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La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

Seconde partie - Par Simone Choule

AteliER
Article initialement publié dans l'atelier E&R

(Lire la première partie de l’article)

 

Le progressisme contre le Progrès

Tout exposé scientifique démontre ses résultats de manière publique et l’on peut, grâce à la raison qui est universelle, vérifier si l’exposé est vrai ou faux. Nul petit groupe prétendant posséder les qualités de discernement ne doit interférer sur quelque exposé. Or, cette démarche antiscientifique est celle des maçons, qui ont décidé que cela est bon pour nous, selon un parti pris décidé hors de tout contre-pouvoir. En s’enfermant dans l’ésotérisme, les maçons se sont donc interdit l’usage scientifique de la raison et ils se sont condamnés à répéter des dogmes, des partis-pris.

Le progrès social dont les franc maçons se veulent les partisans n’a aucune valeur scientifique, précisément parce que pour la science, les étapes du progrès ne peuvent être connues à l’avance ! En parlant à tout propos d’avancées, les maçons trahissent donc là le fait qu’ils ont une idée a priori des lignes que doit suivre le progrès social. Or, en définitive, la situation est la suivante : les franc maçons gardent en souvenir de l’époque des « Lumières » l’idée que le progrès ne peut être que graduel, ce qui est correct. Mais ils prétendent connaître à l’avance les étapes de ce progrès, ce qui est incorrect. Ce qui donne le « progressisme » une idéologie fausse car contraire à la science.

Un esprit scientifique sait qu’il n’est pas omniscient et en bonne rationalité sait qu’on avance par essais et par erreurs (les plus grandes découvertes sont d’ailleurs tous des accidents !) surtout en matière d’innovations sociales. C’est ainsi qu’avance la science : elle fait des hypothèses, elle avance, les teste, les conserve si elles se révèlent fécondes mais les abandonnent si elles ne débouchent sur rien. C’est cette prudence même qui permet de réaliser de vrais progrès. Telle n’est pas la démarche du progressisme dont le caractère utopique, irrationnel et non-scientifique se marque précisément par le fait qu’il ne veut jamais revenir en arrière quand il se targue d’avoir effectué une « avancée », comme l’exprime Michéa dans Le Complexe d’Orphée : « L’idée progressiste (…) selon laquelle la “morale du futur” n’aurait plus rien de commun avec celles du passé (…) n’est pas seulement meurtrière. Elle repose d’abord sur une profonde méconnaissance des données de l’anthropologie. »

Est-ce que le progressisme est obscurantiste ? Quelque part la philosophie et la vision de la vie que nous offrent généreusement les franc-maçons est teintée de morbide : maintenir en vie des tueurs (pardon, abolir la peine de mort), tuer les bébés (pardon, encourager l’avortement), tuer les anciens (pardon, encourager l’euthanasie), valoriser le mariage stérile (pardon, le « mariage pour tous »), imposer la théorie du genre (démolie par la science neuro-biologique et les études du docteur Simon Baron-Cohen sur les nouveaux-nés), l’on peut se poser la question sur cette curieuse vision du vivant.

Spirituellement les codes maçonniques font référence à un « Grand Architecte » mais puisent leur révélation dans les passages les plus mineurs et les plus flous de la Bible (le « fils de la veuve » Hiram, devenant une sorte de prophète, est juste un type qui a participé à la construction du temple de Salomon, et a été sanctuarisé par Elias Ashmole au sein des loges). Un homme « sans qualités » et qui n’a rien d’universel qui, concourant en maçonnerie, va se voir « mourir pour renaître » selon un rite, à des fins se réclamant élitistes et exclusives, tout comme un certain « peuple élu » : il y a ceux qui en sont et ceux qui n’en sont pas. L’aristocratie, en comparaison, était articulée sur l’héroïsme chevaleresque pour grimper dans la hiérarchie.

La maçonnerie s’oppose aussi au catholicisme qui promet la vie après la mort. En reniant cet espoir, la maçonnerie considère que nous ne sommes que des tubes digestifs sur pattes, vivant sur une boule de gaz tournant elle même autour d’une masse nucléaire. Une vie dont le sens devient absurde. Elle adopte une vision matérialiste de la vie (donc utilitariste de l’homme, malthusianiste, nihiliste...) rendant tout marchando-compatible, les « frères trois-points » devenant les « frères-tapins » du Marché international. Ils s’opposent à la société du Sacré en favorisant toujours la société de consommation...

On peut se demander si un ordre qui voulait l’homme nouveau pour son bonheur n’est pas responsable d’une société anesthésiée, plus grande consommatrice d’antidépresseurs, en ayant détruit systématiquement tout ce qui est sacré. Ce goût des « droits de l’homme » a remplacé l’ancienne religion et déifié l’homme à la place de Dieu, comme le rappelle René Guénon : « C’est l’inférieur qui juge le supérieur, l’ignorance qui impose des bornes à la sagesse, l’erreur qui prend le pas sur la vérité, l’humain qui se substitue au divin, l’individu qui se fait la mesure de toute choses et prétend dicter à l’univers des lois tirées toutes entières de sa raison relative et faillible. » On voit ici de quelle prétention la maçonnerie se réclame !

Mais regardons aussi l’héritage de valeurs léguées : le fameux slogan « liberté, égalité, fraternité » qui orne nos mairies depuis près de 170 ans. Tout d’abord, on étudie en philosophie qu’il n’y a pas de liberté mais des libertés. La liberté totale (sans structure pour s’appuyer, se construire ou se rebeller) rend angoissé et dépressif. La totale liberté rétablit la loi de la jungle (donc loin d’être un « progrès » elle fait le lit de nos instincts) où la loi du plus fort règne, ce qu’ont bien compris les libéraux en économie. La liberté s’oppose à l’égalité (trop de l’une nuit à l’autre) et l’égalitarisme dogmatique conduit à l’uniformité voire pire, au totalitarisme (l’exemple soviétique). Et la fraternité n’est même pas de la même famille, comme le rappelait Alexandre Soljenitsine, qui eut tout le loisir dans les goulags de vérifier l’égalitarisme forcené.

Comme la maçonnerie est la vitrine idéologique de la bourgeoisie libérale, rappelons entre autres ce que pensait Marx de son si glorieux apport historique : « Partout où la bourgeoisie est parvenu à dominer, elle a détruit toutes les conditions patriarcales idylliques et féodales. Impitoyable, elle a déchiré les liens multicolores de la féodalité qui attachaient l’homme à son supérieur naturel pour ne laisser subsister que seul lien entre l’homme et l’homme l’intérêt tout nu, l’inexorable paiement comptant. Frissons sacrés et pieuses ferveurs, enthousiasme chevaleresque, mélancolie béotienne, elle a noyé cela dans l’eau glaciale du calcul égoïste. » La maçonnerie déguisant toute cette grisaille d’une fabuleuse « évolution des mentalités » qui devient notre nouvelle religion, telle un totem dans un supermarché.

En maçonnerie, sachez que sur toute idée de progrès social, vous risquez de vous tromper tout en continuant dans une voie aux fondements erronés, anthropologiquement à côté de la plaque et à la spiritualité réduite aux intérêts bien sentis du calcul vaniteux, non-libre réellement parce que désintéressé, comme l’enseignent les religions révélées. Par contre vous serez sûr d’assurer votre carrière et éviterez de payer certaines contraventions (belle épopée), certains se battant pour des idées, des valeurs que l’on met au-dessus de soi et de sa vie et d’autres ne voyant que leur intérêt particulier, la maçonnerie sera donc pleinement faite pour eux. Laissons le mot de la fin à Charles Maurras, qui a bien résumé cela : « Si la franc-maçonnerie était jadis un esprit (d’ailleurs absurde), une pensée (d’ailleurs erronée), une propagande (d’ailleurs funeste) pour un corps d’idées désintéressées, elle n’était désormais plus animée ni soutenue que par la communauté des ambitions grégaires et des appétits individuels. »

Un arrière-secret derrière le secret ?

Le double-jeu des médias est tout à fait révélateur du malaise qu’a la corporation journalistique à critiquer ou même à en parler vraiment librement : la presse multiplie les unes fracassantes mais rarement pour la dénoncer, souvent sous un jour amusé, complice et faussement inquiet (dénoncer durement les sociétés secrètes serait vu comme « le retour des persécutions sous Vichy » alors que Kennedy, qui n’avait rien de pétainiste, ne se gênait pas pour le faire). Une association créée par Guy Lengagne et nommée « fraternelle parlementaire » met en connivence des politiques (députés, sénateurs et membres du gouvernement) de différentes obédiences mais surtout de différents partis ! Nul journaliste ne semble s’en préoccuper, restant dans le confortable clivage « gauche/droite » alors que les faits contredisent... Il est étonnant par ailleurs qu’aucun journaliste non plus ne fasse jamais la traduction en latin du symbole le plus connu, à savoir le « porteur de lumière », qui signifie littéralement « Lucifer ». Il y a de quoi inquiéter que l’on se réfère à cette entité spirituelle, et pourtant les médias cajolent la maçonnerie comme on s’amuse d’une fille légère en soirée pour mieux l’oublier ensuite.

Il est d’ailleurs troublant que la maçonnerie soit un lobby dont on a le droit de parler dans des médias – avec parcimonie – mais que ce n’est pas le seul lobby existant en France : breton, gay, psychologue, viticole certes, mais parmi ceux qui défendent les minorités, le lobby des Juifs n’est jamais mentionné en une d’aucun magazine, alors qu’on peut en observer les manifestations (dîner du Crif par exemple). Hélas, en parler publiquement revient dans l’opinion publique à rappeler « les heures les plus sombres de notre Histoire ». Loin de nous l’idée de froisser des gens sans doute puissants, à des postes importants, concernant leurs idées au Moyen-Orient ou dans la finance ; donc c’est avec un courage revendiqué et au nom de l’esprit critique, de la libre parole sur les rapports de force et des privilèges dans ce pays, que le sujet ne sera pas évoqué dans ces lignes.

Tout maçon sait néanmoins que pour accéder au B’nai B’rith (une maçonnerie spéciale, de haut degré et ne réunissant que des Juifs à travers le monde) il faut être juif, donc être coopté par le sang et la position sociale (ironiquement il y a peu de gens dans le bâtiment en franc-maçonnerie !), traduisant un racisme antigoïm, ce qui rajoute de l’exclusif à l’exclusivité et questionne sur l’immense avancée des mentalités dont la maçonnerie s’enorgueillit, faisant revenir ses adeptes aux valeurs de l’Ancien Testament (hypocrisie de plus sur la laïcité et le progrès).

Mais la maçonnerie peut cacher bien d’autre choses, comme le scandale de la loge P2 en Italie (voir le film Il Divo), impliquée dans un certain terrorisme d’État, l’affairisme véreux de Didier Shuller et ses complices sur les HLM des Hauts-de-Seine. L’affaire du Carlton où DSK et ses amis franc-maçons lillois entretenaient un réseau de parties fines avec prostituées exploitées. Bien pire et ayant du mal à passer la frontière dans nos médias malgré la proximité géographique, l’affaire Waterhouse le révèle récemment : des franc-maçons tous impliqués dans un vaste réseau de pédophilie autour de cet orphelinat (tout comme l’affaire de l’Île de Jersey) et qui révèle ce que Jean-Pierre Mocky avait mis en scène dans son film Les Ballets Écarlates : des utilisations d’organisations publiques dans des affaires pédophiles par et pour des notables. De la crypto-secte à la crypto-mafia : peut-on savoir combien de degrés les séparent ?

Cependant il est facile aujourd’hui de critiquer la maçonnerie : elle serait en perte de vitesse, dans des crises de pouvoir s’additionnant (des luttes intestines et stériles pour devenir Grand Maitre à la place du Grand Maitre se répètent jusqu’au ridicule, comme l’a signalé le Conseiller à l’ordre du GODF, Hugues Leforestier dans son livre Frères à abattre), mais surtout l’apparition au XXe siècle de nouvelles formes de Rotarys crypto-maçonniques lui faisant concurrence à un haut niveau : du club Le Siècle en France au Bohemian Club aux USA, le Council on Foreign Relations, la Trilatérale et le club Bilderberg à l’international, nos élites préfèrent laisser la maçonnerie aux notables encore émus par les idéaux positivistes très XIXe siècle et lui préfèrent un mondialisme high-tech, entre hôtels et FMI, ne passant faire un coucou aux maçons que s’ils sont convoqués (Sarkozy trop agité pour tenir une heure en loge en fut un bon exemple) ou pour montrer patte blanche avant une élection.

Antidémocratique (car initiatique et exclusiviste), à la philosophie présomptueuse car sure d’elle-même, teintée d’esprit combinard, antiscientifique dans sa méthode, à l’historique pas vraiment glorieux, dotée d’une quincaillerie ésotérique loufoque, camouflant des affaires honteuses, aidée d’une presse souvent complice, la maçonnerie peut désormais faire un véritable audit de son action, dont le bilan n’a pas grand chose de valeureux. On pourrait lui reconnaître la rédaction du code national de déontologie pour les policiers (écrite sous Joxe en 1986), qui est une des rares preuves que les maçons peuvent exercer une influence positive sur la société, mais concevoir qu’un pouvoir s’exerce en lieu et place du peuple et de manière crypto-sectaire était peut-être très en vue dans une France se cherchant de nouvelles Weltanschauungs alliées au progrès technique, mais au vu des enjeux du XXIe siècle, elle apparaît aujourd’hui aussi utile qu’un cendrier sur un vélo. C’est pourtant le lieu où doivent se rendre tous les candidats à la République française s’ils veulent avoir le cachet pour se présenter et construire, lentement, étape après étape, la République universelle, à savoir un gouvernement mondial qui ne profitera qu’à une élite, dont on parle un peu dans les médias – selon la méthode développée plus haut – afin de préparer l’opinion.

Devant cette nouvelle « fin de l’Histoire », où nous serons peut-être les témoins contemporains d’un retour à une monarchie supranationale, vient une question hégélienne et d’éternel retour du concret : quelqu’un a-t-il une meule pour aiguiser nos guillotines ?

Pour approfondir, avec Kontre Kulture :

 






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33 Commentaires

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  • #298144
    Le 6 janvier 2013 à 18:34 par Pierre-Philippe Baudel
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    L’article a le mérite d’exister, aussi saluons-le en tant que tel. Au fond : trop d’erreurs, saupoudrées aussi parfois d’un peu de mauvaise foi mais bon saluons. Invitons aussi... en loge, pour venir en débattre, il pourra qui sait être éclairant pour tous. En cette vue : Bienvenue à vous Madame Simone Choule, à la Grande Loge mondiale de Misraïm tout du moins, avec plaisir. (Contact : www.glmm.fm).

     

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    • #302328
      Le Janvier 2013 à 02:11 par burn
      La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

      ok, et depuis quand le profane se fait inviter en loge ? j’habite bordeaux est-ce que en tant que catholique pratiquant au chômage je vais être invité à un débat ? J’en doute, vous parlez de mauvaise foi dans ce texte, je vous réponds contradiction, la supercherie du secret touche à sa fin, le lobby maçon est tellement présent à bordeaux qu’il n’a jamais été secret ! la traite négrière a été organisée par la loge anglaise qui fut l’une des premières obédiences de cette ville voire de france, je sais qui est cette madame choule, et après ? pourquoi la mentionner ici ? ce n’est pas un site maçonnique que je sache ? et puis cette hypocrisie de toujours mettre la femme au niveau de l’homme en maçonnerie, pathos.La fête est finie.

       
  • #298188
    Le 6 janvier 2013 à 19:29 par SMIV
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    L’égalité politique, on l’attend toujours !
    Des rigolos ces franc-macs !

    Le Franc-Maçon doit obéir au doigt et à l’oeil.
    Le vénérable en prévient l’apprenti le jour de sa réception.
    « Monsieur, lui dit-il, tout profane qui se fait recevoir Maçon CESSE DE S’APPARTENIR ; IL N’EST PLUS A LUI ; mais il appartient à un Ordre qui est répandu sur toute la surface du globe. »
    A qui doit obéir le Franc-Maçon ?
    « A des chefs INCONNUS ! »
    C’est Louis Blanc qui nous le dit dans son "Histoire de dix ans".

    Les chefs se proposent de reconstituer la puissance judaïque sur les ruines de la civilisation française et chrétienne.

    Extraits de : Franc-maçonnerie, secte juive

     

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  • #298293
    Le 6 janvier 2013 à 21:34 par Mich
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    « [...] elle n’était désormais plus animée ni soutenue que par la communauté des ambitions grégaires et des appétits individuels. »

    Prise à son propre piège... Avoir prôné l’individualisme pour en être rongé, quelle belle ironie...

     

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  • #298381
    Le 6 janvier 2013 à 23:25 par Grindsel Tirédunevi
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    La maçonnerie est le pendant du christianisme. Comme lui elle a une origine juive. Comme lui elle est profondément religieuse. L’une est de Dieu, l’autre de Satan.
    Albert Pike, 1871 : "Lucifer est Dieu, et la vrai et pure religion est la croyance en Lucifer"
    Rabbin Issac Weiss, 1855 : "La maçonnerie est une institution juive dont l’histoire, les degrés, les assignations, signes et explications sont de nature juive du début à la fin".
    Théodore Hertzel, fondateur du sionisme en 1897 : Les loges maçonniques s’établissent partout dans le monde pour nous aider à achever notre indépendance. Ces porcs, les maçons non-juifs, ne comprendrons jamais les objectifs finaux de la franc-maçonnerie."
    Source.

     

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    • #303605
      Le Janvier 2013 à 21:38 par duvivier
      La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

      devant tant de savoir étalé vous devriez savoir faire le distingo entre juif et judéen .

      NOTRE CHRIST est judéen et non juif :la preuve ils l aiment beaucoup !

      deuxio satan est aux manettes sur terre pour nous mettre à l’ épreuve et ça marche pas mal pour sa petite entreprise.

      sauf que le boss est NOTRE CHRIST,et quand, en langage bankster, il va faire une O P A sur sa boite de déchets, à lucie la ferraille le recyclage va faire mal !

      ça c’ est mon avis et je respecte le vôtre mais j y adhère pas.

       
  • #299213
    Le 8 janvier 2013 à 17:50 par derf
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    Saint Lucifer, Lucifer Calaritanus, évêque de Calaris (Cagliari), en Sardaigne, mort en 371, canonisé en 1803 par Pie VII. L’année et le lieu de sa naissance sont inconnus. En 354, il fut député par le pape Libère pour aller, avec le prêtre Pancrace et le diacre Hilaire, solliciter de l’empereur Constance la convocation d’un concile qui statuerait sur les accusations dirigées et les condamnations déjà prononcées contre Athanase. Ce concile se réunit à Milan. Lucifer y prit la défense d’Athanase avec une violence qui provoqua des tumultes dans l’assemblée et au dehors. L’évêque d’Alexandrie fut définitivement condamné, et Lucifer lui-même fut banni, relégué d’abord à Germanicia (Syrie), puis à Eleuthéropolis (Palestine), enfin en Thébaïde.
    Pendant son exil, il écrivit des pamphlets remplis d’attaques outrageantes contre l’empereur qui se contenta de les mépriser. Julien ayant, dès son avènement, rendu la liberté aux évêques bannis, Lucifer se rendit à Antioche, ou il s’immisça dans les dissensions qui divisaient le parti catholique ; il les prolongea et les envenima en consacrant Plotin comme évêque, pour continuer l’opposition contre Mélèce. Vers ce temps, un concile présidé à Alexandrie par Athanase décrétait que les ariens qui renonceraient à leur hérésie seraient pardonnés, et que les évêques qui par contrainte avaient pactisé avec l’arianisme ne seraient pas inquiétés. Lucifer protesta contre ces mesures indulgentes et, se séparant de la communion de tous ceux qui les acceptaient, il se retira en Sardaigne, où il reprit son siège.

    Ceux qui adhéraient à son intransigeance formèrent une secte qui s’étendit dans la Gaule, l’Afrique, l’Egypte, surtout l’Espagne et la Sardaigne. On leur donna le nom de Lucifériens. Violemment persécutés, ils chargèrent deux prêtres, Marcellin et Faustin, de présenter à Théodose une pétition, libellas precum, exposant leurs plaintes et réclamant protection. L’empereur défendit de les inquiéter ; mais ce schisme ne paraît pas avoir survécu à leur génération.

     

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  • #300263
    Le 9 janvier 2013 à 23:38 par anonyme
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    vous ne pensez pas qu’un analyse marxiste de la Franc-maçonnerie suffirait et serait plus pertinente ?
    Les F-M se sont tout simplement des bourgeois, notables et affairiste, qui forment une côterie pour se soutenir les uns les autres dans leurs plans, et former "des réseaux", comme dit la directrice des RG, et tisser des magouilles, et donc ont besoin de secret pour ça. Le reste "n’est que littérature", des amusettes pour les grand enfants qu’ils semblent restés.

     

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    • #304132
      Le Janvier 2013 à 13:37 par duvivier
      La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

      dans ce que vous dites il y a que du vrai sauf que cela sert grandement les plans de papus et sa troupe de guignols qui embrasent la terre .

      parce que ces fauxmaçons ils entravent la marche de nos droits, foutent le bordel grâce à leurs réseaux et les petits se haissent entre eux au lieu de s’ entendre et les foutre au cachot !

      en plus 98 pour cent sont des dépravés et des tordus comme dirait la fourée(ou fourest ?)

       
  • #301471
    Le 11 janvier 2013 à 17:09 par DJL 93VIDEO
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    L’article est intéressant, mais même le diable a le droit à un putain d’avocat.

    Les maçons ne vénèrent pas le diable mais Dieu ... ils l’appellent le grand ordonnateur ... la FM n’a rien de satanique à la base, elle est là pour offrir une initiation spituelle et métaphysique à ses membres ... le problème C le pouvoir ... C bien connu, le pouvoir corromps et la FM a perdu les pédales au fil du temps ... aujourd’hui un FM ne construisent plus rien, ce ne sont plus des batisseurs de cathédrales ou des alchimistes ... tous leurs rites sont corrompus car ils ont perdus le sens de ce qu’ils faisaient ... Les FM utilisent leur club pour s’enrichir et tirer un bénéfice matériel de ce réseau !

    Est ce que la FM doit creuver ? moi je dirais non, car elle a sa raison d’être ... par contre, les franc maçons doivent être écarté de toute forme de pouvoir publique ... On veut pas de franc maçons chez les flics, les juges, les ministères ...

     

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    • #301592
      Le Janvier 2013 à 20:13 par paing
      La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

      oui et ceux qui sont francs-maçons seulement pour leur éveil spirituel et leur initiation aux mystères anciens (qui n’ont rien de satanique) et pas pour des intérêts politique ou autres, ne le font plus de la même manière qu’il y a longtemps, la Franc-maçonnerie est devenu spéculative alors qu’avant elle était opérative (ceux qui s’intéressent à l’ésotérisme comprendront), ce qui changent beaucoup de choses...

       
    • #304508
      Le Janvier 2013 à 20:59 par duvivier
      La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

      et oui djl le soucis c’ est que si on enlève les magistrats, les flics, les hauts fonctionnaires ,les politiques ils vont corrompre qui les maçons du bâtiment.

      et quand le bâtiment va tout va.

       
  • #302435
    Le 13 janvier 2013 à 11:27 par richy
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    " (ironiquement il y a peu de gens dans le bâtiment en franc-maçonnerie !)"
    détrompez vous !
    il y sont nombreux le patrons du bâtiment dans ces sectes ! BTP etc sont une ressource inépuisable de corruption ,
    conclusion ........

     

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  • #302456
    Le 13 janvier 2013 à 12:05 par richy
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    la maçonnerie de province genre
    Mélanchon, Anne-Marie Escoffier à la Décentralisation, Marc Mancel et Vincent Peillon à l’Éducation, Christophe Chantepy à Matignon, Jean-Yves le Drian et Cédric Lewandowski à la Défense, Aquillino Morelle à l’Élysée, Manuel Valls, Renaud Vedel, Alain Bauer et Yves Colmou à l’Intérieur, André Vidalies aux relations avec le Parlement, Victorin Lurel à l’Outre-Mer, Alain Simon et Jérôme Cahuzac à l’Économie, François Rebsamen, Jean Pierre Sueur, Claude Domeizel, Gérard Collomb, Michèle André et Robert Navarro au Sénat, Henri Emmanuelli, Christian Bataille, Pascale Crozon, Pascal Terrasse, Olivier Dussopt, Brigitte Bourguignon, Odile Saugues, Patrick Menucci et Paul Giacobbi à l’Assemblée nationale...
    devrait se méfier , les premiers à être éliminé physiquement par le mondialisme seront ces individus , les dictateurs ne supportent pas les complices qui les ont mis au pouvoir et connaissent l’histoire, voir la nuit de cristal ou la SS éradique la SA, tout les totalitarismes ont agit ainsi ......

     

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  • #304866
    Le 16 janvier 2013 à 09:17 par jérémy
    La France, fille aînée de la franc-maçonnerie ?

    La citation de Marx est employée de façon équivoque :

    -D’une part, en la lisant, on pourrait pensé que Marx a de la nostalgie pour la société médiévale, pour la monarchie et pour le christianisme, ce qui est absolument faux. Marx est un enfant des lumières ; l’homme construit son rapport au réel à partir la raison, il a donc un rapport désenchanté au monde. C’est la condition première d’une action politique. N’oublions pas qu’il théorise le matérialisme historique et évacue ainsi nombres de transcendances sur lesquelles se basaient l’ancien régime. Cf "la religion est l’opium du peuple".

    - D’autre part, il est curieux de citer Marx quand on s’attaque à l’idéologie du progrès, car si un penseur à contribuer développer cette vision de l’histoire c’est bien lui. Ainsi la théorie lutte des classe est une théorie scientifique présentant la victoire certaine du prolétariat, la chute mécanique du capitalisme mis à terre par de trop nombreuses contradictions internes et enfin l’avènement d’une société communiste, sans classe = fin de l’histoire.

    Pour le reste le maçonnerie est un blague qui permet à des bourgeois de l’ancien monde de s’habiller en toges pour avoir quelques frissons. Les lobbiiste ne s’habille plus en toges pour pour mettre à mal notre souveraineté. Il s’agit d’être un bon technicien.IL suffit de faire science-po et une école de commerce ou du droit commercial, de se mettre au service d’une multi-na et d’aller à Bruxelles. C’est moins fleurit, moins mystérieux...

     

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