« Alors que les deux suspects continuent de s’accuser mutuellement du meurtre de Mireille Knoll, octogénaire de confession juive poignardée à onze reprises à son domicile parisien le 23 mars 2018, le parquet de Paris demande le renvoi des deux hommes devant la cour d’assises pour homicide volontaire avec circonstances aggravantes : la vulnérabilité de la victime et son appartenance religieuse. Telles sont les conclusions du réquisitoire définitif révélé par Le Parisien et notifié aux parties civiles, jeudi 14 mai. La décision finale revient désormais aux juges d’instruction.

“Pour une fois dans ce type d’affaire, le parquet s’est aperçu qu’une femme avait été tuée parce qu’elle était une vieille dame et parce qu’elle était juive, se félicite Me Gilles-William Goldnadel, l’avocat de la famille de la victime. Le ou les assassins n’aimaient pas les juifs”. Dans son réquisitoire, dont Le Monde a pris connaissance, le parquet souligne que ni “les investigations”, ni “les auditions et les interrogatoires”, ni la reconstitution n’ont permis de déterminer qui a porté les coups, parmi les deux suspects. » (Le Monde)

Non, monsieur Zemmour, elles ont été assassinées parce qu’elles étaient sans défense et qu’il y a des demeurés partout, grâce aux sionistes qui ont ouvert les portes de notre pays à tous les vents, même les plus violents.

Dire ça, c’est remettre les choses à l’endroit. Alors pas la peine, comme Alexis Lacroix de David, d’incriminer les « islamistes » alors que ce sont les sionistes qui les ont fait entrer chez nous pour bousiller la France.

Non, Mireille Knoll et Sarah Halimi n’ont pas été assassinées parce qu’elles étaient juives, parce que dans ce cas des milliers d’autres femmes assassinées depuis des décennies en France l’auraient été parce qu’elles étaient chrétiennes.

Les autres victimes des racailles et des tarés ne sont jamais citées, elles n’existent pas car elles ne sont pas juives. Être non juif, c’est ne pas exister, sinon on aurait des milliers de Paulette Dupont et d’Évelyne Dupuis qui auraient fait la une des journaux depuis des décennies.

Il ne s’agit pas non plus de féminicides, mais de meurtres crapuleux de la part d’êtres ignares, pas finis, désolants. Des déchets de notre société, qui laisse les plus faibles sans protection face à des fauves volontairement lâchés dans la nature. La police ? Elle poursuit les familles déconfinées sur la plage et met des prunes à des mamies qui n’ont pas que des produits de première nécessité dans leur sac.

Les fauves ont été lâchés à dessein pour créer un sentiment d’insécurité généralisé dans les rues de France, une nappe de peur qui sert les intérêts d’une oligarchie qui désigne en permanence un ennemi horizontal, jamais vertical, et pour cause.

Si le meurtre d’une vieille dame est écœurant, la sionisation de ces meurtres est tout aussi écœurante. Les agents médiatiques devraient avoir plus de pudeur et ne pas utiliser les morts, surtout s’ils étaient de confession juive, comme des armes.

« Presque un an jour pour jour après le meurtre de Sarah Halimi, chacun, dans son rôle, a pris soin d’éviter les mêmes bévues. La ressemblance des deux affaires était évidente : une autre vieille dame, Mireille Knoll, 85 ans, qui vivait seule dans un immeuble du même quartier populaire de Paris. Des voisins qui insultent, menacent « la juive » et qui, un jour, passent à l’acte. Égorgée, retrouvée au milieu des décombres encore fumants de son appartement incendié, elle avait échappé à la rafle du Vél’ d’Hiv, en juillet 1942, mais pas aux coups de couteau de ses meurtriers. » (Chronique de Zemmour dans Le Figaro)

La Shoah est terminée, et ramener chaque meurtre communautarisé à la Shoah est extrêmement dangereux. Cela peut donner des idées à de vrais fous. Et si c’était l’effet recherché ? Car on ne voit pas ce que le lobby sioniste a à gagner dans cette surenchère qui le place de plus en plus loin de la communauté nationale.

Derrière la communautarisation récurrente de ces crimes, qui sont aussi peu nombreux qu’ils sont surmédiatisés, il y a le projet politique d’opposer la communauté chrétienne à la communauté musulmane, après avoir opposé la communauté musulmane à la communauté française il y a 35 ans.

Le national-sionisme prend la suite du socialo-sionisme, pour engager la France dans un conflit triangulé dont elle ne veut pas. À peine le déconfinement est-il décidé, que les sionistes remettent leur obsession sur la table.

« Ces crimes ont pour leur auteur un objectif personnel : ils lui permettent, en tout cas le croit-il, de racheter ses péchés. Mais ils ont aussi une fonction collective, souvent ignorée des acteurs eux-mêmes : ils vident les quartiers où ils sont commis de leurs populations “exogènes” – c’est-à-dire juives et chrétiennes, c’est-à-dire françaises qui, effrayées, s’enfuient, laissant la cité pure de toute « impureté » non islamique. Pendant ce temps-là, sur les plateaux de télévision, chacun pérore sur les beautés du “vivre-ensemble”. »

Il faut voir maintenant comment la psychose du coronavirus va être utilisée par les sionistes pour faire avancer leur projet malfaisant. Gageons qu’ils trouveront un lien !