Il faut être pétri de duplicité comme un think-tanker mondialiste pour oser affirmer que l’Europe est au bord de la désunion à cause de la question migratoire tout en exigeant plus d’immigration en Europe ! Jusqu’où iront-ils ?
Non seulement il va falloir payer socialement et économiquement pour l’accueil de cette immigration de masse, mais en plus, il va falloir payer pour le retour des non admis !
On remarquera, comme toujours, que les peuples qui se prennent cette immigration en pleine face n’ont pas leur mot à dire : seuls les officines mondialistes et les gouvernements traîtres à « leurs » pays décident d’un commun accord de la dégradation de la vie des gens.
Le coût de cette trahison massive sera non seulement la montée du racisme, mais aussi le rejet de cette caste toute entière. On dirait qu’ils cherchent la révolution.
Le think-tank Terra Nova et l’institut Montaigne préconisent d’ouvrir des centres d’accueil dans quatre pays européens, dont la France, pour les demandeurs d’asile arrivés via la mer Méditerranée.
Le moment a été scrupuleusement choisi. Alors que les 27 sont réunis ce jeudi [18 octobre 2018] pour un sommet à Bruxelles lors duquel ils vont évoquer leur politique migratoire – faute d’aborder l’épineuse question du Brexit –, deux instituts français alertent ce jeudi sur l’urgence de la refonte de la demande d’asile au sein de l’UE. Dans un rapport de 126 pages, le think-tank Terra Nova, réputé de centre gauche, et l’institut Montaigne, libéral, préconisent plusieurs mesures, pour réformer un système jugé « aussi injuste qu’inefficace ». « Le droit d’asile est en danger » dans une Union européenne « au bord de la désunion », craignent les auteurs de ce texte. Ils font notamment référence aux différents bateaux de migrants, qui ont essuyé des refus d’accoster ces derniers mois.
Pas des centres « fermés »
Pour changer la politique européenne du droit d’asile, ce rapport réclame une mesure forte : la création de centres « d’accueil et de traitement » pour les migrants venus de Méditerranée. Les pays « ayant une façade avec la mer » – l’Espagne, l’Italie, Malte et la France – seraient concernés pour ouvrir un établissement chacun « au minimum ».
Ces propositions rappellent le projet européen de « centres contrôlés », où un premier tri serait fait entre demandeurs d’asile légitimes et migrants économiques à expulser. Sauf qu’il ne s’agirait pas de centres « fermés, de rétention ou d’internement ». Chaque État y dépêcherait des agents pour examiner « en moins d’un mois » les demandes ou s’exposerait sinon à des pénalités financières. La mise en place serait financée par l’Union européenne, « ainsi que les retours des déboutés ». Coût total pour la France : 57 millions d’euros.
Ces centres seraient articulés par un « Office européen » à la tête « d’autorités nationales indépendantes ». Ce nouvel organe contiendrait un « mécanisme de solidarité » permettant de répartir les demandeurs en cas de surcharge d’un pays. L’idée est d’accorder aux migrants « un socle commun de droits », dont celui de séjourner dans un autre pays de l’Union européenne.