Franchement, c’est énorme, j’bois du p’tit lait.
Cela fait quelques mois que j’ai découvert Soral et que je m’abreuve de ses vidéos et de ses synthèses généralistes, mais ces émissions auxquelles il a participé (« C’est mon choix », « Ciel mon mardi », etc.), mais waouuuuu, énorme... Je n’aurais pas pu tenir face à un tel ramassis d’idiots sophistes. Je suis à la fois plié de rire et empli d’une haine sans nom à l’égard de tous ces pseudos-intellos-agents du spectacle, bref de toute cette clique dominante et bien-pensante à laquelle viennent se mélanger des péquenauds caricaturaux étant totalement à côté de la plaque, ne comprenant pas les concepts et les idéologies mis en cause et sous-jacents, dont on peut se demander s’il n’y avait pas là une volonté de la production afin de stigmatiser le peuple au travers de clichés vivants dans le but inavoué de le séparer par des illusions sociales en faisant grandir la graine du communautarisme. « Diviser pour régner ».
Soral, tel Socrate ou plus religieusement Jésus, est mis au pilori par la vindicte populaire, attisée au préalable par les démagogues de notre temps, ces mêmes démagogues qui prônent une culture humaniste, universaliste, moderne. Ils sont soit stupides et ignorants, soit intelligents et ignobles. Nous vivons dans une prison de la raison où tout le monde clame sa liberté individuelle en bafouant le principe et le concept même de liberté.
La liberté contemporaine est celle des pulsions et des désirs personnels. Or ces désirs et ces pulsions nous emprisonnent dans un rapport matérialiste à la réalité où seuls les intérêts privés priment, c’est-à-dire l’offre et la demande, les biens et les services, les hommes et les capitaux. Cela va à l’encontre même de la liberté. La liberté est un idéal inaccessible, une utopie, mais dont les applications sont concrètes et pour lesquelles l’homme libre doit se battre. Ce n’est qu’à travers le combat que l’homme acquiert sa liberté et non dans l’idéologie ou dans le concept qui ne sont pas des fins en soi, qui, pris séparément et en dehors de tout contexte, sont absurdes.
Bref, Soral, je m’étais mis un point d’honneur à ne pas interagir via des commentaires ou des forums tant la stupidité ambiante me laisse pantois, mais force est de constater que ton discours me redonne l’envie de me battre pour un idéal, ma région, ma famille, pour la France, du moins l’esprit français, car, comme Zemmour, je pense que le combat est perdu d’avance. Mais on s’en fout !
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