Le king ils sont plus forts parce que le mensonge est plus facile que l’honnêteté. C’est plus facile de faire le mal que le bien.
Essayer pour voir, de vous orienter vers le mal, il est très facile de corrompre les esprits par simples suggestions, en semant la zizanie, la division etc.
Je dirais plutôt que l’Église a su résister pendant pas mal de siècles au Mal et aux infiltrations... mais quand l’intention de corrompre est déterminée, finalement c’est elle qui gagne.
C’est la preuve que l’Église ne fut pas exactement fidèle au Christ...
Et que par conséquent nous devons y retourner (au Christ) si nous ne voulons pas nous faire abattre par Satan et ses sbires.
Certains n’y croient pas, mais alors pourquoi y aurait-il autant de fidèles à la Synagogue de Satan ?
Le spiritisme (ou kabbale) n’est pas un mythe, ça marche. Comme la prière pour le versant opposé.
Nous devons continuer de résister, mais le grand sauveur je crois n’est pas humain, et risque de ne pas descendre tout de suite - d’après Jean Phaure (livre "Le cycle adamique..."), pas avant 2120, soit dans un siècle.
Ce qui veut dire, s’il a vu juste, que nous avons encore un siècle de descente et de chute.
Il faut d’abord descendre très bas pour remonter très haut (peut-être une loi cosmique). Il est possible que nous ne soyons qu’au début.
Alors ceux qui sont rebutés par la "réinfo", passez votre chemin, toute façon ça change rien, c’est Dieu qui décide de quoi et à quel moment. Les voies du Seigneur sont impénétrables par l’esprit humain, trop limité.
Pourtant les apparitions et les témoignages de saint(e)s depuis le Christ, nous avaient mis en garde, que nous ne suivions pas la bonne piste.
Par exemple l’apparition du Christ en 1689, 100 ans avant la révolution dite française...
Nous sommes bien trop matérialistes, et pas assez spirituels, c’est tout le problème. Nous ne faisons pas confiance au Ciel. C’est un fait. Et donc nous le payons.
Et plus on s’enlise dans le commentaire, à défaut de prouver notre foi factuellement ("en créant l’évènement"), plus nous allons le payer. Inutile de reporter la faute sur untel ou untel.
Voilà où nous en sommes.