et 
!
A musant et courageux article paru dans Minute.
Courageux parce qu’il est anonyme, amusant parce que derrière le courageux C.P. se cache Bruno Larebière. Bruno Larebière qui reproche à Alain Soral de ne pas avoir crié assez haut et fort son soutien à Jean-Marie Le Pen, lui qui ne vient pas de la mouvance nationale et qui avait effectivement tout à perdre dans ce soutien.
Amusant et courageux Bruno Larebière (Loutfallah de son vrai nom) qui se garde bien de rappeler dans son petit article anonyme que lui - qui bouffe dans et par ce milieu depuis des lustres - a fait campagne CONTRE Jean-Marie Le Pen aux dernières présidentielles au nom de la "vraie droite" ("union des droites" et autre "synthèse nationale" introuvables), trahie, selon lui, par Marine Le Pen et sa stratégie nationale républicaine. Une stratégie qu’il impute abusivement à Alain Soral et qui a permis, au moment même de la grotesque tentative de "Synthèse nationale" dont il était l’un des instigateurs, la percée que l’on sait à Hénin-Beaumont !
Face à de tels représentants - dont l’engagement est tournée en permanence contre leur propre camp tandis que d’autres font de leur mieux pour fédérer - il ne faut pas s’étonner qu’il soit si difficile, pour un honnête homme, de défendre en public une cause et une mouvance souillée en permanence par de tels ordures et de tels crétins...
Comme disait l’autre : "Vive la France quand même !"
Alain SORAL
Président d’Egalité & Réconciliation
L’article en question :
Alain Soral a-t-il fait la « connerie » de voter pour Jean-Marie Le Pen ?
Samedi 16 février, l’essayiste Alain Soral, promu au comite central du Front national par Jean-Marie Le Pen en personne lors du dernier congrès du FN en novembre, est sur le plateau de Franz-Olivier Giesbert pour l’émission « Chez FOG », sur France 5, dont l’invité principal est l’acteur François Berléand. Soral assure la promo de la réédition de son ouvrage intitulé Abécédaires de la bêtise ambiante. Jusqu’où va-t-on descendre ? (éditions Blanche).
On en arrive (courtoisement) à son parcours politique, du communisme au lepénisme. il se tourne vers Berléand et lui dit : « Vous avez appelé à voter Bayrou, moi j’ai appelé à voter Le Pen » Et pourquoi ? « Parce que c’est interdit, tout simplement » FOG est surpris : « C’est la seule raison ? » « Non, mais c’est la raison majeure, oui » II enchaîne : « J’ai appelé à voter Le Pen parce qu’on m’avait dit "Arrête de déconner" [ ] Je me suis dit quelle est la plus grosse connerie que je peux faire ? Appeler à voter Le Pen. Avec Dieudonné, on s’était un peu entendus la dessus. Et on a fait l’énorme connerie ’ Ce qui est rassurant, c’est que je suis là ce soir, donc on peut survivre à ce genre de connerie. »
Franz-Olivier Giesbert veut en savoir plus Soral, vous avez appelé à voter pour Le Pen mais vous-même, l’avez-vous fait ? « J’ai appelé à voter Le Pen, ce qui est bien plus fort ! » « Donc vous n’avez pas voté Le Pen ? », insiste FOG, relayé par Berléand « Je n’ai pas à dire pour qui j’ai voté ! », répond Soral, qui embraye, gêné, sur la démocratie et le secret de l’isoloir, puis s’étonne de n’avoir jamais rencontré dans les milieux que les gens présents sur le plateau fréquentent quelqu’un ayant reconnu avoir voté pour le président du Front national, alors que certains l’ont sans doute fait, nen que pour faire un doigt d’honneur au système. Survient cette phrase « J’ai fait l’inverse. »
FOG bondit : vous avez donc appelé a voter pour Le Pen mais vous ne l’avez pas fait ? Réponse d’Alain Soral « Ma démarche, ce serait plutôt ça. Et finalement, le vrai acte punk, il est là » « Et vous trouvez ça drôle ? », interroge Giesbert. Dernière réponse de Soral « Oui ».
Un « soralien » lui aussi membre des instances dirigeantes frontistes nous a assuré que Soral vote pour Le Pen depuis les elections européennes de 1984. L’année de parution de son livre titré : Les Mouvements de mode expliqués aux parents. Un grand succès de librairie. Pas sûr qu’il fasse le même tabac quand Jean-Marie Le Pen et les dirigeants du Front national lui demanderont des éclaircissements sur sa « punkitude »...
C. P.
Courageux parce qu’il est anonyme, amusant parce que derrière le courageux C.P. se cache Bruno Larebière. Bruno Larebière qui reproche à Alain Soral de ne pas avoir crié assez haut et fort son soutien à Jean-Marie Le Pen, lui qui ne vient pas de la mouvance nationale et qui avait effectivement tout à perdre dans ce soutien.
Amusant et courageux Bruno Larebière (Loutfallah de son vrai nom) qui se garde bien de rappeler dans son petit article anonyme que lui - qui bouffe dans et par ce milieu depuis des lustres - a fait campagne CONTRE Jean-Marie Le Pen aux dernières présidentielles au nom de la "vraie droite" ("union des droites" et autre "synthèse nationale" introuvables), trahie, selon lui, par Marine Le Pen et sa stratégie nationale républicaine. Une stratégie qu’il impute abusivement à Alain Soral et qui a permis, au moment même de la grotesque tentative de "Synthèse nationale" dont il était l’un des instigateurs, la percée que l’on sait à Hénin-Beaumont !
Face à de tels représentants - dont l’engagement est tournée en permanence contre leur propre camp tandis que d’autres font de leur mieux pour fédérer - il ne faut pas s’étonner qu’il soit si difficile, pour un honnête homme, de défendre en public une cause et une mouvance souillée en permanence par de tels ordures et de tels crétins...
Comme disait l’autre : "Vive la France quand même !"
Alain SORAL
Président d’Egalité & Réconciliation
L’article en question :
Alain Soral a-t-il fait la « connerie » de voter pour Jean-Marie Le Pen ?
Samedi 16 février, l’essayiste Alain Soral, promu au comite central du Front national par Jean-Marie Le Pen en personne lors du dernier congrès du FN en novembre, est sur le plateau de Franz-Olivier Giesbert pour l’émission « Chez FOG », sur France 5, dont l’invité principal est l’acteur François Berléand. Soral assure la promo de la réédition de son ouvrage intitulé Abécédaires de la bêtise ambiante. Jusqu’où va-t-on descendre ? (éditions Blanche).
On en arrive (courtoisement) à son parcours politique, du communisme au lepénisme. il se tourne vers Berléand et lui dit : « Vous avez appelé à voter Bayrou, moi j’ai appelé à voter Le Pen » Et pourquoi ? « Parce que c’est interdit, tout simplement » FOG est surpris : « C’est la seule raison ? » « Non, mais c’est la raison majeure, oui » II enchaîne : « J’ai appelé à voter Le Pen parce qu’on m’avait dit "Arrête de déconner" [ ] Je me suis dit quelle est la plus grosse connerie que je peux faire ? Appeler à voter Le Pen. Avec Dieudonné, on s’était un peu entendus la dessus. Et on a fait l’énorme connerie ’ Ce qui est rassurant, c’est que je suis là ce soir, donc on peut survivre à ce genre de connerie. »
Franz-Olivier Giesbert veut en savoir plus Soral, vous avez appelé à voter pour Le Pen mais vous-même, l’avez-vous fait ? « J’ai appelé à voter Le Pen, ce qui est bien plus fort ! » « Donc vous n’avez pas voté Le Pen ? », insiste FOG, relayé par Berléand « Je n’ai pas à dire pour qui j’ai voté ! », répond Soral, qui embraye, gêné, sur la démocratie et le secret de l’isoloir, puis s’étonne de n’avoir jamais rencontré dans les milieux que les gens présents sur le plateau fréquentent quelqu’un ayant reconnu avoir voté pour le président du Front national, alors que certains l’ont sans doute fait, nen que pour faire un doigt d’honneur au système. Survient cette phrase « J’ai fait l’inverse. »
FOG bondit : vous avez donc appelé a voter pour Le Pen mais vous ne l’avez pas fait ? Réponse d’Alain Soral « Ma démarche, ce serait plutôt ça. Et finalement, le vrai acte punk, il est là » « Et vous trouvez ça drôle ? », interroge Giesbert. Dernière réponse de Soral « Oui ».
Un « soralien » lui aussi membre des instances dirigeantes frontistes nous a assuré que Soral vote pour Le Pen depuis les elections européennes de 1984. L’année de parution de son livre titré : Les Mouvements de mode expliqués aux parents. Un grand succès de librairie. Pas sûr qu’il fasse le même tabac quand Jean-Marie Le Pen et les dirigeants du Front national lui demanderont des éclaircissements sur sa « punkitude »...
C. P.
