Aurélien Bellanger, c’est le gauchiste antigauchiste, le gaucho 2.0 qui rentre dans le lard des paléogauchistes qui en sont restés au stade Charlie. Il est l’auteur d’un livre sur les derniers jours du PS. Sous la forme d’une satire, il s’attaque au Printemps républicain né après les attentats de 2015 et jugé islamophobe.
Les Charlie, ce sont ceux qui n’ont rien compris à la fabrication du 7 Janvier, à l’attelage conspirationniste Val-Fourest, à l’humour jamais drôle validé par le CRIF, au blasphème applaudi par la franc-maçonnerie, à l’islamophobie d’État aux ordres, aux opérations de terreur sous faux drapeau. Bref, la gauche sans tête qui a vendu son cul au pouvoir profond.
Invité le 6 janvier 2025 chez le Karim de service, qui fait le sale boulot pour France Télédesion, le sosie de Rudolf Schenker affronte une brochette de charlistes demeurés, dénués de réflexion personnelle, et surtout, d’informations structurantes. Quand on écoute Brigitte Stora ou Laure Adler, les chiennes de garde du maigre esprit Charlie, on se dit que le lion n’aura aucun mal à équarrir les brebis. Et c’est ce qu’il s’est passé.
Il est le seul à connecter l’attentat à la ligne Val, qui est lié au pouvoir de l’époque – sarkozyste – et qui est un israéliste forcené (la force de persuasion des dossiers des RG). Dans son analyse, Bellanger dénonce un impérialisme quasi racial sous couvert d’humour et de laïcité : Charlie a incarné le racisme occidental et a selon lui été visé pour cela. La question idiote du Karim prouve qu’il n’a rien compris et à l’explication métapolitique de Bellanger, et au montage de l’opération terroriste.
[1/…] Hier dans @Ccesoir, l’écrivain Aurélien Bellanger a livré une démonstration édifiante qui témoigne de ce qu’une partie de la gauche supposément antiraciste n’adhère pas (ou plus) au #JeSuisToujoursCharlie. Thread à lire jusqu’au bout par souci d’honnêteté pic.twitter.com/A5NRCabC4f
— Antoine Oberdorff (@A_Oberdorff) January 7, 2025
« C’était p’tête pas une raison pour aller les assassiner », seule idiotie que trouve à dire Laure Adler, totalement dépassée avec ses 12 ans d’âge mental. Quant à Brigitte Stora, c’est carrément l’affaissement : la chanteuse (!) prend la posture du prof-psy qui gronde son élève-client. Ce genre de débat est dur pour les familles des victimes : dès que la lucidité pointe son nez dans cette affaire, tout le monde lui tombe dessus. On ne peut pas dire la vérité sur le 7 Janvier, parce que ça touche au pouvoir profond, tout simplement. Et tout le monde le sait, au fond de son esprit. Même les plus ignares comprennent qu’il ne faut pas franchir la ligne rouge, établie par les autorités compétentes, ce cordon sanitaire de l’information.
On rêve d’une télé publique qui inviterait du E&R en plateau pour balayer toutes ces salades, sinon un Belliot, plus sobre, plus factuel, qui a bossé le sujet à fond. Là, il n’y a pas de fond, tout flotte dans une mare de médiocrité, rien ne coule mais rien ne surnage. À part Bellanger, tout le monde est venu pour ne rien dire. Et on doit appeler ça un débat.
La lutte perdue de la gauche contre le réel
Cette bêtise flagrante, cet aveuglement volontaire, sont la marque d’une défaite idéologique totale : la gauche a puérilisé ses troupes, elle en paye aujourd’hui le prix. Elle n’a plus d’idées, seulement de la haine. Elle n‘a plus de force : sa seule victoire, c’est la mort d’un homme, qui plus est de vieillesse. La gauche n’a même pas pu abattre Le Pen de son vivant ! Ce sont ses idées, jugées mauvaises – mais pas fausses ! – qui ont gagné, et contre lesquelles la gauche résiste de toutes ses forces. Mais ce combat contre le réel est perdu d’avance.
On mesure la force d’un homme à la peur de ses ennemis. Ce en quoi ces gauchistes ont tort puisque Le Pen les aurait protégés des dangers du néolibéralisme sarkozien ou macronien : paupérisation et déculturation, dont ces mêmes gauchistes sont atteints et souffrent aujourd’hui.
Le proverbe persan dit que même un âne peut donner un coup de pied à un lion mort. Après la danse des gauchos entubés par Macron place de la République, illustration avec la rédaction 100 % blanche, donc raciste, du journal israélien. Logique, direz-vous !
La rédaction de @libe est interdite aux non- blancs ? 40 journalistes, 40 gaulois.
En 2025 peu d’organisations ou d’entreprises sont aussi peu diversifiées. pic.twitter.com/mXESSs3yhU— Damien Rieu (@DamienRieu) January 8, 2025
Libé, ou le journal sociétal qui ignore le social, c’est-à-dire le travail. Qu’ils soient noirs ou blancs, Libé ne peut pas aimer les travailleurs, qui se reconnaissent entre eux !
"C’est vrai, je ne suis pas contre !"
Échange chaleureux entre Jean-Marie Le Pen et un homme issu de l’immigration africaine. Ne montrez surtout pas cet extrait à LFI. pic.twitter.com/CvFOA1HcGV
— Jordan Florentin (@JordanFlrtn) January 7, 2025