seule dynamique de la maladie, puisqu’il suffit de moins tester pour faire baisser le nombre de cas !
On remarquera aussi qu’il n’y a pas de troisième vague ou de début de troisième vague. Puisque ce qui monte, ce sont les prétendus cas, on constate que l’on commence une deuxième vague. Il n’y avait pas eu de tests au printemps de l’année passée… Si l’on compte la courbe en cloche d’il y a un an, alors c’est que l’on consulte le nombre de morts attribuées au Covid. Sauf que là, ça ne remonte pas ! Il n’y a pas de troisième vague.
Et pour clore totalement ce petit exposé et être très clair sur le sujet, il n’y a pas de troisième vague simplement parce qu’il n’y en a pas eu de deuxième : il s’agit d’épidémies différentes, liées à des variants différents. Cette notion de vague, sortie du chapeau pour l’occasion, nous montre une fois de plus que l’on nous prend pour des cons. Mais ça, on n’avait pas attendu le SARS-CoV-2 pour s’en apercevoir.