Salut Laurent, salut à tous !
Je viens d’écouter ton témoignage, Laurent.
Comme l’on dit de nombreux commentaires, c’est vrai que t’as l’air sympathique, je vais essayer de l’être aussi dans mes critiques sur tes propos.
Mais avant les critiques, chapeau bas pour oser affirmer publiquement ton soutien à E&R ainsi qu’à Alain Soral et Dieudo.
Il faut un certain courage pour s’affirmer à ce sujet et le courage est une qualité qui devient rare .
Je pratique l’élevage et la culture en agrobio depuis le milieu des années 80.
A mon sens, chaque fois qu’on utilise un produit qui n’est pas local en culture ou en élevage, on s’éloigne de l’agriculture naturelle et on participe au systeme destructeur que tu dénonces dans ton témoignage.
Sur le bio, je te propose de lire ce que j’ai écrit dans les commentaires de l’article sur l’élevage de volailles dans l’ain.
En résumé, à mon sens, l’avenir est au bio, à l’agriculture naturelle, celle qui peut faire vivre beaucoup de familles de paysans et d’artisans locaux dans un environnement où l’on se sent bien, où l’on peut consommer des aliments sauvages sans s’empoisonner avec les pesticides des voisins.
J’aime la terre, je la trouve belle et généreuse. Mes enfants se proménent dans la nature sauvage, ils récoltent les champignons, les fruits sauvages, et se régalent.
Tu dis :" il n’y pas besoin de faire dans le bio, on a déjà une excellence de la production et dans tous les secteurs"
alors que l’agriculture française est championne d’Europe dans la consommation des pesticides.
Une telle consommation de pesticides s’inscrit pleinement dans la démarche de destruction de l’agriculture française que tu dénonces par ailleurs.
Les pesticides accompagnent l’exode rural et l’industrialisation de l’agriculture.
A mon sens, une agriculture de qualité,est une agriculture qui permet de vivre sainement à de nombreuses familles.sur des petites surfaces.
Le retour à la terre s’inscrit dans une agriculture naturelle. J’évite le mot « bio » parce que comme tu le dis, ’il y a effectivement des salopards dans tous les secteurs. Il y en a qui disent faire du « bio »
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