Geopolintel offre ici au lecteur ne comprenant pas l’anglais la traduction d’une partie du discours du docteur Annie Bukacek, médecin dans le Montana (États-Unis), sur la manière dont sont comptabilisés les décès dus au Covid-19, qui conduit à gonfler largement le taux de mortalité du virus ayant assigné à résidence la moitié de l’humanité.
« Des décisions historiques de confinement sont prises en raison de ces chiffres alors qu’ils sont carrément erronés, basés sur des données insuffisantes et souvent inexactes. Les gens savent combien de possibilités et de marges de manœuvre individuelles sont accordées au médecin ou au médecin légiste qui signe le certificat de décès. Comment je l’ai constaté ? Je remplis des certificats de décès depuis plus de 30 ans. Plus souvent que nous ne voulons l’admettre, nous ne connaissons pas avec certitude la cause du décès lorsque nous remplissons les certificats de décès. […] »
« Les médecins font leur meilleure évaluation et remplissent le formulaire, puis la cause de décès indiquée, quelle qu’elle soit, est saisie dans une banque de données des registres de l’état civil pour être utilisée à des fins d’analyse statistique qui donne ensuite des chiffres inexacts comme vous pouvez l’imaginer. Ces chiffres inexacts sont ensuite acceptés comme des informations factuelles, même si une grande partie d’entre elles sont fausses. Ainsi, avant même que nous n’ayons entendu parler du COVID-19, les certificats de décès étaient basés sur des hypothèses et des estimations éclairées qui ne sont pas remises en question : "Troubles iatrogènes" induits par les médicaments : c’est la troisième cause de décès aux États-Unis et en Grande-Bretagne. »
« En ce qui concerne le COVID-19, avec la compilation de données supplémentaires, il n’y a pas de certitude du décès par COVID-19. »
« Le Center for Disease Control, chiffres actualisés depuis le 4 avril, affirme toujours que les données de "mortalité" comprennent les cas positifs confirmés et présumés de COVID-19. […] Le CDC compte à la fois les cas réels de COVID-19 et les personnes suspectées de COVID-19 ; de même, ils appellent cela la mortalité par COVID-19. Ils surestiment systématiquement les cas concrets de mortalité de leur propre aveu. […] »
« Nous devons comprendre comment le CDC et le National Vital Statistics System demandent aux médecins de remplir les certificats de décès liés au COVID-19. Attention, s’il vous plaît, soyez attentifs et comprenez ce que je vais vous dire. L’hypothèse de décès par COVID-19 pourrait être faite même sans test. Sur la base de cette seule hypothèse, le décès peut être déclaré au public comme une victime supplémentaire du COVID-19. » « Si un patient est positif au COVID-19 et meurt d’une autre maladie comme la septicémie pneumococcique, il peut être recensé mort positif au COVID-19 et non de COVID-19. Pourtant, la directive du CDC énumère ce cas comme un autre décès dû au COVID-19 et ils passent à l’autre décès suspect, ils l’étiquettent comme COVID-19 et ainsi de suite. Vous pouvez constater combien ces chiffres sont effrayants alors qu’il est si facile d’ajouter de fausses statistiques à la base de données officielle. Ces faux chiffres sont sanctionnés par le CDC depuis leur note de service d’hier, le 4 avril. […] »
« Le nombre réel de décès par COVID-19 n’est pas ce que l’on nous dit ni ce qu’en pense la majorité des gens. Le nombre réel de personnes mortes par COVID-19 est falsifié. » « Sur la base de données inexactes et incomplètes, les gens sont terrorisés par des causeurs de troubles qui les poussent à renoncer à leurs libertés. »
L’intervention du docteur Bukacek, en anglais et non sous-titrée :