Ce salaud a voulu voler la victoire au sympathique Joe, il sera bien puni ! C’est en substance la fadaise que peut écrire la presse mainstream des deux côtés de l’Atlantique sur les dizaines de charges qui pèsent sur l’ex-président, entre la tentative de changer le résultat du scrutin et l’encouragement à prendre le Capitole. Et on passe sur les attaques de putes qui ont jalonné la vie de Donald.
Ainsi, la défense ne pourra pas reporter ces procès iniques, car décidés par le pouvoir profond, en 2026. L’idée est de freiner la montée de Trump dans les sondages, mais ça provoque une sorte d’effet Streisand : à trop vouloir charger un homme populaire, on augmente encore sa popularité. La persécution finit toujours par se retourner contre les persécuteurs.
D’ailleurs, les républicains pro-Trump sont déjà en train de ruminer leur vengeance : ils ont mis les juges anti-Trump sur leur liste. L’Amérique est bien fracturée. Et on ne voit pas comment le pédophile grabataire pourrait l’’emporter, car aucun candidat crédible ne se dessine dans son camp : même la féministe immigrationniste Ocasio-Cortez, que toute la presse nous vendait comme une future présdiente – pensez, brune, belle et latino – a disparu, achevée par ses prises de position woko-radicales.
L’histoire nous ressert donc un duel Trump/Biden, avec un républicain probablement élu haut la main en 2020 (jusqu’au traficotage de dernière minute) qui a dû céder sa place à une marionnette qui sert les intérêts du pouvoir profond. C’est tellement gros que les médias gauchiasses français ne peuvent le dire, tant leur antitrumpisme passe avant leur honnêteté intellectuelle.
Enfoncer Trump pour ne avoir l’air de pas trop soutenir l’inqualifiable Joe est un exercice aussi difficile que comique, ça donne des unes comme ça (Le Monde) :
Un procès le 4 mars, la veille du « Super Tuesday » !
Bel exemple de Monde à l’envers : la Pravda française veut nous faire croire que c’est Trump qui a croisé les deux agendas, le sien et celui du pouvoir profond, afin de se faire passer pour une victime ! Alors que c’est bien le pouvoir profond qui tente, pas tous les moyens possibles, de lui mettre un maximum de bâtons dans les roues avant le 5 novembre 2024. la volonté de Trump et de ses avocats était de repousser le procès à 2026, ce qui n’a pas été accepté par la juge noire Chutkan.
L’audience de lundi a été marquée par des tensions entre John Lauro, l’un des avocats de Donald Trump, et la juge Chutkan. Face à la gravité des charges retenues, les juristes choisis par l’ex-dirigeant n’ont d’autre choix que de faire du bruit et de l’obstruction procédurale. Leur client a besoin d’alimenter l’idée d’une supposée conspiration pour le faire tomber. (Le Monde)
Car ça a son importance, là-bas. Ce sont les femmes noires qui ont été draguées en 2020 par les démocrates pour réveiller le vote noir, qui a de plus en plus de mal avec les démocrates, qui les ont tout le temps roulés dans la farine.
Cependant, si cette persécution, qui dure depuis le premier jour de son mandat en janvier 2017, freine l’élan électoral de Trump, la bataille n’est pas gagnée pour les démocrates, qui ont le mauvais rôle. Ils harcèlent un type populaire et défendent un pédophile grabataire dont le fils est une véritable crevure. C’était autre chose quand il fallait défendre JFK et Obama, même si ce dernier n’était qu’un bon acteur.