À l’occasion des manifestations contre la loi Travail répondant à l’appel des syndicats de travailleurs et les organisations lycéennes qui ont eu lieu dans les grandes villes de France, ce jeudi 31 mars 2016, les provocateurs professionnels se sont livrés à quelques débordements et destructions, paralysant le pouvoir socialiste : comment un pouvoir dit de gauche peut-il embastiller un jeune révolté de gauche ?
La fausse résistance à l’oeuvre
Où l’on comprend pourquoi la moindre peccadille dite d’extrême droite déclenche les foudres du système répressif et pourquoi la simple autodéfense des forces de l’ordre se transforme instantanément en « violences policières »...
Après les attentats de janvier et novembre 2015, pourtant, les flics et les militaires qui ont protégé la population n’étaient plus considérés comme des « fascistes »... C’était la chronique de la lâcheté ordinaire.
Dégradations importantes à la fac de Caen
Sur le Campus 1, à Caen, le bâtiment B était bloqué mercredi 30 et jeudi 31 mars par des manifestants anti-loi Travail. L’Université a constaté d’importantes dégradations.
Le jeudi 31 mars, l’Université a fait évacuer le bâtiment B, de Lettres, sur le Campus 1. Il était occupé par « une centaine de personnes, étudiants et autres », d’après l’Université, depuis la veille.
Des dégradations ont alors été constatées : « Les murs des couloirs et ceux de certains amphis ont été tagués. Dans la bibliothèque, un portique a été arraché, de nombreux livres jetés au sol et une étagère renversée. »
Voir le résultat des « occupations » sur ouest-France.fr