Comme l’entrée d’analphabètes à l’Académie Française : après Jean-Luc Bustamante, Fabrice Hyber va sans doute être élu à l’Académie des Beaux-Arts.
Le 25 avril, on va savoir si les réseaux tant institutionnels que marchands de l’art dit contemporain, ont réussi leur deuxième intrusion dans cette vénérable institution qu’est l’Académie des Beaux-Arts, sur laquelle il semblent déterminés à établir leur tutelle.
Mr Bustamante comme Mr Hyber sont des conceptalo-posturaux, déconstructionnistes, casseurs de code, sociétalo-questionnatoires, qui revendiquent ne savoir ni dessiner, ni peindre et méprisent ces aptitudes… Ils sont ainsi des produits exemplaires de l’appareil culturel d’État dont s’est dotée la 5ème République pour faire rayonner l’art français dans le monde.
Mr Bustamante doit sa notoriété hexagonale d’artiste à la remorque de camion qu’il avait introduite dans une chapelle à Perpignan, il y a une dizaine d’années… et obtenu 80 000 euros de dommages et intérêts (au titre de destruction d’œuvre d’art), après que le Maire le Ville (pourtant pas FN) eût fait déloger l’engin par ses services municipaux.
Mr Hyber doit sa célébrité (après avoir enlevé le « T » inélégant de son patronyme) pour son plus gros savon du monde de 22 tonnes, son mètre carré de rouge à lèvres, sa balançoire munie de deux godemichés anaux et vaginaux, et bien d’autres friandises « processualo-discursives » qui déclenchent des orgasmes mentaux chez les initiés et les duchampistes radicaux.
Reconnus l’un et l’autre comme d’utilité publique et d’intérêt national, le premier a été nommé directeur de l’École des Beaux-Arts de Paris et l’autre a représenté la France à la Biennale de Venise.
Les deux seront donc académiciens en attendant le parachèvement de l’opération avec l’entrée inéluctable de leurs homologues de l’avant-garde transgressive officielle, tels que Bertrand Lavier, Daniel Buren, Ben Vauthier, Christian Boltanski, Bernar Venet, Kader Attia, Xavier Veillan,etc., tous également analphabètes en termes d’écriture et langage véritablement plastique et inaptes revendiqués comme tels pour ce qui est de la mise en forme et expression sensibles.
L’académisme d’avant-garde semble donc sur la bonne voie pour prendre le contrôle de ce qu’il dit être la citadelle de l’académisme d’arrière – garde.
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Une interview de Bustamante sur BFM Business :
Bustamante se raconte devant une toile de merde :
Fabrice Hybert, peintre de chiottes :