France 3 Régions regorge de contes de fées pour gogos. Les fées, ce sont les Françaises qui, le cœur sur la main, hébergent de pauvres migrants mineurs. Les gogos, ce sont... aussi les fées, qui se tapent un gros boulot en croyant faire le bien.
Face à la détresse des jeunes migrants à la rue, Claire Lelièvre a décidé d’agir. Ce qui a commencé par un accueil chez elle est devenu un véritable projet de société : la création de maisons d’accueil semi-autonomes à Nantes, portées par des bénévoles.
Certes, elles font le bien, mais la question est de savoir pour qui, et quels sont les dommages collatéraux de leurs charitables actions. À leur échelle, c’est l’application à la lettre des valeurs chrétiennes de générosité, d’accueil et de bonté.
« Ce sont des jeunes qui ont connu l’exil, la fatigue, les traumas, mais ils arrivent avec une telle motivation, une telle force de vie… C’est une leçon quotidienne. Ces jeunes n’attendent qu’une chose : qu’on les soutienne, qu’on les aime. » (Claire)
Oui, ils viennent pour l’amour, Claire. On sait tous que le Grand Nantes est le réservoir dans lequel notre oligarchie déverse les migrants (ce qui fait souffrir notre Pierre-Marie), et ce, pour une raison bien simple, qui sonne comme une punition plus que comme un cadeau : l’Ouest vote à gauche, relire les cathos zombies de Todd. Tu aimes les migrants ? Tu es une chrétienne devenue gauchiste (valable au plan personnel et au plan régional) ? Tiens, voilà ta dose.
« Ibrahim c’était un coach qui m’avait appelée en disant mais est-ce que t’as conscience que t’as une pépite du football à la maison ? »
Le texte de France 3 peut se lire à deux niveaux. On vous laisse trouver.
Claire se souvient parfaitement du jour où elle a ouvert la porte à Moussa. Ce jeune garçon venait de passer une nouvelle nuit dehors. Elle l’a accompagné jusqu’à sa chambre, dans la maison qu’elle venait d’ouvrir pour accueillir des mineurs isolés étrangers.
« Je lui ai dit “ça, c’est ta chambre”, et son regard… Je ne l’oublierai jamais », raconte-t-elle, encore émue. À cet instant, Claire Lelièvre a pleinement mesuré l’impact de son engagement.
La suite est socialistement logique.
« Je voyais des jeunes dormir devant la gare de Nantes, là où je range mon vélo tous les matins. Et moi, j’avais des chambres vides. C’était illogique ». Quand Claire s’installe à Nantes avec son conjoint, elle travaille pour l’Agence française de développement, une banque publique qui finance des projets d’éducation et de transition écologique dans les pays du Sud. Son quotidien est stable, confortable, mais voir ces jeunes à la rue la perturbe. « J’avais la sensation d’être privilégiée. Une injustice qui me rongeait. »
Rongée par la culpabilité et le désir (de bien faire), Claire découvre donc la misère humaine devant sa porte, ou le décalage entre la France et l’Afrique subsaharienne. Rien de nouveau, mais cela a déclenché un puissant désir chez elle : celui d’héberger. La suite, on pourrait l’écrire avec une IA, tant ces gens sont prévisibles, côté riches comme coté pauvres.
Un des gars, qui touche sa bille au foot, va jouer pour les U17... alors qu’on peut supposer qu’il a au moins 20 ans. Ça nous a rappelé l’histoire de ce joueur africain de l’Inter (de Milan) qui avait 6 ans de plus que sur sa carte d’identité... Obafemi Martins, qui courait comme un lapin affolé et qui faisait exploser toutes les défenses.
À l’horizontale – avec Claire – et à la verticale – avec Julien – il est facile de gruger les Français, qui sont un peuple foncièrement généreux. Ce comportement chrétien a été réactivé lors de la création de SOS Racisme,, qui avait un but pas très humaniste, en fait. La preuve avec notre ami rabbin :
« Cette intervention dévoile-t-elle les véritables intentions à l’origine de la création de SOS Racisme
Rav Mordechai Bitton : « Quand Julien Dray a fondé SOS Racisme, il y avait les marches des Beurs, où certains portaient des keffiehs, et qui cherchaient à faire la… pic.twitter.com/UACGf9ztLT
— The NEWS (@news_and_truth) October 12, 2025
Il est clair que Claire, toute à sa générosité et à sa culpabilité, ne voit pas le schéma de l’ingénierie sociale qui la calcule. C’est peut-être mieux comme ça.
Maintenant qu’on a chopé le doute, on va quand même vérifier si Pogba n’a pas 40 ou 45 ans, vu qu’il revient dans la danse après son purgatoire. Si ça se trouve, Mbappé a 14 ans, ou 41 ans : comment savoir ? Les âges, en Macronie, c’est du bonneteau.