Cher Monsieur Cohen,
Cela n’a pas dû être aisé de se frotter à cette engeance. C’est semblable à passer du Washington de Casa, avec water turcs, à l’hôtel Saphir de Rabat riche de loufiats.
Grâce à Dieu de nos jours on fait de jolis manteaux en sainte éthique qui donne l’illusion du riche ou pourrions-nous dire du pas trop pauvre.
En vérité qui de nous ou de nos créanciers sont les véritables pauvres ? Eux bien sûr... Ils ne peuvent rien nous prendre. Comme si l’on pouvait égratigner l’âme !
Grâce à Dieu, chez nous catholiques, le passage en confessions absout tout passé. A la condition du bon vouloir de l’autorité du prêtre.
A Sciences Po on devrait penser à un Atelier Théâtre pour mettre à l’aise toutes les confessions, qu’aucune ne soit isolée.
Avec votre prestance naturelle et votre port du veston, vous auriez fait l’acteur comme personne. Alain Delon aurait pu aller se rhabiller.
Merci de votre intervention ; c’est toujours un régal votre présence spontanée raffinée. En confidences, vous devriez en toucher deux mots, de l’élégeance, à l’actionnaire majoritaire du site de diffusion en tee-shirt made in Asia (2 passages en machine à 30° suffisent à le distendre)... Il en manque.
Et, merci aussi de nous rappeler de n’être pas impressionné par du vernis ; Tout ce qui brille n’est pas fait.d’or.
Conseil aux jeunes filles qui voudraient se caser : Attention à la pâquotille Mesdemoiselle.
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