C’est la trollasse du jour, mais elle est malheureusement authentique.

C’est la mairie de Paris tenue par l’Anne qui finance et autorise de genre ce chose. Ce parasitisme total explique, entre autres mauvais investissements (qui sentent très fort le délit d’initiés et la corruption), le trou abyssal creusé par les (faux) socialistes à Paris.

Ces néosocialistes ont toujours vécu grassement de l’argent, de la production et du sacrifice des autres. Même si Dati n’est pas la panacée, au moins on échappera à cette tribu de dingues. On sait très bien que l’alternance est un piège, mais bon, si vous avez mieux en magasin...

À tout dire, on préfère cette grosse tana, même si elle a été détruite par le progressisme. Il y en a qui en profitent, la trollasse du haut, et d’autres qui en sont victimes.

On ne va pas en profiter pour faire notre Sapaudia et foutre toutes les femmes dans le même sac (pas de vanne, merci). Car le progressisme a aussi pas mal frappé les mecs : ceux qui s’y sont pliés sont ce qu’on appelle des déconstruits, Dieu ait leur âme, et les autres, ceux qui résistent, sont considérés comme des salauds, des violeurs ou des féminicidistes. C’est pour ça qu’ils deviennent mécaniquement plus méchants : pour se défendre.

Du côté des trans, c’est pas vraiment mieux. En devenant des femmes, on aurait pu croire qu’ils s’assagiraient, qu’ils deviendraient plus doux, qu’ils jouraient mal au foot, mais non, le vieil instinct masculin violent ressort. Regardez ça :

Il n’est pas resté longtemps femme, celui-là. Mais les femmes sont aussi capables de colère, et quand une femme s’énerve, on ne peut la calmer qu’avec un lasso ou un taser. Ici, la charmante Tulsi s’énerve, mais avec un calme froid. C’est pire pour les mecs en face.

Eh oui, les gars, les femmes, c’est plus ce que c’était. Aujourd’hui, elles sont féministes parce que ça fait croire aux connes qu’elles sont géniales (parce que femmes) ; elles sont arrogantes parce qu’elles gagnent du fric ; elles s’habillent en putes (les putes savent plus comment s’habiller, d’ailleurs) ; et elles sont capables de kucher ensemble rien que pour nous faire chier.

Heureusement, l’histoire est un balancier, et on retrouvera rapidement nos petites esclaves qui nous feront l’amour, la bouffe et la vaisselle.

Ce n’est qu’une question de temps !

En attendant, ce serait bien que l’histoire se dépêche, parce que ça devient dur, là.

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Plus con, tu meurs !