Il y a un lien (et même deux) entre Karine Lacombe, qui a été utilisée un temps par le gouvernement et le Big Pharma pour démolir Raoult et son protocole, et Roselyne Bachelot, ancien ministre de la Santé pendant l’essai mondialiste de pandémie H1N1 en 2009.
Sous la pression des réseaux sociaux, c’est-à-dire des gens qui s’informent par eux-mêmes, et dans lesquels on retrouve ces Français qui se soignent par eux-mêmes ou qui n’attendent pas d’être malades pour penser immunité, qualité de vie, alimentation saine, Karine Lacombe a été éliminée du jeu médiatico-politique. Ce sera bientôt au tour de Roselyne Bachelot qui, on l’a deviné, est en service commandé.
Il y a derrière ces deux femmes une organisation qui a besoin de démolir la réputation, pourtant faite et internationale, du Pr Raoult. On devine que cette organisation a des intérêts non dans un protocole de soins disponible et peu cher, mais dans un vaccin lointain et cher, qui engouffrera des milliards d’euros de la part des États pour un résultat nul ou presque, on l’a vu avec le sida.
Karine Lacombe a donc été poussée hors de la tranchée par cette organisation, elle a été abattue presque aussitôt sur le champ de bataille médiatique ; c’est donc Roselyne Bachelot qui est poussée à se prendre les rafales attendues. L’organisation en question préfère envoyer des proxys qui n’ont pas de rapport direct avec elle, afin de ne pas être reconnue comme telle, c’est-à-dire trop communautaire.
Le Pr Raoult persistant et signant à déclarer que la politique de santé choisie par le gouvernement a été mauvaise, voire criminelle, il subit un tir de barrage continu de la part de ceux qui ont choisi cette politique pour des raisons politiques et financières. Pour le regain de pouvoir politique qu’elle a produit et surtout pour les bénéfices à venir dans la poche du Big Pharma.
La question est de savoir pourquoi les proxys en question choisissent d’anéantir leur crédibilité, médicale ou politique, ou les deux, en défendant l’indéfendable. La réponse doit résider dans un chantage ou un deal auquel nous n’avons pas accès.
En traitant de manière indirecte le Pr Raoult de « connard », Bachelot a mis un terme à toute tranquillité médiatique, à l’instar de ces députés ou ministres qui insultaient les Gilets jaunes sur les plateaux télé et qui une fois dans la rue se mettaient à courir.
Gala a identifié l’insulte :
« Roselyne Bachelot est une snipeuse. Sur le plateau de C à vous, ce vendredi 15 mai, elle a décoché une de ces piques dont elle a le secret à l’encontre de Didier Raoult, l’infectiologue polémique de l’IHU de Marseille. Dans un embrouillamini de mots, feignant des difficultés à prononcer le terme "hydroxychloroquine", l’ancienne ministre de la Santé a glissé un "hydroxychloriconnard" qui, s’il semble avoir échappé à Anne-Elisabeth Lemoine, a certainement dû surprendre les téléspectateurs. »
Mais Bachelot n’est pas tombée de la dernière pluie : après l’épisode manqué de la pandémie en 2009 et ses tonnes de vaccins dont les Français n’ont massivement pas voulu, elle a été poursuivie pour un conflit d’intérêts flagrant entre sa position de ministre et ses accointances avec le Big Pharma, comme tous les grands administrateurs de la santé publique en France aujourd’hui. Il y a bien deux médecines, celle d’en bas et celle d’en haut. La preuve : les membres de l’organisation qui a poussé Lacombe et Bachelot au sacrifice se sont eux soignés en douce à l’hydroxychloroquine, laissant les Français d’en bas se soigner avec des masques en papier et du gel pour les mains. Toute l’arnaque est là.
Privatisation des soins, socialisation des pertes !
Et les soignants d’en bas et les Français d’en bas ont été les victimes de cette opération de terreur montée de toutes pièces. Et quand ces courageux soignants rencontrent le président d’en haut, cela donne le mépris :
"On est désespérées, on ne croit plus en vous"
L'échange tendu entre Emmanuel Macron et deux soignantes pic.twitter.com/05sPPKG699
— BFMTV (@BFMTV) May 15, 2020
Dr. Rachida Inaoui-Roze, médecin rhumatologue à la Pitié-Salpétrière : « Moi je suis heurtée, ulcérée, comment on peut dire des choses pareilles quand on est un président de la République et qu'un gouvernement a promis ? », dans #Punchline pic.twitter.com/a4PpFLsCaE
— CNEWS (@CNEWS) May 15, 2020