Nick Fuentes, venu de nulle part, a traversé tous les écrans médiatiques, franchi tous les obstacles et les censures, pour arriver au premier plan, régénérant la droite américaine, qui était passée totalement sous la coupe sioniste. De ce point de vue, il gêne des intérêts très supérieurs. Charlie Kirk a été assassiné pour moins que ça.

« Et la seule raison pour laquelle je vous dis cela maintenant, c’est que si quelque chose m’arrive, voici ce que vous devez faire : le projet du peuple libre d’Amérique, le projet de la souveraineté américaine, des nationalistes chrétiens, de tous ceux qui se soucient de notre indépendance comme le mouvement de 1776, comme la nouvelle révolution américaine, est, tout comme ils ont créé des journaux et des groupes sur les campus et des clubs de lecture et publié des livres et fait des films, que nous devons exposer ce qu’ils font de la même manière. Et si je vous dis tout cela maintenant, c’est pour que vous puissiez terminer le boulot, si je n’y arrive pas. Parce que même la mort de m’arrêtera pas. »

Que Nick soit assassiné par les forces sionistes aux États-Unis ou vive vieux, on peut dire qu’il a déjà un destin, parce qu’il est radical, et place ses idées au-dessus de sa vie. Ce n’est pas le cas de ceux qui transigent, afin de rester en vie, ce qui est humain. La force de son discours, qu’on y adhère ou pas, vient de là.

En France, pour l’instant, qu’on l’admire ou pas, qu’on le suive ou pas, il n’y a qu’Alain Soral qui met sa vie dans la balance pour donner poids à ses idées. Il est l’objet depuis vingt ans de toutes les accusations, de toutes les désinformations, de toutes les persécutions, et d’être toujours là, à 67 ans, est un miracle. Non pas de la « démocratie », qui ne le supporte pas, mais de la résistance, physique et mentale.

Dans ce contexte malsain, où le bien et le mal sont inversés, l’adversaire révèle lui-même sa haine et sa faiblesse, car la haine est une défaite. Aimer, c’est beaucoup plus dur !

L’identité de cet énergumène, qui croit terroriser à lui tout seul la résistance française avec son grotesque « jugé coupable », a été dévoilée par le site Nouvelle Aube. On se demande encore comment la force publique n’a pas été chercher ce provocateur chez lui, comme elle le fait pour les porteurs de drapeaux et les demandeurs de paix propalestiniens. Probablement une faille dans notre administration, un manque de personnel... Quoique, quand les Français se réveillent pour manifester contre l’extorsion oligarchique, on voit tout de suite 80 000 policiers dans la rue.

« Une enquête en sources ouvertes (OSINT) a permis d’identifier l’homme derrière le pseudonyme Sword of Salomon, un compte anonymisé mais très actif dans les campagnes de doxxing ciblant les militants pro-palestiniens en France. Ce compte, suivi par plusieurs responsables publics et médiatiques, publie régulièrement des informations personnelles sur des militants, exposant des individus souvent jeunes au harcèlement et à la vindicte numérique.

Il s’agit de Lyron Abbou, âgé de 32 ans, gestionnaire immobilier domicilié dans le 3e arrondissement de Paris. Depuis plusieurs mois, Abbou mène une série d’actions numériques visant à déstabiliser des défenseurs de la Palestine, sous couvert de la lutte contre l’“antisémitisme” ou les propos "haineux". »

Mais ce petit Abbou n’est qu’un petit soldat. Ce qui inquiète, c’est la collusion, par exemple, entre le SPA et le CRIF, quand on voit Nathalie Saint-Cricq, qui vit grassement de notre argent, servir de passe-plats et faire la retape du sionisme dans une soirée génocidaire. Aymeric Caron n’est pas Nick Fuentes, mais il vise juste. Citer sa source aurait été sympa, mais on comprend l’empêchement.