La LICRA est censée être la ligue contre le racisme et l’antisémitisme. En réalité, elle est beaucoup plus une ligue contre l’antisémitisme que contre le racisme...
Par quel miracle cette organisation non représentative peut-elle entrer dans nos lycées et faire sa propagande sioniste sous couvert d’antiracisme à des milliers de lycéens ? Il faudra un jour découvrir qui, à l’Éducation nationale, autorise un lobby communautaire à pratiquer un dangereux séparatisme, au moment où la nation est traversée de tensions communautaires dangereuses.
Jérôme Conscience répond à un lycéen à 1’04’13 : « On peut caricaturer le judaïsme, ça pose aucun problème. On peut caricaturer le christianisme, ça pose aucun problème. On peut caricaturer toutes les religions sans que ça pose de problème, euh, enfin ça ne devrait pas poser de problèmes en tout cas... Ce qui me paraît extrêmement grave aujourd’hui c’est, qu’est-ce qu’on ne dit pas quand on pose ce genre de question, ce qu’on dit pas c’est que effectivement on devrait pouvoir critiquer toutes les religions, sauf l’islam. C’est ça qui est en petit filigrane. Parce que, ah, ils sont susceptibles parce que si, mais c’est affreux de penser ça ! On est vraiment dans le racisme le plus vil de se dire une population, elle est pas assez intelligente, elle n’a pas assez d’humour, elle ne supporte pas qu’on critique sa religion, mais ça veut dire quoi ? [...] Je ne vois pas trop le rapport qui peut y avoir entre la caricature du judaïsme et l’antisémitisme. »
La loi contre le séparatisme tombe bien, ou mal, pour la LICRA de Besançon : au cours de son intervention aux Journées de la laïcité du 9 décembre 2020 mises en ligne le 13 décembre, des paroles éminemment racistes et islamophobes ont été prononcées. Elles ont été relevées par un collectif de syndicats de profs ou d’extrême gauche.
« Nous estimons que les intervenants de la LICRA de Franche-Comté ont détourné la conférence sur la laïcité de son objectif en utilisant la tribune offerte par le lycée pour faire la promotion du positionnement militant de leur association, voire de leur avis personnel, sur la discrimination positive ou le port du voile à l’université. »
Il est fort probable qu’à l’avenir, nous assistions à une multiplication des séquences d’affrontement entre socialo-sionistes et nationaux-sionistes, les premiers faisant la promotion du vieux logiciel antiraciste (incarné par Julien Dray du PS), les seconds de la nouvelle ligne oligarchique (incarnée par la paire Zemmour-Goldnadel).
La mouvance antiraciste, constituée par les troupes associatives et syndicales d’extrême gauche, a du mal à comprendre pourquoi ses centrales nucléaires idéologiques (LICRA, CRIF) défendent désormais le contraire de ce qu’elles ont prôné pendant presque quarante ans.
Dans cette phase douloureuse de realpolitik, la gauche vient encore d’apprendre qu’elle a été cocue. Heureusement, des esprits s’éveillent...
Comme d'habitude
Ia Licra est un organisme maIfaisant et non Iaique, maniant à merveiIIe Ie rayon paraIysant de I'antisémitisme au détriment de Ia vraie Iutte contre ceIui-ci.
Son nom même est une arnaque
En répubIique, iI n'y pas "d'institution juive de France"
Bande de racIures— ArunachaIa Shiva (@bemouz) February 25, 2021
Si la LICRA est islamophobe,
nous avons le droit d’être judéophobes !