Egalité et Réconciliation
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Pourquoi le procès Weinstein est biaisé

En ce moment même, l’ex-God d’Hollywood passe en chaise roulante (pas encore électrique) devant le juge pour avoir embêté des filles faciles qui voulaient de l’ambition. La relation sexuelle à l’époque n’ayant pas donné de grands résultats, en matière de réussite, elles se retournent aujourd’hui en bande contre lui. Voilà pour la version masculiniste.

MiTouffe

La version féministe est toute en différences : des oies blanches, impressionnées par la réussite et l’influence du premier producteur d’Hollywood, créateur d’Oscars pour les femmes, ont voulu faire un simple casting chez ce monsieur au physique ingrat mais sont tombées sur un monstre, un prédateur, qui abusera d’elles avant de les abandonner dans la misère, comme des moins que rien. Moralité : no job in zob.

 

@brutofficiel Il est 20h. Harvey Weinstein est de nouveau jugé ce mardi pour agression se*uelle et v*0l, après l’annulation de sa première condamnation. @Canelle Sab ♬ son original - Brut.
 

La presse, toujours du côté des victimes, surtout quand il s’agit de minorités persécutées – les femmes, les homos et les juifs –, trouve que c’est bien fait pour Harvey, qu’avait qu’à pas faire l’andouille avec son robinet à emmerdes et mentir aux filles qui croyaient trouver un emploi en CDI, et qui finissent avec une pétée dans le popo.

Tout le monde est MeToo, le cri de douleur et de ralliement d’une escouade de pauvres esclaves (blanches) bouyavées par un serial abuseur sans cœur, le plus haut degré – le 33e – du pervers narcissique.

En réalité, c’est le procès d’un bon gros salaud basique par une bande de putes fanées qui tentent leur chance au grattage après l’avoir tentée au tirage.

Promo canopée à Hollyviol

Tout le monde est pourri dans ce marécage à crocos, masculins et féminins mêlés, même la presse qui joue les effarouchées : les médias-putes ont senti le sang, et aussi le sperme, le mélange étant extrêmement vendeur. Pour le narratif, on fera dans le simplet, cocotte : l’homme-prédateur contre la femelle-proie.

 

 

Le Système hollywoodien est une société en minuscule, avec ses tares grossies 100 000 fois au cinémacroscope. Ne pas croire une seconde ni une actrice ni un producteur, ce sont des menteurs invétérés : Holly est l’industrie du mensonge par excellence, au sens de faux-semblant, de demi-vérité, d’illusion.

Le producteur-menteur baise ou se fait baiser par l’actrice-menteuse, et chacun sait très bien ce qu’il fait : Ça se passe entre adultes consentants, parfois intelligents, parfois débiles, et personne, depuis un bon siècle qu’Hollywood existe, n’ignore foutre les pieds dans un panier de crabes. Alors la crevette qui va vers le crabe et qui nous fait le coup de il m’a pincée, bouhouhou, on y croit moyen. Surtout quand on voit son agressivité après coup !

 

 

Menteur et menteuse sont dans un bateau...

Oui, Holly est un monde de salopes et de salauds (on n’a pas trouvé plus juste), et la seule chose qu’on peut reprocher à ce milieu, c’est quand les enfants passent à la casserole, les enfants-stars, s’entend. Là il faut réagir, et lancer un MeToo Jr, car des gosses bourrés à l’alcool à 10-12 ans dans les teufs de LA pour leur ramollir le corps et le cerveau avant dégustation, là on est dans l’ignoble.

Et pourtant, des parents viennent y amener leur progéniture pour en faire des stars. En général, ils en font des violés, des dépressifs ou des suicidés. Pas la peine de les fourrer dans l’antre hollywoodien pour leur offrir un tel destin, nous direz-vous. Oui mais il y a le rêve, la machine à rêves... Rêves de singe ! Ah non, on aime bien les singes. Rectifions : rêves de salopes !

 

« Les Américains sont épuisés de cette affaire, ils ont déjà vu ce que ça donnait avec les deux précédents procès Weinstein, à Los Angeles et New York. Les gens veulent passer à autre chose. Ils sont beaucoup plus intéressés par le procès Luigi Mangione, ce beau gosse qui a tué en pleine rue le PDG de l’assurance santé UnitedHealthcare », nous confie une journaliste. Les « procès MeToo », eux, n’intéressent visiblement plus. Il n’y a plus personne pour scander « violeur » devant le tribunal, comme c’était le cas lors de son procès précédent. (Le Figaro)

Si Harvey ne s’en sort pas, après avoir joué la carte handi, il pourra toujours jouer la carte antisem.

 

Pédophilie, viol et séduction,
un indispensable de Damien Viguier,
chez Kontre Kulture :

 

Pour un MeToo junior