Une blonde potiche bien soumise qui joue les idiotes, un chef barbu dominateur et patriarcal, une recette populaire bien franchouillarde à base de patates et de viande (rouge !), une sauce à l’ancienne avec du vin (rouge !), de l’ail écrasé, tout ce qui répugnerait l’homme nouveau, à savoir « le » vegan féministe.
« Je pense que toutes les bouteilles de bordeaux sont bonnes, comme toutes les bouteilles de vin français d’ailleurs »
Non, y a pas à dire, en 1960, on savait vivre. Aujourd’hui, la télé publique de merde dirigée par une dingo mondialiste qui hait les hommes nous offrirait une recette de falafels vegan avec un couple composé d’une gouine et d’un sionard – on ne parle pas de l’émission de France 5 C à vous, on n’est pas là pour polémiquer –, et toute la recette se ferait dans le respect des espèces discriminées, à savoir les homos, les femmes, les sionistes et les animaux.
À l’arrivée, on obtiendrait un plat sans structure et sans goût qui, s’il était copié par une téléspectatrice désireuse de faire plaisir à son mari qui rentre du télétravail le soir, déclencherait plutôt un féminicide domestique.
Comme le rappelait notre responsable gastronomique à la Rédaction, qui fait la tournée des étoilés pendant que la Rédac fait la diète Casasnovas (la plus dure, 40 jours sans bouffer), la cuisine, c’est « du beurre, de la crème et du vin », toutes ces choses que les post-humains actuels abhorrent. Et puis, on allait oublier, la blonde, qui incarne il y a 60 ans la Française soumise, qui admire le mâle, le sachant, le dominant, tout cela est aujourd’hui criminalisé.
La souffrance des fausses blondes confinées
On remarque, dans cette période de confinement, quelque chose d’assez marrant, mais pas pour tout le monde : les blondes disparaissent de notre vue. Pas que les blondes resteraient plus confinées ou plus obéissantes aux injonctions du Big Pharma que les brunes, mais les salons de coiffure ayant fermé, les racines réapparaissent et automatiquement, la proportion de blondes diminue.
- Malheureusement, aujourd’hui, la blonde c’est ça
Or, en France, avant le confinement décidé par les forces multinationales, il y avait 20 % de blondes, soit 5 millions de casquées d’or. Et sur ces 5 millions, un million sont de fausses blondes ! Même les blackettes – et certaines ça leur va très bien – tentent le blond cendré, le blond vénitien, le blond germanique...
D’ailleurs, la Grande Gueule Joëlle Dago-Serry porte sa blondeur avec grâce :
Pour en revenir à la viande, et au bordelais, il y a un autre genre de blonde, c’est la blonde d’Aquitaine, plus charnue, plus grasse (non c’est pas la Catherine, la potiche de Raymond), qui date justement de 1960 :
« On est amoureux de cette race-là, on ne changerait pour rien au monde ! »
Oh la la, le malheureux : le mot « race » est interdit ! Tout est interdit ! On vit l’anti-Mai 68, où il était interdit d’interdire ! Il y a juste le pédophile Cohn-Bendit qui n’est pas interdit de médias, on ne comprend pas bien pourquoi...
Voilà voilà, c’était notre petite contribution à la lutte anti-discriminations, la discrimination des hommes qui aiment bien manger un vrai steak frites servi par une appétissante blonde...
- Hé la serveuse, un steak frites !
– Deux ! Et du pinard ! Fissa !