Le principe de la destruction du bloc de nations du Vieux Continent et la refondation d’une entité européenne unique par le moyen du choc migratoire métisseur ne date pas d’hier, mais d’un siècle, avec le plan Coudenhove-Kalergi. Les concepteurs du pouvoir profond mondialiste, 30 ans avant la première pierre de la création européenne, avaient déjà théorisé cette « fédération » dont ils seraient les maîtres.
« De l’européenne humanité de quantité, qui ne croit qu’au chiffre, qu’à la masse, se distinguent deux races de qualité : la noblesse de sang et le judaïsme. Séparées l’une de l’autre, chacune demeure fixement rivée à sa croyance en sa plus haute mission, en son meilleur sang, en une différence de rang humaine. Dans ces deux races avantagées hétérogènes réside le noyau de la noblesse européenne du futur. »
elles sont issues de l’ouvrage Praktischer Idealismus (1925).