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L’homme déconstruit, c’était le mec de la ministre des droits de la Grosse, dont on a oublié le nom. C’est celle qui est mouillée dans le scandale des patates refilées aux escrocs du fact-checking israéliste. Ici, on appelle un chat un chat.
Finalement, on apprendra que la Schiappa, ah, c’est revenu, a largué son déconstruit pour un mâle alpha américain. Ça doit être l’air du temps, l’effet du mégatrumpisme sur les ovaires...
L’autre nouille qui nous a fait la promo du décons’, c’est l’écolo allumée dont on a oublié le nom, la folle à lunettes et à cheveux verts. On prie pour son mari qui doit en prendre plein les dents : des devoirs et pas de droits, sauf celui de fermer sa gueule et de faire le ménage.
Pas de foot, pas de sexe, pas d’apéro, pas de viande, que des graines pour oiseaux, des amis chiants comme la mort de masse, au milieu des « les fachos se sont encore foutus de moi sur X » avec crises de larmes et crise de nerfs chaque soir...
L’émission de Lemoine & Cohen, toujours à la pointe de la stupidité, essaie de nous vendre le mâle décons’ comme « sexy ». Naturellement, si les femmes intéressantes ne veulent pas d’un bourrin sexiste, elles ne veulent aucunement un soumis pleurnichard. Elles auraient même tendance à le taper, au sens propre ou au sens figuré.
70 % des femmes veulent un homme 'déconstruit' : celui qui montre ses faiblesses, ose pleurer, est fier si sa compagne gagne plus que lui…
Mais qu’en pensent les baby-boomers ? Réponse dans le #PVPP de @mohamedbouhafsi #CàVous pic.twitter.com/BrGsWYwazr
— C à vous (@cavousf5) February 19, 2025
La déconstruction du mâle français n’ira pas jusqu’au bout, et pour une bonne raison : les femmes n’en veulent pas. Elles ont épousé la mode MeToo parce que ça les a mises en avant et qu’elles peuvent se plaindre de leur mec ou de leur patron, ce qui est leur sport national (qui ne fait pas maigrir), mais au grand jamais elles ne voudraient d’un sous-homme à la maison. Et c’est évidemment ce que proposent les forces du Système, qui veulent réduire la résistance à la grande transition sociétale.
Là on va faire un peu d’histoire : quand les SS sont entrés en URSS, à l’été 41, ils avaient pour programme de fusiller les commissaires politiques, les partisans et les juifs. Les fameux Einsatzkommandos ont commencé par isoler les hommes valides (qui n’avaient pas fui ou qui n’étaient pas incorporés dans l’Armée rouge), les ont fait bosser à la dure (fossés antichar, réfection des routes, nettoyage des ruines), les ont épuisés, puis les ont fusillés. Une fois ce job achevé, ils s’en sont pris aux femmes, aux enfants, et aux vieillards. À la fin tout le monde y est passé.
Comprendre que le processus actuel est le même, au fond, même si les Français ne sont pas fusillés : ils sont rabaissés, affaiblis, domptés, et le pire, c’est que certaines femmes participent à ce génocide mental. Ce que les féministes ignorent, c’est qu’elles sont les prochaines sur la liste, car elles n’auront plus de protecteurs. Si les femmes assurent par la procréation le renouvellement des générations, ce sont les hommes qui les protègent, pas un salaire dans le tertiaire.
Une société qui élimine les hommes, physiquement ou psychiquement, va immanquablement s’en prendre aux femmes. Schiappa et Sardine sont donc sans le savoir en train de se déconstruire. On préfère encore Sardine, qui n’est qu’une demi-folle amusante, à Schiappa, qui est une grosse méchante. L’affaire du fonds Marianne est une dégueulasserie sans nom.
Sardine, elle, est devenue une blague de barbecue. Pas un BBQ sans que son surnom ne soit évoqué. C’est la gloire. Schiappa, qui s’est servi de la souffrance de la famille Paty pour donner de l’argent public à des menteurs haineux, est une malédiction.
Comprendre la manipulation oligarchique :
