Alors, le vaccin à ARN messager, dangereux ou pas dangereux pour la santé ? Voici la réponse du Dr Zelenko, que Wikipédia nous présente :
Traduit de l’anglais-Vladimir Zelenko est un médecin de famille ukraino-américain connu pour la promotion d’un cocktail de trois médicaments d’hydroxychloroquine, de zinc et d’azithromycine dans le cadre d’un traitement ambulatoire expérimental pour le COVID-19 qui est devenu connu sous le nom de protocole de Zelenko.
Pour ne pas voir que le même côté de la pièce, voici la version rassuriste du vaccin à ARN messager :
Á écouter attentivement !
Vaccins à ARN messager.
Cette technologie appliquée à la médecine et jusqu’alors inconnue du grand public, inspire crainte et méfiance.« A-t-on assez de recul sur les vaccins à ARN messager ? »
Réponse du docteur @helenerossinot ⤵️⤵️ pic.twitter.com/v9ahVq8oiu— Laurent SEGNIS #TousVaccinés (@LaurentSegnis) July 15, 2021
Qui diffuse ce témoignage ? Qui parle ? Pour information, Laurent Segnis est un « marcheur », et un sacré collabo.
Une chose est sure et certaine c’est que chaque restaurant dans lequel j’entrerai et qui affichera cet immondice fera l’objet d’un signalement systématique à la @dgccrf et aux services de la @prefpolice. #PassSanitaire pic.twitter.com/6VRyPAOUU0
— Laurent SEGNIS #TousVaccinés (@LaurentSegnis) July 15, 2021
Voici ce qu’écrivait Le Figaro le 1er juillet 2021 à propos de la protéine spike, et du débat qui a agité la Toile, et qui l’agite encore :
Cette protéine du Sars-CoV-2 est produite par les vaccins pour fabriquer des anticorps, mais les « vaccinosceptiques », contre l’avis général de la communauté scientifique, évoquent sa supposée « nocivité ».
Naturellement, le grand quotidien nie toute nocivité (avec zéro recul) :
Pour bien comprendre pourquoi la protéine Spike (ou spicule) ne peut être nocive pour l’homme, il faut dans un premier temps comprendre le fonctionnement du vaccin à ARN messager. L’injection consiste à envoyer un code - l’ARNm - dans le cytoplasme d’une cellule du patient, en l’occurrence une cellule musculaire du bras. Au contact de cet ARN, la cellule humaine va elle-même fabriquer la protéine Spike, protéine de surface du Sars-CoV-2. Cette protéine Spike est la protéine d’ancrage du virus, c’est-à-dire qu’elle lui sert à s’arrimer aux cellules humaines afin de les infecter. « C’est un outil du virus, c’est comme un tripode lunaire lui permettant de se poser sur nos cellules avant de se transformer pour permettre la fusion de l’enveloppe du virus. Détachée de l’enveloppe virale, c’est-à-dire utilisée isolément, elle ne peut plus fusionner et n’a plus aucune fonction, elle est donc inoffensive », explique Jean-Luc Cracowski, directeur du centre de pharmacovigilance du CHU de Grenoble.
Pourtant, une étude a montré que la protéine, au cours de ses pérégrinations, n’obéissait pas forcément au chemin tout tracé et à la propagande des vaccinateurs...
La seconde étude sur laquelle s’appuie le docteur Bridle et relayée également par France Soir a été effectuée par l’université d’Oxford et menée sur 13 personnes vaccinées avec le vaccin de Moderna. Elle montrerait que des protéines Spike se seraient retrouvées dans l’organisme de certains patients 15 jours après l’injection du vaccin. En réalité, l’un des auteurs de l’étude, David Walt, a expliqué à l’AFP que si, effectivement, des fragments de protéines Spike ont été retrouvés dans le plasma sanguin de 11 des personnes étudiées, leur concentration diminue très rapidement au fur et à mesure que la réponse immunitaire contre le Covid-19 augmente. « M. Bridle confond les effets toxiques d’une concentration élevée de protéine Spike chez certains patients, avec les concentrations très faibles observées chez certains de nos participants vaccinés », confirme le professeur de médecine d’Harvard auprès de l’AFP. « Notre conclusion est que le vaccin fonctionne comme prévu. Ainsi, au bout de 14 jours, après la seconde dose, les protéines Spike ont entièrement disparu de l’organisme. »
Heureusement, tout finit bien. C’est aussi ce qu’écrit le site gouvernemental de la recherche sur le covid :
ARN messager (pour acide ribonucléique messager) : lorsqu’une cellule a besoin d’une protéine, le plan de fabrication de cette dernière est "photocopié" – les scientifiques disent que son gène est transcrit. La copie ainsi générée – un ARN messager – est ensuite exportée hors du noyau et rejoint les ribosomes où elle permet la synthèse de la protéine demandée. Très instable et fragile, cette copie est ensuite rapidement détruite.
Leur schéma, avec le petit bonhomme sympa et rigolo, nous a rassurés tout de suite :
Nous avons parlé de recul, les vaccins (qui n’en sont pas, par exemple les Pfizer et Moderna) sont en réalité encore en phase de test et ce, jusqu’à 2023. Minimum ! On ne sait donc pas précisément les conséquences d’une injection sur le corps humain. Et ne parlons pas de long terme, et encore moins d’injections renouvelées, comme ça semble être la stratégie.
Heureusement, pour calmer les sceptiques, la vaccinocratie a tout prévu : le recul, pas la peine de l’avoir dans le temps – ah bon ? –, il suffit de considérer que trois milliards d’êtres humaines vaccinés font recul. C’est le nouvel élément de langage qui tombe du ciel (en général de l’OMS, puis du Conseil scientifique, de la Haute Autorité de santé et autres officines opaques) :
Mais oui ! Le recul, maintenant, ce n'est pas le temps, c'est le nombre de cobayes. Mais quel foutage de gueule https://t.co/M7qCmlr8cP
— ⎝ Aaron Vells ⎠ (@AaronVells) July 15, 2021
La version officielle du gentil vaccin
Par Vincent Thibault, professeur à la faculté de médecine de l’Université de Rennes 1 et directeur du laboratoire de virologie du CHU de Rennes.