Egalité et Réconciliation
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Pisser dans la bouche d’une féministe et appeler ça de l’art

Contemporain

Tout le monde ici sait à quoi s’en tenir sur l’art contemporain, qui se résume majoritairement à une entreprise de destruction de la beauté ou de la recherche de la beauté. C’est accessoirement un média pour les activistes en mal de publicité.

 

L’art-con est une déconstruction, comme il y en a désormais dans tous les domaines : déconstruction du sérieux de la politique, du souverainisme, du vivre-ensemble, de la différence des sexes – c’est-à-dire de l’amour –, des paysages à coups d’horribles éoliennes, de la santé avec les fonds vautour, de la sécurité avec l’impunité racaille...

Vous allez nous dire, l’art c’est pas grave, de toute façon on va pas au musée, surtout d’art-con, c’est de la merde. Oui, mais ça existe, ça prend la place, et ça cherche à détruire le reste.

Même topo pour les médias : de faux journalistes empêchent les vrais de travailler, occupant les postes et dénonçant en plus les chercheurs de vérité(s). Ceci étant dit, c’est un combat et on doit le mener sans pleurnicher, car il y a aura toujours des conflits.

 

 

Depuis quelque temps, des activistes écolo-féministes barbouillent les toiles de maîtres (les vraies sont en sécurité ou surprotégées) de soupe ou de peinture orange, pour faire prendre conscience au grand public qu’on va vers un éco-gouffre ou que le patriarcat, c’est l’enfer.

Ces créatures enwokées parlent climat, planète, montée des eaux, extinction de masse, arche de Noé, patriarcat violeur (très biblique, tout ça), mais ne voient pas la situation géopolitique extrêmement tendue, ou alors elles traduisent leur angoisse avec les moyens du bord, qui sont limités.

 

MeTouffe

Récemment, une femme a été convoquée par la justice pour du vandalisme dans un musée. C’est la même qui avait posé en 2014 assise, les jambes écartées, sans culotte, devant le fameux tableau de Courbet (pas Julien, l’autre), L’Origine du monde.

La fille est sexy, dommage de montrer sa chatte comme ça, surtout avec un « MeToo » mal dessiné sur l’intérieur de la cuisse. La dame voulait dénoncer le patriarcat dans le monde de l’art, et tous les Weinstein qui baisent au sens propre et au sens figuré des artistes de sexe faible. C’est vieux comme le monde et la prostitution.
Dans le monde du cinéma, ça fait du barouf parce qu’il y a du fric et de la star ; dans le monde de l’art, le grand public, qui y est totalement étranger, s’en fout, mais alors à un point !

 

 

Dix ans plus tard, donc, l’activiste vaginale Deborah de Robertis est mise en examen, mais pour autre chose que du montrage d’ourson. Elle et ses copines ont tagué des tableaux et volé la broderie d’une certaine Annette Messager, qui porte l’inscription féministe (?) « Je pense donc je suce ».

 

« J’ai évidemment utilisé un matériau non agressif qui disparaît à l’eau. Cette façon de diaboliser, de criminaliser et de dramatiser la performance est un classique du genre. Car l’urgence pour le musée, à cet instant précis, est d’invisibiliser les accusations portées contre le curateur. »

Les gars, malgré l’attirance qu’une jolie femme nue produit immanquablement dans votre cortex et votre slip, faudra pas compter sur elle pour éplucher les patates et faire la vaisselle, et encore moins pour passer au paddock subir la loi du mâle. Sauf si vous aimez le rodéo…

En revanche, si vous arrivez à lever Deborah pendant un vernissage, un conseil, si elle vous tape sur les nerfs et que vous lui appliquez en retour le plat de votre main sur la joue dans un geste semi-circulaire, quand la police viendra en force (un escadron au minimum depuis la loi Schiappa), dites-leur que c’est une PAF, une « performance artistique féminisante ». Normalement, ça devrait passer.

En face de l’art-con

 






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