Ce n’est pas au Vietnam mais au Japon !
Les panneaux sont écrits en japonais.

C’est que vous n’avez pas connu « Lulu la Nantaise » : une blonde comac, les volets rouges...
De la prostitution féminine, l’on en ferait toute une encyclopédie : il y a celles qui l’ont été, celle qui le sont et celle qui le seront. Les professionnelles, comme les amatrices, sans que l’on ne sache bien, parfois, distinguer l’une de l’autre. Sans que qui que ce soit ne les pousse. Nombre de femmes ont compris qu’elles avaient quelques atouts à négocier depuis que le monde est monde et que l’immense majorité des hommes en pincent pour elles, pour être poli.

Nota bene : j’exclus de mon propos celles qui sont contraintes par quelques mafias vouées au traffic d’êtres humains.

…Le progrès, mon bon Monsieur, le progrès & l’émancipation…

@Beo
Non, c’est bien au Vietnam.
 La langue parlée n’est pas le japonais caractéristique.
 sur les inscriptions, je n’ai pas reconnu le kanji, les idéogrammes particuliers du Japon.
 Et le faciès des jeunes femmes n’est pas celui des Japonaises.
Il se pourrait que ce soient des filles étrangères qui se prostituent au Japon me diriez-vous.
Et bien, j’ai pu lire cette adresse sur une enseigne : Thái Văn Lung st district
En tapant cette adresse sur la barre de recherche sur Google Map cela me renvoie à une rue située dans un quartier appelé Saigon Japan Town qui se situe bien à Hô Chi-Minh Ville, au vietnam, d’ailleurs, les photos du site correspondent à la vidéo.
Le quartier a l’air d’être un attrape-nigaud pour touriste avec des salons de massage, des bars et des restaurants. Mais peut-être que les filles sont plus présentent pour pousser à consommer, que pour se prostituer. Durant la colonisation française, il y avait déjà des prostitués autochtones. Par exemple, les prostitués trouvées après la prise du camp de Diên Biên Phu, furent exécutées par les Việt Minh. Ensuite, pendant l’occupation américaine du Vietnam, Saigon (l’ancien nom de Hô Chi-Minh Ville) était l’antre de la prostitution pour les GI en permission.

Mais peut-être que les filles sont plus présentent pour pousser à consommer, que pour se prostituer.

La langue française vous joue des tours… Par définition, ces filles sont des prostituées. Le fait de pénétrer une femme n’en fait pas d’elle une prostituée, c’est la façon dont elle se présente en public qui défini la prostitution.

Mais voilà, l’étymologie ne fait pas bon ménage avec la pensée post-moderne.

Une femme en mini-jupe, bariolée, en décolleté et travaillant dans une banque ou une compagnie d’assurance, est littéralement une prostituée. Idem pour certains “hommes”…

Beaucoup de ces filles, font ça pour faire vivre leur famille.

Absolument, pas une bobo (souvent privilégiée, ayant voyagé fait de "bonnes études" payées par papa -maman gaucho)... Plutôt la conne de base abreuvée de téléréalité... mais je connais aussi des jeunes filles, non bourgeoises miraculeusement épargnées par cette vulgarité et bêtise à front de taureau... elles brillent particulièrement au milieu de cette crasse intellectuelle et obsession du paraître...

La societe qui accompagne la fin des temps est sensee aller tres au dela de tout ce qu a connu l humanite en terme de derives ! Pire que les societes dans lesquelles ont evolue Noe, Loth ou Moise ! Bref du gratine, on commence a serieusement l entrevoir mais on en est qu au debut !

Pendant la guerre d’Indochine, Saigon était réputée pour ses petites "con gái" ; ça n’a pas changé à l’arrivée des GI américains, ni par la suite lors de la coopération avec le grand frère soviétique.
Par contre, ça a l’air d’avoir drôlement empiré ; c’était plus discret il y a 25 ans en arrière.

Les sionistes ont compris que la plupart des femmes étaient vénales, avec un égo démesuré... c’est aussi simple que ça.

Dans les années 40 les parents ne divorcaient pas, aucune femme ne serait partie de son foyer, il n’y avait pas l’aide mère isolée, RSA, prime, CMU, aide au logement, HLM...
Les parents n’avaient pas une même charge de travail, la vie n’était pas la même, le salariat pareil, on travaillait dans le village, quartier, pas a 2 heure de métro, l’école était au village, il n’y avait pas de télé, réseaux sociaux, internet, smartphone, ordinateur, écran, tablette..la propagande n’avait pas le même impact.
La mode, musique, cinéma, people, showbiz n’influencaient pas les enfants comme aujourd’hui.
Il y avait encore un socle commun, église, famille, dieu, travail, enracinement...
Le peuple était encore homogène a 90% et même 100 % sur plein d’endroits du territoire..
On est tous victimes de cette manipulation.
Et on est pas tous égaux pour s’en défendre.
Intelligence, moyens financiers, famille, environnement, éducation, etc.. sont autant d’atouts, chances, facilités ou de désavantage, faiblesse ,inconvénient..
Les parents n’ont rien à voir avec cela, on a été manipulé depuis des lustres..a partir de là, il n’y a plus pour beaucoup de capacité a résister, comprendre, appréhender , agir.

Des parcs pour tentes Queshua éco responsable respectueux de l’environnement, pour une population en non mixité, de mineurs isolés de 35 ans racisé.e.s , en solidarité avec les luttes intersectionnelles.