Belle lettre Monsieur Cohen, quel courage !
Le message est clair, ne souffre d’aucune ambiguïté au cas où nos "élites représentatives" auraient l’intention d’en trouver à dessein de ne pas comprendre, minimiser ou déformer cette réalité bien connue de la plupart des français.
A l’absence d’une réponse claire qui ne peut aller que dans celui du bon sens, Monsieur Valls prouvera sa soumission au CRIF, à la LDJ, sa volonté de sur protection abusive de certains, la discrimination d’autres et qu’il mérite ce déni par tous les français.
Une pensée, un soutien à Madame Zémor, à Monsieur Cohen, à tous ceux victimes de la milice impunie de cet état dans l’Etat, comme à tous ceux conscients de ces vexations déséquilibrées permanentes que nous subissons par les médias, les instances de l’Etat, les lois et l’économie (banques, dette, multinationales...) sous la houlette, entre autre, de ce sionisme d’occupation.
Si le gouvernement représentatif en place qui dirige l’Etat ne réagi pas, cela va mal se terminer et il en sera l’unique responsable même si nous assistons lentement à ça depuis quarante ans.
On ne gère pas une nation dans le déséquilibre des droits ou par des protections abusives et illégales de certains, ce qui équivaut à la discrimination des autres la constituant. Cela me semble être les prémisses de ce que permet un système féodal, la loi du plus fort (ici l’argent).
Dans ce sens, on ne brade pas l’Etat, aucun Etat. La France n’appartient pas à Israël, au CRIF, ou à la LDJ, à aucun autre pays ou formation représentative, ni aux banques et multinationales. De même, la France, comme tous les pays de la communauté européenne et d’ailleurs, doit rester souveraine. Les régions, l’économie, les politiques internes doivent rester sous l’autorité de l’Etat au lieu de traiter en direct avec la communauté européenne. Si nous continuons ainsi à tout disloquer au bénéfice et au prétexte de la puissance de l’argent, tout en créant ou cautionnant des déséquilibres discriminatoires, nous allons tout droit vers un système féodal à l’échelle européenne qui serait notre perte par des guerres de clochers régionales interminables (et internes aux clochers). Aucun Etat n’aurait alors la puissance de ses ambitions (aussi louables soient-elles) et cette fameuse "communauté européenne" ne serait alors qu’un vaste champ de bataille incapable de s’unir. L’inverse de "l’Union Européenne".
Mesdames, Messieurs du gouvernement, il y a du boulot ! Sinon, à qui profite le crime ?
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