Les médias ont plutôt pour habitude, sous la pression du lobby LGBT, de promouvoir les calendriers à pin-up masculines pour homosexuels, qui ne sont pourtant pas plus de 1% de la population, malgré les statistiques trafiquées envovées par leurs soi-disant représentants. Pourtant, au coeur de la France profonde, là où le pouvoir profond ne va jamais, il y a le concours de Miss France agricole.
Il oppose d’authentiques jeunes agricultrices, qui ne sont pas nourries à la feuille de salade ou au kleenex (coupe-faim selon le principe de la digestion lente), qui ne sont pas défoncées à la coke, mais plutôt à l’odeur de l’herbe fraîche et du lait de vache. Cela leur donne un teint bien blanc, qui contraste là aussi – sans faire de racialisme blanc, ne vous méprenez pas – avec les injonctions oligarchiques de faire gagner des Miss de couleur sur TF1 ou dans les concours internationaux. On sait tous que les votes sont tordus pour complaire à l’idéologie dominante qui veut de la femme jeune, LGBT-compatible, de couleur, et de gauche si possible. Parfois, ça dérape au détour d’une petite question, mais dans l’ensemble, les organisateurs de ces concours de beauté(s) de plient au règlement hiérarchique.
Bon, là, avec les Miss agricoles, c’est loupé : on n’a que de la Blanche, pas vraiment taille mannequin, et pas forcément bien-pensante. La gagnante a même liké le Facebook de Marine Le Pen ! Aucune chance de passer à la télé, d’ailleurs elle n’y est pas passée. Et si d’aventure elle s’y aventurait, ce serait pour se faire démolir par des chroniqueurs pressés de complaire à la même organisation des lobbies ! La candidate idéale serait donc une jeune fille métisse, des quartiers, votant à gauche (si elle sait ce que c’est), et déclarant sa flamme à Israël et... à sa jeune compagne, homosexuelle elle aussi. La totale. Cette Miss Oligarchie n’existe pas, mais on s’en rapproche. Dans tout le milieu culturel, c’est la même saucisse : en chanson, en télé, en cinéma, les mêmes ordres donnent les mêmes « vainqueurs ».
- La photo qui a fait gagner Laura
Ceci étant dit, passons au concours 2016, qui a vu une jeune gardienne de vaches l’emporter : Laura Schmidhauser. C’est le Dauphiné, le quotidien de toute l’Isère, et aussi un peu de la Savoie, qui a consacré un article à Laura. Ses parents ont ouvert une charcuterie, et du coup, le sacre de leur fille a un peu boosté les affaires. Les sceptiques se demanderont s’il n’y a pas anguille commerciale sous roche esthétique, mais bon, c’est mieux de promouvoir une entreprise artisanale française qu’une émission de télé franco-israélienne. On ne sait pas s’il y a un rapport familial, mais on a retrouvé un Richard Schmidhauser qui élève des porcs à l’ancienne et en circuit court. C’est-à-dire que ses bêtes ne partent pas en Chine, mais sont consommées dans le coin. Justement, Caherine, sa femme, s’occupe de la charcuterie maison.
Après vérification, Laura est bien leur fille, qui a fini première parmi 260 candidates. La seule condition, à part l’âge, être agricultrice, ou agriculteur, car il y a eu un Mister ou un Monsieur France agricole aussi. Cependant, allez savoir pourquoi, ça intéresse un peu moins les gens.
Laura, qui ne fait pas les choses à moitié, malgré des soucis de santé qui l’ont maintenue un temps loin des bêtes et de son lycée agricole, joue aussi de l’accordéon, cet instrument devenu français après avoir été importé dans les bistrots par des... Italiens. Laura est ancrée dans le terroir, mais comme toutes les filles de son âge, elle est aussi sur Facebook. C’est par ce biais qu’elle a découvert le concours des Miss. Elle a mis quelques photos sur sa page, des gens ont « aimé », et il y a eu contagion à tout le département. Tout le monde l’a encouragée, malgré quelques critiques qui ne voyaient pas comment on pouvait être à la fois « agricultrice et féminine ».
C’est pour cette raison que les calendriers d’agricultrices sexy ont commencé à fleurir, et c’est très populaire chez les Allemands, qui adorent le terroir... en petite tenue. La preuve en image :
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