La farce de l’impeachment, c’est avant tout une affaire juive, a fait remarquer le quotidien israélien Ha’aretz.
L’âme et le cerveau de la procédure de destitution contre le Président, c’est Adam Schiff, dit « Shifty Schiff » (le Sournois), dans la langue fleurie de Trump. Son nom nous ramène à l’institution bancaire juive des Schiff, le sommet de l’aristocratie juive de l’argent et des médias.
Le second, dans l’histoire, c’est Goldman le Rapace, autrement dit Daniel Sachs Goldman, le magistrat instructeur des audiences. Sachs Goldman ou Goldman Sachs, autre nom juif d’une banque juive éminente.
Le troisième juif qui est au coeur de la procédure, c’est l’infâme George Soros.
Ha’aretz pourrait ajouter que les témoins capitaux à l’origine des poursuites sont également des juifs, le très bizarre Gordon Sondland, dit « Zelensky aime ton cul », ou Vindman l’Espion.
Trump n’aurait jamais osé s’apercevoir de cette coïncidence remarquable, conclut Ha’aretz. Il n’y aurait que les antisémites pour le faire.
Au lieu de dénoncer cette conspiration flagrante et d’appeler les Américains à sauver la République, le président Trump a fait appel au sens juif de la gratitude. Il vient d’offrir son troisième fantastique cadeau à l’État juif, la reconnaissance des colonies réservées aux juifs sur la terre volée aux Palestiniens, après avoir reconnu Jérusalem et les hauteurs du Golan comme également propriété des juifs. C’est même plutôt le quatrième cadeau, si l’on compte le retrait américain de l’accord avec l’Iran sur le nucléaire. Il a donc légalisé les colonies par une simple décision unilatérale en tant que super-puissance, quelque chose que les gouvernements israéliens n’avaient jamais pu ou osé faire.
Si les US étaient omnipotents comme il y a vingt ans, ce serait la fin des Accords d’Oslo et de Genève, et pratiquement la fin de la tentative pour créer un État de Palestine aux côtés d’Israël, autrement dit ce que les nationalistes israéliens ont toujours voulu. Avec les US paralysés dans leur guerre cvile froide, cela pourrait conduire à l’auto-délégitimation des US, ou à l’effondrement du paradigme des Deux États. C’est en tout cas, apparemment, un énorme cadeau à l’État juif.
Trump supposait que sa générosité ferait fondre les cœurs juifs et qu’ils le laisseraient gouverner en paix. Seulement voilà, les juifs acceptent tout cadeau comme un dû ; c’est l’absence d’un cadeau qui les étonne et les chagrine, et qui ne s’explique probablement que par l’antisémitisme. En toute bonne logique, donc, ils ont dit que cette reconnaissance fendait le cœur aux Démocrates, et qu’ils l’abrogeraient aussitôt qu’ils auraient repris la Maison-Blanche.
C’est par ailleurs aussi probablement la réaction qu’escomptait Trump, dans la mesure où il se soucie comme d’une guigne de la Palestine ou d’Israël. L’écoute qu’il vise, c’est la communauté juive organisée des USA. Trump espèrait que les juifs qui se font plus de souci pour Israël que pour les US vireraient de bord et le soutiendraient, de sorte que certains opèreraient un virage et le soutiendraient, si bien que les Démocrates ne pourraient pas gagner, lors des prochaines élections, ni annuler la reconnaissance des colonies. Mais si l’on en juge par les précédents, les juifs vont gagner, dans cette course à leurs faveurs, tandis que les US vont y perdre, et Trump avec.
En attendant, rien ne nous empêche de voir qui sont les personnalités juives à l’oeuvre dans la procédure de destitution.
Adam Schiff, qu’il ait une parenté lointaine avec le banquier Jacob Schiff ou juste le même nom, pourrait être une réincarnation du premier ; car il a hérité de la même passion pour l’immigration de masse et la haine de la Russie. Jusqu’à l’époque de Jacob Schiff, la juiverie américaine constituait une petite communauté. Riche, certes, mais très petite. Jacob Schiff, qui était arrivé sur le sol américain au milieu du XIXe siècle, avait compris qu’il aurait besoin de grandes populations, de basculements démographiques de son côté, s’il voulait que les juifs rentrent en force dans le jeu politique. Il avait donc organisé l’émigration de masse de juifs russes et polonais vers les US. « Il avait fait du lobbying au Congrès et auprès du président Grover Cleveland pour empêcher le passage d’une loi qui aurait entravé cette vague massive d’immigrants juifs russes dont descendent la plupart des juifs new-yorkais actuels », disent les sources juives. Des millions de juifs arrivèrent et ils finirent par transformer les US à leur image. Et maintenant Adam Schiff veut importer des millions de gens du Tiers-monde afin de cimenter le changement inauguré par Jacob.
La haine de la Russie chez Jacob était tout à fait extraordinaire, même selon des standards de l’époque. Comme banquier très en vue, il offrit au Japon un prêt afin de financer la construction de la flotte japonaise pour combattre la Russie. Puis accidentellement, voilà que la flotte édifiée avec l’argent de Schiff attaqua Pearl Harbor quelques années plus tard, si bien que chaque victime de la Guerre du Pacifique et ses descendants seraient en droit de poursuivre les Schiff pour leurs apports.
Bien avant Soros et la NED, Jacob Schiff avait joué la carte du changement de régime en Russie, en finançant les révolutionnaires : il contribua à la révolution de février 1917, le putsch pro-occidental et libéral, mais les Russes le coincèrent en montant un autre coup d’État en novembre de la même année, et en portant au pouvoir les Bolcheviks ; ses agents durent prendre la fuite, la Russie reprit son indépendance, et Schiff perdit tout ce qu’il avait investi.
Adam Schiff est un enragé contre la Russie, exactement comme Jacob. Il rêve d’un changement de régime à Moscou comme Jacob. Il prétend que c’est une conspiration russe qui a amené Trump à la Maison-Blanche ; il a refusé d’accepter les résultats de l’enquête du procureur Mueller et rabâche que les Russes ont interféré dans les élections US. Ses « preuves criantes » de collusion avec la Russie, qui plus que « liées aux circonstances », constituent un scandale « qui va au-delà du Watergate » ont empoisonné les relations russo-américaines, et fait de la présidence de Trump une cible depuis le premier jour.
Adam Schiff est tellement malhonnête que même le Wall Street Journal a souligné son innovation en matière de droit : est-ce que c’est un délit passible de destitution, pour un président, de résister à sa propre destitution ? Adam Schiff a claironné sur CNN la semaine dernière que « le refus des fonctionnaires de la Maison blanche de témoigner dans les audiences du comité pour la destitution pourrait donner lieu à une accusation "d’obstruction au Congrès" contre le président Trump ».
Peut-être, après tout, qu’Adam Schiff est de la famille d’un autre escroc, Irwin Schiff, celui qui est mort dans une prison fédérale en 2015, alors qu’il purgeait une peine de 13 ans de prison pour évasion fiscale. Ce serait probablement antisémite de mentionner le vieux bobard selon lequel il pourrait y avoir quelques escrocs parmi les juifs, mais soyons fous, osons.
Le procureur en chef Daniel Sachs Goldman a un excellent pedigree pour un macher (affairiste) juif. Il a fréquenté l’école où étaient les filles du président Barack Obama, Sacha et Malia, de même que Chelsea Clinton, les petits-enfants du vice-président Joe Biden, la fille de Richard Nixon Tricia et le fils de Theodor Rossevelt, Archibald. Sa femme est vice-présidente de la banque Goldman Sachs « la grande pieuvre qui s’étend sur la face de l’humanité », selon la célèbre formule de Matt Taibbi. Sa famille a mis en place un programme spécial appelé le Birthright-Taglit : ce nom implique que chaque juif a un droit inné sur la terre de Palestine, contrairement aux natifs. Le programme permet à la jeunesse juive américaine de faire un voyage gratuit (gracieusement offert par le contribuable américain) en Israël, afin d’y rencontrer d’autres jeunes gens juifs et de combattre les mariages mixtes en contractant des épousailles à l’intérieur de la tribu. Normalement, on n’a pas le droit d’approuver des mesures aussi racistes, mais les juifs ont le droit, parce que ça relève des dons caritatifs non sujets à l’impôt. La famille de Daniel Sachs Goldman est aussi à l’origine du Fonds pour le Nouvel Israël, autre oasis non imposable, qui draine les sommes aspirées par les impôts US pouvant risquer d’être investies dans des projets goys, au lieu de servir à des objectifs réservés aux juifs.
Venons-en à George Soros, autre éminent participant juif aux manœuvres pour la destitution du Président. Le vieux reptilien est si laid que notre âme (appartenant naturellement au monde wildien de l’impudence) a l’intuition qu’il est semblablement immoral. Les faits sur le terrain confirment la prémonition. Si l’Ukraine, jadis une joyeuse contrée typique de l’Europe orientale, est devenue une lugubre zone de catastrophe, il en est en partie responsable.
La destitution de Trump se joue sur des soupçons d’ingérence en Ukraine, mais la question de l’ingérence des ennemis de Trump en Ukraine est aussi publique que bloquée. Ils ont interféré d’une façon si brutale dans les affaires d’un État ostensiblement souverain qu’ils échangent une blague entre eux : « La Convention de Vienne, c’est un truc optionnel, pour notre équipe à Kiev ». Cette Convention, c’est l’accord international interdisant aux diplomates de se mêler des affaires intérieures du pays où ils sont mandatés.
Une partie de cette interférence, on la doit à Joe Biden, qui a soulagé l’État ukrainien de fonds rondelets ; George Soros figure parmi les autres bénéficiaires de l’activité du Département d’État.
Il a quelques ONG dans le coin, et l’ambassade US sous le règne de l’ambassadeur Marie Yovanovitch (encore une qui veut enfoncer Trump) s’est beaucoup investie auprès d’elles. John Salomon a découvert que l’un des témoins auditionnés sur demande du procureur, le chargé d’affaires à l’époque George Kent (il a maintenant été promu au poste confortable de secrétaire assistant d’État) a exigé des autorités ukrainiennes de laisser tomber l’enquête sur l’ONG de George Soros en propre, qui s’appelle Centre d’action contre la corruption (AntAC). Et en plus, le 5 mars 2019, l’ambassadeur Yovanovitch faisait un discours demandant la révocation du procureur ukrainien spécialisé dans la lutte contre la corruption. Et c’est la même femme qui ose parler d’ingérence dans le cas de Trump.
George Soros avait régulièrement accès au bureau ukrainien du Département d’État, et à l’assistante du secrétaire d’État Victoria (« Fuck UE ») Nuland. Il est difficile de faire le tri parmi ces siamois, car l’AntAC avait été fondé conjointement par le Département d’État et par George Soros. Mais George Soros est intouchable, parce que le président de l’ADL (AntiDeffamation League) a déjà tranché : « Invoquer Soros ... c’est tomber dans l’un des pires clichés antisémites. »
Joe DiGenova, ancien procureur fédéral pour le District de Columbia, a bel et bien commis ce crime, en disant sur Fox News que George Soros avait tous les jours l’occasion de dire au Département d’État ce qu’il fallait faire en Ukraine, par le biais de Victoria Nuland.
« C’est Soros qui était aux manettes. Il a corrompu des fonctionnaires du FBI, et de hauts fonctionnaires aux affaires étrangères. George Soros veut gouverner l’Ukraine, et il fait tout ce qu’il peut pour actionner chaque levier du gouvernement US, dans ce but. »
DiGenova n’a pas mentionné la judéité de Soros ou de son amie Victoria Nuland : ce n’était pas la peine. Une attaque contre George Soros est une agression contre les juifs du monde entier, comme en a conclu un observateur fort sérieux. Joe Di Genova est évidemment coupable, mais de sous-estimation des faits. George Soros veut gouverner l’Ukraine, disait-il donc. L’Ukraine c’est un petit morceau du monde, certes rentable, mais petit, et ses compagnons d’armes aussi veulent commander. Les US, c’est le gros morceau, et en les gouvernant, ils peuvent avaler l’Ukraine comme accompagnement.
La destitution est devenue un sujet important, non pas en tant que menace pesant sur le président Trump, mais parce que cela révèle le modus operandi des juifs libéraux. On préférerait que leur tête de Turc, à la place de Donald Trump, soit un chevalier sans peur et sans reproche sur un destrier blanc. Mais il faut faire avec ce qu’on a. Il faudrait donner un coup d’arrêt à leurs manigances, et si Trump y parvient, qu’il soit béni.
Sa tactique d’acheter les juifs avec de riches cadeaux tirés du patrimoine palestinien, c’est immoral, et je doute que ce soit efficace. Il est probable que s’il appelait à la justice et à l’égalité pour la Palestine, il n’aurait, pour le coup, pas l’ombre d’une chance de s’en tirer. En divisant ses ennemis, entre sionistes et libéraux, il augmente ses chances de s’en sortir, du moins c’est ce qu’il pense.
Pour les gens qui chérissent la Palestine de tout cœur comme moi, le choix est difficile. Juifs de gauche (« libéraux »), ça sonne mieux que juifs sionistes ; ces gens discourent contre les colonies juives dans les territoires occupés ; ils condamnent les bombardements israéliens sur Gaza et en Syrie. Mais nous avons une longue expérience de leur ascendance : ils ne font strictement rien pour la Palestine, et ils laissent Israël commettre tous les crimes possibles et imaginables. Condamner, ce n’est pas suffisant si l’afflux des armes et du pognon n’en souffre pas.
Les juifs sont habitués à jouer avec les deux équipes, de façon à gagner doublement. Il faut rentrer dans l’angle mort, la zone absolument interdite, et regarder en face l’équipe qui veut la destitution de Trump comme ce qu’elle est : une équipe juive ; cela changera tout sur le terrain. Et quand la colline du Capitole se retrouvera libérée de l’occupation, le temps de la liberté pour Jérusalem sera venu aussi.