La presse s’évertue à l’appeler « le diable de la République », alors que cette République, antifrançaise, antichrétienne, antidémocratique, est le Diable.

La classe politique entière lui rend hommage du bout des doigts, pourtant, c’est un grand morceau de la Ve République, quand elle n’était pas encore pourrie, qui s’est détaché.

Le Pen a marqué de son empreinte à nulle autre pareille ces soixante dernières années. On ne va pas faire ici le Wikipédia de cet homme en avance sur son temps, qui a été traîné dans la boue par les médias du début à la fin.

C’est le lot des héros dans un pays de collabos qui n’a pas encore été libéré. Mais ça viendra.

Après quelques réactions qui vont d’ignobles à polies, rarement dans l’admiration due à un homme politique hors du commun, que d’aucuns appellent désormais, rétroactivement, le Trump français, nous verrons quels liens il avait avec Alain Soral et son mouvement E&R.

On va commencer par les crachats des cloportes, puis monter en grade et en respect. S’il y a encore des patriotes à gauche, Mélenchon vient de les perdre d’un coup sec pour 2027.

Si Mélenchon compte devenir président de tous les Français avec ce manque de hauteur, il rêve. On rappelle que le RN de Marine a fait onze millions de voix aux dernières législatives, devenant le premier parti de France, loin devant LFS, La France soumise à qui vous savez.

Car Mélenchon ne se fait ici que le porte-voix des puissances occultes, qui ont toujours considéré Le Pen comme leur bête noire. Un joli cas de pur et rabique racisme antifrançais. Quant à Poutou, c’est carrément un problème de QI !

Le centriste Bayrou, devenu Premier ministre en fin de carrière, toujours capable de nager entre deux ou trois eaux, a rendu un hommage notable au guerrier politique.

On passera sur la petite phrase du squatteur de l’Élysée, que plus personne n’écoute, et qui est devenu la risée du monde avec son épouse. On ne va pas se mentir, c’est le CRIF qui a établi un cordon sanitaire autour de Jean-Marie, car il annonçait la déferlante nationale que l’on connaît aujourd’hui. Chirac aura fait le boulot pour le CRIF, tout en lorgnant sur les voix du FN, laissant Pasqua faire la passerelle dans l’ombre. Tout cela figure dans ce gros dossier établi par Emmanuel Ratier en 2005. Il vous suffit de cliquer sur le PDF :

L’amitié entre Le Pen et Soral

Les deux hommes sont réunis pour la première AG d’Égalité & Réconciliation en 2007. Le son est d’époque, c’est une archive en or !

Quand Le Pen remercie Soral après la sortie de son livre, lui souhaite la bonne année et l’assure de son soutien dans la persécution...

Faites tourner !