Alors que le sujet divise, le ministère du Travail recommande dans un guide à destination des PME et TPE d’employer l’écriture inclusive afin de lutter contre les discriminations et les inégalités entre les hommes et les femmes.
Une voix officielle en faveur de l’écriture inclusive. Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, et Marlène Schiappa, la secrétaire d’État en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, ont présenté mardi le guide Égalité femmes-hommes. Mon entreprise s’engage destiné à « lever les freins liés aux stéréotypes » et « favoriser le développement d’actions en faveur de l’égalité professionnelle » dans les PME et TPE. Parmi les bonnes pratiques préconisées : l’écriture inclusive.
« Droits humains » contre « droits de l’homme »
L’écriture inclusive propose d’assurer une égalité de représentation entre les deux sexes dans la langue française. Il s’agit ainsi d’accorder les métiers, titres et fonctions avec le genre féminin, du type « madame la députée ». Mais aussi d’utiliser le féminin et le masculin lorsque l’on s’adresse aux deux genres, comme « citoyennes et citoyens ». Ou encore d’employer des termes neutres, à l’exemple de « droits humains » au lieu de « droits de l’homme ». Et enfin de faire apparaître le féminin en plaçant un point avant l’accord, appelé le point médian.
Comme le rappelle Le Monde, Raphaël Haddad, auteur d’un manuel d’écriture inclusive en ligne, indique que c’est « l’ensemble d’attentions graphiques et syntaxiques permettant d’assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes ».
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Depuis la publication par Hatier d’un manuel scolaire à destination des CE2 en écriture inclusive, le sujet divise. Pour certains, cela rend l’écriture incompréhensible. C’est une « agression de la syntaxe par l’égalitarisme », pour le philosophe Raphaël Enthoven. Un « charabia illisible », pour Michael Edwards, membre de l’Académie française, qui provoque « un enlaidissement de la langue ». Mais pour d’autres, l’écriture inclusive est une nécessité dans la bataille pour l’égalité.
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Dans cette entreprise concertée de destruction de la langue et de l’esprit français, l’École est évidemment en première ligne. Elle subit déjà l’influence néfaste de la propagande imposée par l’déologie dominante, qui mène à un abêtissement collectif... sauf pour les rejetons de l’oligarchie. Logiquement, l’écriture inclusive devrait l’achever.
Un retour à l’antiquité avec une société à deux couches ou deux vitesses, les dirigeants flanqués de leurs employés directs et indirects, et les esclaves. Le bloc oligarchique et la masse. Depuis les coups de boutoir portés à l’Intelligence effectués par le trio maléfique Peillon-Belkacem-Hollande – le bon, la brute et le truand –, l’entreprise de démantèlement de la culture collective s’est accélérée. La preuve en images.
Dites donc, @NathanEditions, vous êtes une société d'édition ou un organe de propagande ? pic.twitter.com/Q27FUQXIsS
— Pont d'Arcole ن (@PtdArcole) 1 octobre 2017
ça, c'est dans les livres de #Bayard Jeunesse pour les 15-20 ans #Propagande #Scandale #URSS pic.twitter.com/7orkLcH2yU
— ✝SissiPatriote (@SissiPatriote) 7 octobre 2017
La #Theoriedugenre qui n’existe pas et n’est pas enseignée à l’ecole, vous mentez @Anne_Hidalgo Preuve N°1 : EMC Hatier 4ème p.363 pic.twitter.com/kw3zCnfff4
— CitizenGO fr (@CitizenGOfr) 6 octobre 2017
Oh purée, par hasard, je suis tombée sur ça !! La Propagande du #VivreEnsemble des Livres des éditions #Bayard pour les gamins ! pic.twitter.com/q9hyw7R8zn
— ✝SissiPatriote (@SissiPatriote) 7 octobre 2017
Les éditions Nathan ou l’intensification de l’endoctrinement de nos enfants dans les délires LGBT. Scandale !@NathanEditions -> pic.twitter.com/Ep1Y05P1zp
— Léa ن (@LeaFrct) 4 octobre 2017
Notre Pravda nationale, organe de propagande numéro un déserté par le public, s’y met logiquement :
Pourquoi choisir « autrice » plutôt qu'« auteure » ? Les explications d'Eliane Viennot pic.twitter.com/wMsUbMKVD0
— Delphine Regnard (@drmlj) 9 octobre 2017
Pour mesurer le chemin parcouru par les destructeurs de l’école, du français et de la culture, voyez comment ces enfants s’exprimaient à l’école (publique) en 1970 :
1970, que pensent les enfants de la mixité à l'école ? pic.twitter.com/RUCQH8OarU
— Ina.fr (@Inafr_officiel) 29 septembre 2017
Il n’y a pas qu’à l’école que l’idéologie du genre fait des dégâts. Écoutez cette chercheuse de l’IRIS qui évacue toute possibilité de manipulation par un ou des services pour nous servir un argumentaire sur le patriarcat. Quelle est son explication pour l’élimination des Kennedy ?
"Quelle que soit la forme du terrorisme, la question c'est celle du genre. Le rapport au patriarcat, à la masculinité hégémonique" @mc_naves pic.twitter.com/yRwYOj7IUT
— franceinfo (@franceinfo) 2 octobre 2017