« Parce qu’il n’y a rien qui peut arrêter le pouvoir du peuple souverain. »
Ainsi Christophe Buffin de Chosal, historien et universitaire belge, définit-il le totalitarisme de la la démocratie. La démocratie est un mythe, une fois confrontée à la réalité.
Buffin de Chosal : Nous sommes tous les deux électeurs mais combien de secondes par vie est-ce que nous exerçons notre souveraineté ? Une fois qu’on a mis le bulletin dans l’urne c’est terminé. La souveraineté populaire passe à d’autres, des groupes, des partis, et derrière les partis il y a d’autres groupes plus puissants qu’eux, et donc en fait, nous sommes constamment dépouillés de notre souveraineté, nous ne l’exerçons jamais.
Le présentateur de TV Libertés : Vous faites allusion à des puissances d’argent qui corrompent les hommes politiques et les médias, est-ce que vous pouvez nous dire qui sont ces puissances et qui sont ses dirigeants ?
Buffin de Chosal : Ces puissances sont en action depuis les origines de la démocratie. Donc le régime parlementaire, il faut bien le comprendre, a été mis en place pour donner accès au pouvoir aux puissances d’argent...