En France, le ministre Caseneuve veut faire arrêter Marine Le Pen, le journaliste Bourdin compare le FN à Daesh. En Italie, les mouvements nationalistes subissent les mêmes attaques. Même hystérie, mêmes amalgames, même volonté de censurer les voix qui s’élèvent pour protéger le peuple, la culture, la civilisation des Italiens.
« Le fascisme n’est pas une opinion comme les autres, c’est un crime. » Ainsi débute une publicité pour une pétition adressée au Président de la République italienne et à celui du Sénat, qui a pour but de demander que les mouvements Casa Pound et Forza Nuova et d’autres du même genre, de la mouvance nationaliste et identitaire, soient déclarés hors-la-loi, ni plus ni moins.
C’est la vielle méthode de dénonciation et de diabolisation par la gauche de la droite nationale destinée à effrayer les électeurs face à la montée de la « menace brune » ! Et cela fait un demi-siècle qu’elle est pratiquée avec l’appui des toutes les bonnes consciences humanitaires et des médias aux ordres.
Pour les tenants de la démocratie et de la liberté, voilà bien un déni de liberté. Il faut dire que depuis la Révolution française, le « Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté » de Saint-Just est devenu une réalité pratiquée à tout moment contre les dissidents aux systèmes totalitaires. Dissidents qui se retrouvent unis aujourd’hui dans cette lutte contre le politiquement correct, véritable totalitarisme d’État et gouroutisation des consciences, mis en place dans nos républiques démocratiques européennes.
Certaines consciences restent libres envers et contre tout…